Comment ?
AigleComplice7
Préfère ne pas répondre
Une autre chose est que quand on était sûre l’école on ligne j’ai just un « shut down ». Mais je veux pas que sa s’arroge encore parce-que je voulais plus vivre quand c’est arrivé. Savez-vous comment être un plus optimiste envers des choses et comment être un plus positif et gentill(le) envers moi même et les autres en même temps. Aussi, être moins fâché envers le monde et moi même ?
Merci :)
Dernières publications
Liste de discussions
-
AnethAttentif8
elle/elle·17 ans
1jMauvaise expérienceJ'ai déjà faites ma première fois et srx c'était affreux! Ø dé préliminaires, direct dans l'action. Le gars était pas attentif pis il en avait rien à faire de mon plaisir perso. Il a finis pis cho bye. Ça m'a juste donné une mauvaise expérience et mm si j'ai envie d'avoir des relations sexuelles j'ai peir que le prochain face la mm affaire.
-
SoleilRéaliste16
il/lui·16 ans
3jje suis fier de vous :Dpour tout le monde qui a traversé cette semaine d'examens finaux, pour tous ceux qui ont survécu jusque là, bravo !! on est à un jour des temps des fêtes, vous pouvez finalement vous reposer :)
allez, on a le jour zéro de demain, puis quoi? le 20 décembre et c'est fini !! cette semaine n'est pas encore finie, on se donne le max pour demain et après demain, puis on est en vacances et vous pourrez finalement dormir
bon temps des fêtes tout le monde :D
-
SushisAudacieuse3
elle/elle
3jJe bousille ma vision des relations ???Coucou !
Je suis une mordue de lecture !! J'adore lire et écrire un passe-temps étonnant pour les jeunes de mon âges. Je lit donc des livres un peu plus "mature" et "Dark" parce que ils sont plus long et intéressants.
Ça ma jamais trop déranger mais j'ai vue la vidéo d'une fille qui fait des études en psychologie qui explique l'importance de suivre l'âge de lecture d'un livre. Elle dit que certaine romance comportant du "toxic" présenter à un jeune public peuvent altéré leurs visions de ce que c'est être en relation et le respect mutuelle.
J'ai bien aimer sa vidéo asser bienveillante et là je me suis full remis en question...
Je suis parfaitement capable de reconnaître le toxique dans mes lectures et je ne le tolère pas. Mais quand même j'ai soudainement peur que certain truc que je visualise comme "normal" ne le son pas du tout !!
Je bousille ma vision de l'amour ??
Sushis
-
VolleybalRassurante1
elle/elle·14 ans
3jJe ne sais pas quoi faireJ'ai une amie que je connais depuis environ 2 ans. Elle se mutile et elle as essayé de s'enlever la vie plusieurs fois avant et après s'être rencontré. La plus récente c'était au début de l'année (septembre ou octobre j'me souviens pas). Elle n'était pas venue à l'école pendant une semaine. Dans le passé, elle s'est fait frappée par sont père et a été agressée sexuellement à l'âge de huit ans. Je ne sais pas quoi faire. J'ai d'autres ami(e)s qui me font des confessions et ça commence à me peser sur le cœur et dans la tête à moi aussi. Je n'ai pas envie de leur dire, car je suis une des seules personnes sur qui ils peuvent compter. J'ai besoin d'aide.
Réponses
RoseSympathique7
Ado TJ·elle/elle·18 ans
Mon truc à moi, c'est de ne pas me priver de mes pensées. Par exemple, j'écris dans un journal. Des fois ça a l'air banal, mais au contraire je peux voir par écris mon processus de revenir vers le positif. J'y écris toutes mes pensées. J'y écris même des hypothèses lorsque je réfléchis trop et que je « overthink ». Je ne sais pas si toi ça peut t'aider, c'est quelque chose de différent pour tout le monde!
Il y a aussi la solution d'aller parler à un.e intervenant.e à l'école, je suis certaine que ça pourrait t'aider. Un TES/TS par exemple.
Sinon, un autre truc que j'ai, c'est de communiquer! C'est tout simple, mais ça fonctionne. Ça peut pas être bizarre les conversations si tu es toi-même. Sinon, concentre-toi sur toi. Ça veut pas dire de ne pas parler à personne, mais principalement de parler aux personnes avec qui ça en vaut la peine.
