Ma mère
PoissonPlaisante1
elle/elle
26j
Ma maman je l'aime.
Ma maman c la plus gentille et surtout...C la plus belle !!
Mais je l'ai surprise avoir un appel avec une nutrissionniste parce qu'elle se trouvait grosse...
Je la trouve si belle !! Je me sens triste de la voir comme ça.
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VolleybalDynamique7
elle/elle
6hQui choisir? Maman ou papa?Salut, ça fait un bout de temps que j'ai pas écrit sur le forum. je suis un peu dans une situation... difficile. J'ai 13(bientôt 14) et j'ai vécu des choses (trop). Je vois une travailleuse sociale, je bientôt faire des activités avec des victimes d'agressions sexuelles dans un centre...et ect. Maintenant que m'a vie commençait à reprendre le bon chemin, mon père m'a suggéré d'aller vivre chez lui pendant 1 ans ( je le vois une fin de semaine sur deux habituellement et l'été je le vois une semaine sur deux). Il faut savoir que, j'ai pas le meilleur environnement chez ma mère. Ça fait que crier et se chicaner entre tout le monde, surtout entre mon beau père et ma mère. Mon père m'a donc suggéré sa, mais je ne sais vraiment pas quoi dire... J'en ai parler à mon cousin de 20 ans, lui qui a eu pratiquement les mêmes situation que moi, était le mieux placé pour me comprendre. Il m'a dit, et je site...<< Tu devrais dire oui, je préfère que tu vives dans un endroit sain>>. Comme si ma mère était un monstre. Mais le seul monstre dans cette histoire c'est moi. Chez ma mère, c'est toujours moi qui est accusée de tt. Je me fait chicaner tout le temps et on me rappelle souvent mes erreur, comme l'histoire du pédophile disons( voir mes autres publications). Chez mon père, on vois aucun de mes efforts. Je fait toujours plus que demander et c'est toujours pas bien. Je garde 6 enfants, c'est sûr que j'ai pas le temps de toujours tout faire correctement. C'est compliqué et eux...ils me critiquent tt le temps. Je sais pas si je devrais accepté la proposition de mon père. Après tout, il fait sa pour mon bien. Je sais que c'est long à lire tout sa, mais je préfère me confier à vous parce vous vous m'écouter (plutôt vous lisez, mais vous avez compris) contrairement à mes parents, mes problème c'est n'importe quoi et pleurer c'est comme un crime. J'ai vu plusieurs fois ma mère et mon beau père se chicaner... pendant ce temps moi je cachait les yeux et les oreilles de mes frères et sœurs... Je n'avais pas assez de mains pour cacher les miens. J'ai tout vu et entendu...la maison qui tremblait avec les coup dans le mur, la vitre sur la porte qui explose avec les coups de poing de mon beau-père dans la porte. Tout. Les autres, ne le savent pas sa... J'aimerais vraiment que quelqu'un me résonne. Je veux savoir se qui est le mieux pour moi...mais je ne sais pas. -
SésameMinutieux15
elle/elle
20hMes parents se moquent de moiQuand mes amis ont appris que j’avais un trouble psychologique, ils m’ont intimidé. Ils étaient violents verbalement, physiquement et psychologiquement pendant plusieurs années.J’ai eux une chicane avec mes parents car ils insistent pour fêter ma fête alors que j’en ai horreur. Mon anniversaire était le jour ou mes amis m’intimidaient le plus, ils convainquaient mes autres amis de m’intimider ou de me fuir.Mes parents disent que j’exagère. Ils se moquent de moi et disent que je dramatise quand j’en parle a d’autres personnes. Ma mère me traite de niaiseuse et de faible pour laisser mes amis me gâcher la vie aux point de m’isoler et de ne pas fêter ma fête.Peut être que c’est vrai que je dramatise, je ne sais plus, mais comment je le décris, c’est comment je l’ai ressenti. Ils ne le comprennent pas et continuent à me forcer de fêter ma fête. -
VolleybalCharmeur13
elle/il
