Auto mutilation- je veut des trucs svp
SushisOptimiste14
elle/elle·13 ans
Salut, comme le dit mon titre je motomutille. C’est vraiment pas agréable. Pour vous expliquer je me frappe très fort à la cuisse ou je gratte jusqu’au sang. Quand sa va pas et que j’ai envie de hurler ou autre c sa que je fait, la plupart du temps je me frappe. Sa dure depuis quelques temps et je sais que c pas bien donc je veux arrêter mais je sais pas comment…. Alors svp si vous avez des truc j’en ai vraiment besoin! Je peut pas en parler à ma famille car mes parents divorce et tout le tralala. Mais vraiment j’ai besoin de vos truc!
merci
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VolleybalDynamique7
elle/elle
1jQui choisir? Maman ou papa?Salut, ça fait un bout de temps que j'ai pas écrit sur le forum. je suis un peu dans une situation... difficile. J'ai 13(bientôt 14) et j'ai vécu des choses (trop). Je vois une travailleuse sociale, je bientôt faire des activités avec des victimes d'agressions sexuelles dans un centre...et ect. Maintenant que m'a vie commençait à reprendre le bon chemin, mon père m'a suggéré d'aller vivre chez lui pendant 1 ans ( je le vois une fin de semaine sur deux habituellement et l'été je le vois une semaine sur deux). Il faut savoir que, j'ai pas le meilleur environnement chez ma mère. Ça fait que crier et se chicaner entre tout le monde, surtout entre mon beau père et ma mère. Mon père m'a donc suggéré sa, mais je ne sais vraiment pas quoi dire... J'en ai parler à mon cousin de 20 ans, lui qui a eu pratiquement les mêmes situation que moi, était le mieux placé pour me comprendre. Il m'a dit, et je site...<< Tu devrais dire oui, je préfère que tu vives dans un endroit sain>>. Comme si ma mère était un monstre. Mais le seul monstre dans cette histoire c'est moi. Chez ma mère, c'est toujours moi qui est accusée de tt. Je me fait chicaner tout le temps et on me rappelle souvent mes erreur, comme l'histoire du pédophile disons( voir mes autres publications). Chez mon père, on vois aucun de mes efforts. Je fait toujours plus que demander et c'est toujours pas bien. Je garde 6 enfants, c'est sûr que j'ai pas le temps de toujours tout faire correctement. C'est compliqué et eux...ils me critiquent tt le temps. Je sais pas si je devrais accepté la proposition de mon père. Après tout, il fait sa pour mon bien. Je sais que c'est long à lire tout sa, mais je préfère me confier à vous parce vous vous m'écouter (plutôt vous lisez, mais vous avez compris) contrairement à mes parents, mes problème c'est n'importe quoi et pleurer c'est comme un crime. J'ai vu plusieurs fois ma mère et mon beau père se chicaner... pendant ce temps moi je cachait les yeux et les oreilles de mes frères et sœurs... Je n'avais pas assez de mains pour cacher les miens. J'ai tout vu et entendu...la maison qui tremblait avec les coup dans le mur, la vitre sur la porte qui explose avec les coups de poing de mon beau-père dans la porte. Tout. Les autres, ne le savent pas sa... J'aimerais vraiment que quelqu'un me résonne. Je veux savoir se qui est le mieux pour moi...mais je ne sais pas. -
SésameMinutieux15
elle/elle
2jMes parents se moquent de moiQuand mes amis ont appris que j’avais un trouble psychologique, ils m’ont intimidé. Ils étaient violents verbalement, physiquement et psychologiquement pendant plusieurs années.J’ai eux une chicane avec mes parents car ils insistent pour fêter ma fête alors que j’en ai horreur. Mon anniversaire était le jour ou mes amis m’intimidaient le plus, ils convainquaient mes autres amis de m’intimider ou de me fuir.Mes parents disent que j’exagère. Ils se moquent de moi et disent que je dramatise quand j’en parle a d’autres personnes. Ma mère me traite de niaiseuse et de faible pour laisser mes amis me gâcher la vie aux point de m’isoler et de ne pas fêter ma fête.Peut être que c’est vrai que je dramatise, je ne sais plus, mais comment je le décris, c’est comment je l’ai ressenti. Ils ne le comprennent pas et continuent à me forcer de fêter ma fête. -
VolleybalCharmeur13
elle/il
2jJ’ai mal, mais je me tais depuis trop longtempsJe ne sais pas vraiment par où commencer, parce que ce que je vis me dépasse. J’ai l’impression de porter un poids que personne ne voit. Je me suis déjà automutilée. Pour faire taire ce qui hurlait en dedans. Pour sentir quelque chose, n’importe quoi, quand tout devenait trop lourd. J’ai déjà voulu en finir. J’ai fait des tentatives de suicide. Pas pour attirer l’attention, mais parce que je ne voyais plus d’issue. Parce que la douleur était trop grande, trop constante. J’ai perdu des amis. Peut-être parce qu’ils ne comprenaient pas, peut-être parce que je me suis enfermée dans ma souffrance. Ou peut-être parce que je ne savais plus comment être "normale". J’ai connu l’amour, ou du moins ce que je pensais être de l’amour. Mais c’était toxique. J’ai été brisée dans des relations où je me suis effacée, où je croyais que je méritais d’être mal aimée. J’ai