Je réfléchis trop

Coucou! J’ignore comment me caser donc je tente ma chance ici. Je réfléchis beaucoup trop. Au point que ça me détruit intérieurement et je perds mon copain et plusieurs de mes amies à cause de cela car je m’isole beaucoup par peur de ce que les autres pensent de moi, si mes amies ont des nouveaux amis je m’isole par peur qu’elles m’aient oubliée et j’ai peur de porter du linge qui me représentes à l’école par peur de me faire juger parce que encore je réfléchis beaucoup trop. Si quelqu’un peux m’aider à trouver un truc pour stopper tout ça ça serait vraiment apprécié. Merci beaucoup:)

Salut @LionCréative14!

Oh la la, je vois que ce n’est pas facile et je te comprends. J’ai déjà ressenti cette peur du jugement, cette peur de m’assumer, cette peur d’être oubliée par les autres, donc j’essayais de rester en arrière-plan.

Je comprends ton envie de t’isoler, ton sentiment de peur et de crainte... c’est normal. C’est normal de sentir qu’on ne « filtte » pas toujours, qu’on ne s’assume pas toujours de peur du jugement, mais l’important, c’est de ressortir de cette phase d’inquiétude avec plus de force.

Je te conseille de prendre du temps pour toi. Je vois que tu t’isoles plus qu’avant, mais je pense qu’un changement de perspective s’impose. Prends ce temps de « self-care » pour prendre soin de toi, pour faire des activités que tu aimes, dormir, te « recharger », etc. Il faut toutefois équilibrer cela en passant du temps avec d’autres personnes. Commence progressivement en passant du temps avec ta famille peut-être et ensuite, des ami(e)s, d’autres proches, etc. Ne te propulse pas directement vers la vie sociale extérieure parce que ça prend du temps.

C’est correct d’avoir des moments où on se sent moins bien, mieux. Ça va dépendre des journées et il faut les vivre une à la fois.

Pour ce qui est d’assumer de porter du linge qui te représente, tu peux commencer aussi progressivement. Le changement ne se fait pas du jour au lendemain. Commence par un accessoire, un vêtement et tu peux en ajouter au fur et à mesure que tu te sens plus confortable avec ce que tu mets. 🙂

Je te comprends quand tu dis que tu réfléchis trop. Je crois que ça arrive à beaucoup de gens. Mes amis me disent parfois qu’ils réfléchissent aussi trop, mais ça ne leur arrive pas toujours. Ils ont appris à écouter à leur « voie intérieure » (bon, je ne veux pas sonner comme une guide de yoga spirituelle, mais je n’ai pas trouvé d’autres mots 😂), à moins se soucier de l’impact de leurs actions sur les perceptions des autres. Dans mon cas, j’ai aussi un peu réussi à éliminer certaines pensées qui me faisaient douter de moi. J’ai encore du travail à faire là-dedans, mais j’y vais une journée à la fois. C’est correct de prendre son temps, d’y aller à son rythme, j’aimerais que tu retiennes ça 💙

Pour ce qui est de ton stress, je crois que c’est très relié à tes pensées qui te font douter et à ton « isolement ». C’est normal d’être stressée, ça nous arrive tous. Il y a plusieurs façons de le réduire et tu peux le réduire avec un moyen qui te convient. Essaie d’en parler avec quelqu’un de confiance, un.e parent, un.e TES, par exemple? Je sais que ce n’est pas facile, mais je crois au fait que parler de nos sentiments nous libère un peu du négatif qu’on garde à l’intérieur. Tu peux aussi écrire, si c’est un moyen que tu préfères, voire du thé, manger des aliments que tu aimes et qui te font sentir bien.

Bon, c’était une assez longue réponse, mais voilà. J’espère que j’ai pu t’aider et n’hésite pas s’il y a quoi que ce soit! On est là pour toi, courage! ✨

Petit ajout: pour ton copain, je suis vraiment désolée. J’espère que tu prendras du temps pour toi. Je comprends que ça te fasse beaucoup de peine, mais tu en ressortiras plus forte 💙 C’est un peu cliché, mais ça va bien aller :)

Salut @LionCréative14 !!
J'espère que tu vas bien/mieux.
Je comprends que ce soit difficile pour toi. À l'adolescence, on se questionne énormément et tout ça peut nous causer des insécurités. Je te félicite de nous avoir écrit, bravo! Tu as fait un bon choix et j'espère que cet espace te sera utile.