1jJ’ai mal, mais je me tais depuis trop longtempsJe ne sais pas vraiment par où commencer, parce que ce que je vis me dépasse. J’ai l’impression de porter un poids que personne ne voit. Je me suis déjà automutilée. Pour faire taire ce qui hurlait en dedans. Pour sentir quelque chose, n’importe quoi, quand tout devenait trop lourd. J’ai déjà voulu en finir. J’ai fait des tentatives de suicide. Pas pour attirer l’attention, mais parce que je ne voyais plus d’issue. Parce que la douleur était trop grande, trop constante. J’ai perdu des amis. Peut-être parce qu’ils ne comprenaient pas, peut-être parce que je me suis enfermée dans ma souffrance. Ou peut-être parce que je ne savais plus comment être "normale". J’ai connu l’amour, ou du moins ce que je pensais être de l’amour. Mais c’était toxique. J’ai été brisée dans des relations où je me suis effacée, où je croyais que je méritais d’être mal aimée. J’ai vécu une agression sexuelle. Un moment qui m’a marquée à vie, que j’essaie encore de comprendre, de guérir. J’ai été placée dans une famille qui n’était pas la mienne. Arrachée à mes repères, comme si j’étais un problème à régler plutôt qu’une personne à aider. J’ai connu la violence conjugale. La peur dans le quotidien. Les mots qui frappent. Les gestes qui blessent. La sensation que ma voix ne comptait pas. Je vis avec la dépression. Cette noirceur qui revient sans prévenir. Qui me fait croire que je ne vaux rien. Que je dérange. Que je suis de trop. Et surtout… je me sens à l’écart. Comme si je n’avais pas de place. Comme si je ne faisais pas partie du monde qui m’entoure. Mais aujourd’hui, j’écris tout ça pour une raison : je veux être entendue. Je veux arrêter de me cacher. Je veux trouver de l’aide. Je veux croire que malgré tout ce que j’ai vécu, je peux encore me reconstruire. -
SushisAudacieuse3
elle/elle
1jCoup de foudre amicaleJe suis une fille qui s'attache très rapidement. Et c'est d'ailleurs ce qui c'est passer avec une fille un peu plus vielle que moi. Je ne lui est parler qu'une fois. Une seule. On lisait les mêmes livres, on avait les mêmes délires et cette fille avait un charisme et une confiance incroyable bref j'étais complètement fan. Puis, je l'ai plus revue pendant un ans jusqu'à ce qu'une de mes amies m'anonce que cette fille était la nouvelle blonde de sa soeur. Là, j'étais aux anges !! Une autre amie l'a invité pour nos traditionnels "Party de fin d'année" c'était parfait ! On a parler et tout. On c'est même dit qu'on allait écouter Gossip Girl ensemble !! Juste...J'ai l'impression que c'est trop beau. Vous voyez le feeling ? J'ai l'impression que je vais faire une gaffe et que tout vas être finit ! Je ne suis pas amoureuse d'elle. Mais je l'aime tellement alors que je ne l'ai presque jamais vue.
Réponses
TerreSincère9
Ado TJ·elle/elle
Salut @PoissonPlaisante1! Ouf... j'comprends, quand tu vois un parent être insécure de son apparence physique, c'est vraiment déstabilisant... Genre t'aurais tellement envie de l'aider, de lui faire voir elle-même de la même manière que toi, tu la vois
J'pense que tu peux toujours lui rappeler qu'elle est belle à plusieurs moments. Un jour, peut-être qu'elle va finir par y croire si y'a quelqu'un qui est là pour le lui rappeler quand elle n'est pas capable de le faire elle-même. Tu peux aussi lui écrire des mots d'encouragement :)
Au final, cependant, la balle reste dans son camp et t'es là pour l'encourager. J'espère que tu ne te mettras pas trop pression:) Ca va lui faire du bien et j'trouve ça super sweet à quel point tu care et t'Es prête à l'aider! C'est pas de ta responsabilité du tout, mais c'est aussi full bienveillant de ta part!!! Elle est chanceuse que tu te soucies autant d'elle!