vécu une agression sexuelle. Un moment qui m’a marquée à vie, que j’essaie encore de comprendre, de guérir. J’ai été placée dans une famille qui n’était pas la mienne. Arrachée à mes repères, comme si j’étais un problème à régler plutôt qu’une personne à aider. J’ai connu la violence conjugale. La peur dans le quotidien. Les mots qui frappent. Les gestes qui blessent. La sensation que ma voix ne comptait pas. Je vis avec la dépression. Cette noirceur qui revient sans prévenir. Qui me fait croire que je ne vaux rien. Que je dérange. Que je suis de trop. Et surtout… je me sens à l’écart. Comme si je n’avais pas de place. Comme si je ne faisais pas partie du monde qui m’entoure. Mais aujourd’hui, j’écris tout ça pour une raison : je veux être entendue. Je veux arrêter de me cacher. Je veux trouver de l’aide. Je veux croire que malgré tout ce que j’ai vécu, je peux encore me reconstruire. -
SushisAudacieuse3
elle/elle
2jCoup de foudre amicaleJe suis une fille qui s'attache très rapidement. Et c'est d'ailleurs ce qui c'est passer avec une fille un peu plus vielle que moi. Je ne lui est parler qu'une fois. Une seule. On lisait les mêmes livres, on avait les mêmes délires et cette fille avait un charisme et une confiance incroyable bref j'étais complètement fan. Puis, je l'ai plus revue pendant un ans jusqu'à ce qu'une de mes amies m'anonce que cette fille était la nouvelle blonde de sa soeur. Là, j'étais aux anges !! Une autre amie l'a invité pour nos traditionnels "Party de fin d'année" c'était parfait ! On a parler et tout. On c'est même dit qu'on allait écouter Gossip Girl ensemble !! Juste...J'ai l'impression que c'est trop beau. Vous voyez le feeling ? J'ai l'impression que je vais faire une gaffe et que tout vas être finit ! Je ne suis pas amoureuse d'elle. Mais je l'aime tellement alors que je ne l'ai presque jamais vue.
Réponses
TerreSincère9
Ado TJ·elle/elle
Salut @PoutinePonctuelle15 ! J'comprends, c'est tellement difficile d'arrêter de s'automutiler... J'comprends que tu ressens une tout plein d'émotions et que c'est ta manière de le faire sortir. Premièrement, t'es super brave de demander de l'aide genre js que c'est vraiment pas facile.. Si tu veux, on a une page là-dessus https://www.teljeunes.com/fr/jeunes/sante-mentale/automutilation et des intervenants prêts à te donner pleins de trucs! Y'a aussi la glace, te mettre une élastique autour de ton poignet et te le snapper sur le bras. Perso, j'ai trouvé qu'en parler est la chose qui m'a le plus aider, mais je comprends aussi ce que c'est pas qqch possible pr toi en ce moment.
Anyway, j'crois en toi, c'est pas simple, mais you've got this ❤️❤️
Sincèrement,
Terre <33
SushisOptimiste14
elle/elle·13 ans
Salut merci pour la page! C quoi la technique avec la glace j’en entends souvent parler mais je sais pas quoi… tu peut m’expliquer stp?
ChawarmaAccueillante7
elle/elle·15 ans
Salut chère Poutine Prodigieuse! Moi aussi, je souffre je souffre d’auto-mutilation et je sais ce que tu vis. Voilà 4 truc qui m’aident ÉNORMÉMENT:
1: me claquer un élastique sur le poignet.
2: Mettre un glaçon sur tes bras/cuisses/etc. pendant longtemps, tu vas commencer à sentir un pincement sur ta peau
3: Éviter toutes situations qui m’amène à m’auto-mutiler (chicanes avec proches, stress scolaire, etc.)
4: Trouver une zone de confort: Dormir, regarder un film/série, passer du temps avec mes amies ou mon animal de compagnie, écrire dans un journal, faire du sport, etc.
Le plus important de tous, c’est d’en parler au plus vite avec quelqu’un avec qui tu est proche et en confiance de lui parler de ce genre de choses (sinon Tel Jeunes ou Suicide.ca). Si ça reste coincé dans ton cœur, ça peut t’entraîner dans des idées noires, voire le suicide.
En espérant de tout mon cœur que tu essayeras mes conseils et qu’au moins un marche!
xxx
RelishComplice1
elle/elle
Salut @SushisOptimiste14. Je voulais te remercier d'avoir abordé ce sujet, parce que ça m'a fait réaliser un truc. Depuis très jeune, j'ai un gros tic nerveux: je me gratte jusqu'au sang, et quand ça cicatrise, j'arrache la gale, donc ça prend des mois a guérir. Sauf que, savoir que tu vivais ça aussi m'a fait réaliser que, ben, je m'automutilais, finalement. J'avais toujours vu mon tic comme un truc qui me rendait différente, mais sans plus. Pas comme un truc grave, ce que c'est au fond. Alors merci, et bonne chance à toi et à tous ceux qui vivent la même chose. 💕
CactusHésitant3
elle/elle
Salut @SushisOptimiste14 !
Je comprends ce que tu vis et je sais a quel point ca peut etre desagreable. Je connais un truc. Avec de l'encre, tu te dessine quelque chose sur une partie du corps. Par exemple, sur le poignet. Tu ne peux pas te mutiler pendant le temps que le dessin est sur toi, ni frotter pour qu'il parte. Une fois effacé, tu peux dessiner quelque chose d'autre. Cela t'aidera a arreter de te mutiler de plus en plus longtemps. J'espere que ca t'aidera. Courage, t'es capable de vaincre ca! ❤️