Tout d'abord, j'aimerais te dire que ce que tu vis est normal. Je me mets à ta place et je vois que tu as de la difficulté à trouver un peu « ton style et ta personne » parce que tu as peur du jugement. Tu sais, beaucoup d'ados pensent comme toi et c'est pourquoi que certain.e.s ne sortent pas de leur coquille. Je suis donc heureuse que tu aies un copain et des ami.e.s, même si tu trouves que tu t'éloignes d'eux à cause de tes nombreuses réflexions.

Mon conseil serait d'essayer de leur en parler. Si ce sont des vraies relations, ces personnes comprendront. Je sais que tu peux avoir peur qu'ils.elles.iels te jugent, mais je suis certaine que tu peux en parler à la personne qui semble la plus digne de confiance. Si tu n'y arrives pas, essaie de leur écrire. Ça pourrait être plus facile. Mais honnêtement, je suis certaine qu'avec un peu d'acharnement tu vas y arriver. Je ne suis pas inquiète du tout, même si ça peut te sembler énorme. Une chose à la fois et je suis convaincue que tout se passera bien.

J'espère t'avoir aidé! N'hésite pas s'il y a quoique ce soit nous sommes toujours là. xx

Salut!
Je comprends tout à fait. Je suis pareille.. la seule façon que j'ai trouvée moi c'est d'écrire la dessus.. mais je suis d'accord avec tout ce que SoleilSportive11 a dit! ❤️je ne vais pas tout répéter parce que ça servirai un peu à rien ! Mais je te conseille full d'écrire dessus et d'en parler à quelqu'un (adulte) parce que c'est ce que j'ai fais et ça aide de plus en plus! J'espère que j'ai un peu aidé! Hésite pas si ya quoi que ce soit !!
xxx

Qui choisir? Maman ou papa?

Salut, ça fait un bout de temps que j'ai pas écrit sur le forum. je suis un peu dans une situation... difficile. J'ai 13(bientôt 14) et j'ai vécu des choses (trop). Je vois une travailleuse sociale, je bientôt faire des activités avec des victimes d'agressions sexuelles dans un centre...et ect. Maintenant que m'a vie commençait à reprendre le bon chemin, mon père m'a suggéré d'aller vivre chez lui pendant 1 ans ( je le vois une fin de semaine sur deux habituellement et l'été je le vois une semaine sur deux). Il faut savoir que, j'ai pas le meilleur environnement chez ma mère. Ça fait que crier et se chicaner entre tout le monde, surtout entre mon beau père et ma mère. Mon père m'a donc suggéré sa, mais je ne sais vraiment pas quoi dire... J'en ai parler à mon cousin de 20 ans, lui qui a eu pratiquement les mêmes situation que moi, était le mieux placé pour me comprendre. Il m'a dit, et je site...<< Tu devrais dire oui, je préfère que tu vives dans un endroit sain>>. Comme si ma mère était un monstre. Mais le seul monstre dans cette histoire c'est moi. Chez ma mère, c'est toujours moi qui est accusée de tt. Je me fait chicaner tout le temps et on me rappelle souvent mes erreur, comme l'histoire du pédophile disons( voir mes autres publications). Chez mon père, on vois aucun de mes efforts. Je fait toujours plus que demander et c'est toujours pas bien. Je garde 6 enfants, c'est sûr que j'ai pas le temps de toujours tout faire correctement. C'est compliqué et eux...ils me critiquent tt le temps. Je sais pas si je devrais accepté la proposition de mon père. Après tout, il fait sa pour mon bien. Je sais que c'est long à lire tout sa, mais je préfère me confier à vous parce vous vous m'écouter (plutôt vous lisez, mais vous avez compris) contrairement à mes parents, mes problème c'est n'importe quoi et pleurer c'est comme un crime. J'ai vu plusieurs fois ma mère et mon beau père se chicaner... pendant ce temps moi je cachait les yeux et les oreilles de mes frères et sœurs... Je n'avais pas assez de mains pour cacher les miens. J'ai tout vu et entendu...la maison qui tremblait avec les coup dans le mur, la vitre sur la porte qui explose avec les coups de poing de mon beau-père dans la porte. Tout. Les autres, ne le savent pas sa... J'aimerais vraiment que quelqu'un me résonne. Je veux savoir se qui est le mieux pour moi...mais je ne sais pas.