Aussi, si tu es à l'aise tu peux aussi lui en parler. J'pense que y'a quand même une distinction à faire entre sentir qu'on est grosse et ne pas sentir qu'on est belle. Vu qu'elle a appelé une nutritionniste, peut-être que ce sont des inquiétudes plus liés à sa santé ? Donc, tu peux toujours trouver une opportunité de soulever le sujet ;)
Anyway, je sais que c'est full inconfortable comme position et que t'aimerais vraiment que ta maman se sente bien dans sa peau. J'espère full que ça va bien aller!! :)
Sincèrement,
Terre <3
DauphinSympathique11
Préfère ne pas répondre
Salut, j'espère que tu vas bien c'est vraiment pas cool d'entendre ça et honnêtement, les gens se perçoivent différemment de ce que les autres voient en eux, ça explique donc des choses. Toutefois, peut-être qu'elle veut simplement être en meilleure santé ce qui est une bonne chose tu ne trouves pas ? Si tu veux lui montrer à quelle point, elle est belle, je te conseille de lui en parler. Si tu veux éviter un malaise, essaie de la complimenter un peu plus :) J'espère que je t'ai aidé
X0X0
SaxophoneTravailleuse8
Ado TJ·elle/elle·18 ans
Heyyy @PoissonPlaisante1 !!!!
Je trouve ça trop mignon à quel point tu adores ta mère et que tu t’inquiètes autant pour elle. Oof, ouais… j’imagine que ça a dû être un vrai choc d’apprendre quelque chose comme ça :(
Je te conseille vraiment de lui parler, de lui dire tout ce que tu ressens, et à quel point tu la trouves incroyable. C’est peut-être une discussion dont elle aussi a besoin pour se sentir soutenue et comprise.
Bonne chance avec tout ça, et n’hésite pas à revenir sur les forums si jamais tu as besoin d’en parler 🫶🏽🫶🏽!!!!
TempêteFestif3
elle/elle·13 ans
Allô @PoissonPlaisante1!
Je trouves ça tellement attentionné de te préocuper de ta mère. J'ai fait une recherche, et j'espère de tout coeur que ça pourras t'aider. C'est juste quelques solutions, et rappellle-toi qui faut aussi prendre soin de toi et faire de ton mieux.
Si ta maman se trouve grosse, il y a sûrement une souffrance sous cette perception, liée à l’image d’elle-même, des remarques passées ou une pression sociale bien trop présente. Quand une femme vit avec cette pensée (“je suis trop grosse”) ça peut affecter son rapport à la nourriture, à son corps, à sa valeur même. Et c’est là que tu peux jouer un rôle incroyablement précieux: pas en la convainquant qu’elle est belle à tout prix, mais en l’aidant à se sentir vue autrement. Voici des pistes douces que tu peux envisager :
Ne pas minimiser ses ressentis: L’écouter sans jugement, sans corriger (“mais non, t’es pas grosse”) peut déjà l’apaiser. Dire par exemple : « C’est dur, hein, de se sentir comme ça dans son corps… » ouvre souvent un vrai espace de confiance.
Rediriger l’attention vers ce qu’elle est: Lui parler de ses qualités, de sa force, de ce qu’elle dégage. Pas pour “compenser”, mais pour lui rappeler qu’elle est bien plus que son corps.
Proposer des rapports plus joyeux à l’alimentation: Pas de diètes, pas de restrictions. Juste cuisiner ensemble pour le plaisir, découvrir des recettes colorées, célébrer la nourriture comme une amie et non un ennemi.
Semer doucement l’idée d’un soutien professionnel: Si elle semble souffrir profondément, un accompagnement par un.e psychologue, une nutritionniste bienveillante ou même un groupe de parole peut faire des merveilles. Mais ça doit venir d’elle — l’important, c’est qu’elle sente qu’elle a le droit de demander de l’aide.
Lui rappeler qu’elle a de la valeur, maintenant: Pas “quand elle aura maigri” ou “quand elle se sentira mieux”. Maintenant, là, comme elle est. Rien que ça peut être un baume énorme.
J'espère t'avoir un peu aidé! (:
@TempêteFestif3.