J'espère que j'ai pu t'aider un peu! N'hésite pas s'il y a quoique ce soit, nous sommes là pour toi!
AigleComplice7
Préfère ne pas répondre
RoseSympathique7
Ado TJ·elle/elle·18 ans
En examen, je te conseille peut-être de t'amener des coquilles? C'est quelque chose que tu mets sur tes oreilles pour couper le son. En même temps, ça aide à la concentration. Je suis certaine que ça pourrait t'aider en même temps à te créer une bulle et à la fois mettre toute ton énergie sur ton examen. Assure-toi d'avoir ta bouteille d'eau aussi, c'est super important!
J'espère que j'ai pu t'aider :)
YogaAuthentique5
elle/elle
SoleilSportive11
Ado TJ·elle/elle·19 ans
Je comprends ce que tu ressens. C’est pas facile de tout le temps calmer nos pensées, d’être optimiste face à ce qui nous arrive, d’être plus sociable, d’être moins fâché envers soi-même et envers le monde... Ce sont des choses qui se travaillent et qui peuvent s’améliorer si on se donne une chance, une confiance pour que les choses puissent s’améliorer.
Pour ce qui est de « calmer les pensées », je te dirai que, selon moi, il est plus utile de les « laisser passer », de les laisser exister. Je vois les pensées un peu comme l’eau qui voyage dans les rivières, les océans, etc. Si on crée un énorme mur qui bloque tout contact avec l’autre côté, l’eau n’a plus de moyen de passer à travers. Puis, plus les pensées s’accumulent au fil du temps, plus elles deviennent fortes et lourdes et peuvent éventuellement créer beaucoup de dégâts et « briser ce mur ». Donc, je te conseille plutôt comme @RoseSympathique7 l’a dit, de ne pas te priver de tes pensées.
Ce que je fais quand je suis dans une situation de « overthinking » ou quand je sens que mes pensées m’empêchent de faire quelque chose, c’est d’en parler avec ma famille, mes amis, parfois un.e prof. Je suis plus du genre qui aime parler et moins celle qui va écrire ses pensées, donc c’est comme ça que je m’y prends :) Le fait de mettre en mots ce que j’ai dans la tête me permet de comprendre moi-même et de faire comprendre à la personne (ou aux personnes) la façon dont je me sens. Ça rend les émotions, les pensées plus « concrètes » et je me sens déjà en quelque sorte « libérée d’un mur en construction qui allait bloquer mes pensées ». Bon, peut-être que ma comparaison a été un petit peu compliquée pour rien, mais j’aime bien imaginer que je dois laisser passer le courant pour maintenir la stabilité, la tranquillité. Ce conseil s’applique aussi pour ne pas trop réfléchir à ce que les autres pourraient penser de nous.
Pour ce qui est d’être plus sociable et moins awkward, c’est pas évident. Il faut communiquer avec les gens, essayer d’avoir des petites conversations (au moins) avec quelques personnes et on s’habitue au fur et à mesure. Au début de mon secondaire, j’étais plus gênée et je limitais mes conversations avec des gens avec qui j’étais proche. Ça me rendait la tâche facile et je n’avais pas vraiment à me soucier de sortir de ma zone de confort. Au cours de mon parcours, j’ai appris à plus socialiser et à au moins un petit « salut » à mes camarades de classe. Un bref « bonjour » peut aller loin et créer des liens avec des gens. Oui, j’ai été awkward au début (En tout cas, c’est comment je me suis perçue.), mais ça m’a permis d’être plus à l’aise à parler avec des gens avec qui j’étais moins proche ou des étrangers, tout simplement. Je ne dis pas qu’en disant un « salut », un miracle se produit et la gente disparaît. Ce que j’essaie de dire, c’est que des petites actions comme saluer quelqu’un dans le corridor peuvent graduellement aider à être plus sociable et à se sentir plus confortable en présence d’autres personnes. C’est pas un mot magique qui change tout, mais ça peut grandement faire une différence :)
Pour ce qui est l’école en ligne, ne te comprends tellement. C’était une période difficile et je pense que la majorité des gens ont eu un « shut down », comme tu le dis. Je sais qu’éventuellement, les gens de ma classe et moi-même nous sommes habitués un peu plus, mais disons que c’était pas super motivant d’avoir de l’école en ligne. Ce qu’on a fait pour être plus optimistes, c’était de commencer nos cours en ligne par des petites conversations avec nos enseignants pour parler de tout et de n’importe quoi. On consacrait 5-10 minutes, pour jaser, pour montrer ce qu’on mangeait pendant le cours, pour montrer nos animaux de compagnie... bref, ça a rendu l’expérience plus tolérable et plus acceptable. Ce n’était pas tous les jours qu’on pouvait discuter de même, mais on essayait de faire ça au moins une fois par semaine.