Mes parents se moquent de moi

Quand mes amis ont appris que j’avais un trouble psychologique, ils m’ont intimidé. Ils étaient violents verbalement, physiquement et psychologiquement pendant plusieurs années.J’ai eux une chicane avec mes parents car ils insistent pour fêter ma fête alors que j’en ai horreur. Mon anniversaire était le jour ou mes amis m’intimidaient le plus, ils convainquaient mes autres amis de m’intimider ou de me fuir.Mes parents disent que j’exagère. Ils se moquent de moi et disent que je dramatise quand j’en parle a d’autres personnes. Ma mère me traite de niaiseuse et de faible pour laisser mes amis me gâcher la vie aux point de m’isoler et de ne pas fêter ma fête.Peut être que c’est vrai que je dramatise, je ne sais plus, mais comment je le décris, c’est comment je l’ai ressenti. Ils ne le comprennent pas et continuent à me forcer de fêter ma fête.

J’ai mal, mais je me tais depuis trop longtemps

Je ne sais pas vraiment par où commencer, parce que ce que je vis me dépasse. J’ai l’impression de porter un poids que personne ne voit. Je me suis déjà automutilée. Pour faire taire ce qui hurlait en dedans. Pour sentir quelque chose, n’importe quoi, quand tout devenait trop lourd. J’ai déjà voulu en finir. J’ai fait des tentatives de suicide. Pas pour attirer l’attention, mais parce que je ne voyais plus d’issue. Parce que la douleur était trop grande, trop constante. J’ai perdu des amis. Peut-être parce qu’ils ne comprenaient pas, peut-être parce que je me suis enfermée dans ma souffrance. Ou peut-être parce que je ne savais plus comment être "normale". J’ai connu l’amour, ou du moins ce que je pensais être de l’amour. Mais c’était toxique. J’ai été brisée dans des relations où je me suis effacée, où je croyais que je méritais d’être mal aimée. J’ai vécu une agression sexuelle. Un moment qui m’a marquée à vie, que j’essaie encore de comprendre, de guérir. J’ai été placée dans une famille qui n’était pas la mienne. Arrachée à mes repères, comme si j’étais un problème à régler plutôt qu’une personne à aider. J’ai connu la violence conjugale. La peur dans le quotidien. Les mots qui frappent. Les gestes qui blessent. La sensation que ma voix ne comptait pas. Je vis avec la dépression. Cette noirceur qui revient sans prévenir. Qui me fait croire que je ne vaux rien. Que je dérange. Que je suis de trop. Et surtout… je me sens à l’écart. Comme si je n’avais pas de place. Comme si je ne faisais pas partie du monde qui m’entoure. Mais aujourd’hui, j’écris tout ça pour une raison : je veux être entendue. Je veux arrêter de me cacher. Je veux trouver de l’aide. Je veux croire que malgré tout ce que j’ai vécu, je peux encore me reconstruire.

Coup de foudre amicale

Je suis une fille qui s'attache très rapidement. Et c'est d'ailleurs ce qui c'est passer avec une fille un peu plus vielle que moi. Je ne lui est parler qu'une fois. Une seule. On lisait les mêmes livres, on avait les mêmes délires et cette fille avait un charisme et une confiance incroyable bref j'étais complètement fan. Puis, je l'ai plus revue pendant un ans jusqu'à ce qu'une de mes amies m'anonce que cette fille était la nouvelle blonde de sa soeur. Là, j'étais aux anges !! Une autre amie l'a invité pour nos traditionnels "Party de fin d'année" c'était parfait ! On a parler et tout. On c'est même dit qu'on allait écouter Gossip Girl ensemble !! Juste...J'ai l'impression que c'est trop beau. Vous voyez le feeling ? J'ai l'impression que je vais faire une gaffe et que tout vas être finit ! Je ne suis pas amoureuse d'elle. Mais je l'aime tellement alors que je ne l'ai presque jamais vue.

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