Donc, pour lier ça à ta question sur l’optimisme, je dirai que c’est pas évident, encore une fois. Être optimiste, c’est pas quelque chose d’inné qu’on aura toujours, mais plutôt quelque chose qui se travaille. Il faut apprendre à regarder les choses autrement, à changer notre perspective, à essayer de voir le bien dans des situations même quand cela semble impossible. C’est difficile d’être toujours optimiste et c’est normal de ne pas l’être à chaque jour.
Au fond, on est tous humains <3 C’est bien normal de sentir moins bien un jour, d’aller mieux le suivant, etc. C’est normal que notre humeur change et varie, c’est normal qu’on traverse des périodes de montagnes russes. C’est un peu ça, l’adolescence :) Et c’est NORMAL. C’est normal d’être fâché contre soi-même, contre le monde, contre n’importe quoi. C’est normal de se sentir impuissant.e face à une situation. C’est normal de ne pas vivre le parfait bonheur à chaque instant de notre vie.
Bref, ce que je veux dire, c’est qu’être optimiste n’arrive pas du jour au lendemain, mais ça peut devenir une habitude si on se donne une chance, une confiance. Il faut parfois être positif.ve dans la pire des situations pour avoir la force de lutter jusqu’au bout.
Voici ce que je fais pour être plus optimiste:
- Je souris. Ça peut sonner bête, mais parfois, se forcer à sourire peut amener à sourire volontairement. Ça utilise plusieurs muscles sur le visage, c’est vraiment incroyable le changement que ça apporte. Quand on sourit, il y a comme une tension qui se relâche je ne sais pas comment, mais j’aime ce sentiment.
- Je dis merci. Je pense que montrer notre appréciation, même pour les plus petits gestes, est très important. Être reconnaissant.e peut amener loins :)
- Je fais un câlin. Bon, je suis consciente que ce n’est pas tout le monde qui aime faire des câlins, mais ça m’apporte du confort et sentir que quelqu’un me supporte malgré tout me rend plus optimiste.
- Je ferme les yeux; j’inspire; j’expire. Oui, bien sûr, on les ferme pour cligner des yeux, pour dormir... mais quand le fait-on vraiment de notre plein gré? Et en plus, pour plus de 5 secondes? Très rarement. Fermer les yeux, prendre une respiration peut aider à relâcher les tensions, peuvent aider à prendre une pause. C’est fascinant comment prendre conscience de notre souffle peut faire une différence dans la façon dont nous nous sentons.
Bon, je sens que la liste deviendra beaucoup trop longue, mais je veux te dire qu’être optimiste se fait par les petits gestes surtout. Parfois, il faut creuser pour trouver du positif dans une situation, mais ça se fait. Tu en es capable <3
Pour ce qui est de la période d’examens, je pense que le mieux serait de prendre la nuit pour se reposer, pour ne pas arriver le lendemain sans s’être assez bien reposé. Prendre du temps pour « se recharger », c’est super important. Je pense que négliger le sommeil est un facteur qui peut amener beaucoup de stress. Donc, prends du temps pour toi. Dormir, c’est une façon de prendre soin de soi-même :)
Pour finir, je suis consciente que ma réponse est assez longue, mais j’espère qu’elle te sera utile. Je tiens à cœur qu’il est important de partager un peu de notre vécu pour aider. Donc, j’espère que ma réponse pourra t’aider d’une façon ou d’un autre. Je comprends ce que tu ressens et je suis sure que tu es capable, capable d’aller de l’avant (d’être plus optimiste, de moins stresser par rapport à tes pensées, etc.). Je te remercie d’avoir lu jusque là :) N’hésite pas à nous écrire s’il y a quoi que soit, on est là pour toi !