Je me pose la question
CamomilleBavard13
Préfère ne pas répondre
3a
Depuis environ quelques mois, je me considère comme genderfluid en utilisant les pronoms « il/elle/lui », mais depuis quelques temps j’ai l’impression de ne plus être autant habitué qu’avant dès qu’une personne me décris étant une fille qu’un garçon. Je sais que je devrais en parler à une personne en qui j’ai confiance, mais j’ai souvent peur des reproches ou qu’on me pose trop de question même si je sais que je suis entouré de personne de confiance qui me supporte. J’ai peur que ça les surprennent et qu’ils trouvent ça trop compliquer d’utiliser d’autres pronoms avec un autre prénom … J’utilise toujours mes pronoms actuels mais je continue à me questionner au sujet de mon identité.
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CyclismeGentil6
il/lui·15 ans
5hMa vie sexuelComment aborder le thème avec ma mère et parler de se que je ve faire avec ma petite copine -
DauphinApaisante3
il/lui
15hJe suis toujours perdu mais il y a de l’espoir peut être?Recemment j’avais fait un poste sur comment je suis perdu. Et j’ai été surpris que le monde supportait mes émotions et mon opinion.J’ai parlé que j’avais un besoin de violence en moi,une espèce de colère que je garde en moi avec ma tristesse. Juste envie de frapper le mur et me peter les jointures des fois. comment je devais simuler les émotions constamment pour fit in avec les autres ou pour les rassurer que je vais bien pour pas les inquiéter sur mes émotions et état mental. Parce que au final le monde en ont rien à faire de comment je me sens. J’ai l’impression qu’ils m’aident soit parce que c’est leur job ou parce qu’ils veulent pas se sentir mal de pas m’aider. Et j’ai l’impression que peut être j’ai de la dépression. J’ai plus le goût de manger, je ressens ce vide. Peut être que ce que je pensais avoir n’était qu’en réalité une dépression. Je ne sais pas . Des fois je me dis que c’est mieux en finir. Mais non.Je n’en ai toujours pas parlé à un psy, j’attends que l’école commence pour ça. Je ne veux pas que les parents le sache. Ils s’inquiètent toujours mais ils empirent la situation et me peinture comme si j’étais un méchant à leur image. Je veux réellement changer. Je veux être capable de ressentir de nouveau comme avant et redevenir humain. Je suis épuisé de rester réveillé jusqu’à 3 heures du matin en pensant aux mauvaises choses qui sont arrivés ou qui vont arriver ou qui peuvent arriver. Je me rappelle avant quand j’avais une vraie empathie envers les autres mais depuis un an, c’est comme si je me forçais à me faire ressentir ce que les autres ressentent. Mais pourtant je sais que j’ai des regrets et que j’aime les autres. Je suis pas un espèce de psycho pour ça. Ça fait 3 semaines que je fais de mon mieux pour changer et devenir la meilleure personne que je peux et pas juste pour moi mais pour les autres. Je sais que si un de mes proches le savait, ces problèmes en moi. Ils me rejetteraient. Mais pourtant mon infirmière et TES d’école me traitaient avec empathie, affection et amour. Récemment la famille a failli le savoir tout sur moi, comment j’allais pas bien. Je ne vais pas parler des détails, mais une source anonyme a parlé de ce que je ressens à mes parents, et au lieu d’accepter, ils me rejettent. En disant que les gens avec ces problèmes sont des ‘’fuckés’’. Oh et j’ai pas rappelé tel jeunes car honnêtement je sais pas si c’était eux qui ont parler de mes problèmes dépressifs ce que je doute, peut être qu’ils ont mal interprété mes propos et ont cru que j’étais en danger. Je ne suis pas en danger car je compte continuer à vivre et trouver l’aide que je mérite dès le 1er septembre avec le psy de l’école. Je ne vais pas trop en parler mais même si je suis personne pour juger, je suis sûr que le père avait raison pour une fois. Et vu que je devais m’en sortir du trouble potentiel que j’aurais pu avoir, de devoir confesser à ma soi disant famille qui m’aime tellement, et c’est vrai je vous jure ils m’aiment. Ils sont tellement gentils. La meilleure famille que j’aurais pu demander. Mais comme chaque famille, on a nos différences n’est ce pas? Ils ne comprendraient jamais cependant. Et ça allait ruiner mon plan d’aller voir un psy à la rentrée d’école. Alors j’ai menti et j’ai même justifié ça à moi même. Alors que un mensonge reste un mensonge. Je devrais le regretter mais non. Ce que je regrette c’est de pas regretter. Je ne sais même pas pourquoi j’écris ici, car au fond j’ai l’impression que je seras toujours seul. Mais je sais que c’est pas le cas. Ces 3 dernières semaines sont le meilleur progrès que j’ai fait en un an et d’une certaine façon je suis content que mes parents l’ont presque su sur mes problèmes. M’a permis de réfléchir et être déterminée à arrêter de mentir , arrêter d’essayer de cacher que je vais pas bien. Je sais pas si c’est juste moi, mais j’aide les autres, je les écoute, et je les conseille. Mais quand il s’agit de moi je décide de rien dire à personne. En pensant ce que je veux n’est pas important. Tout ce que je veux au fond c’est redevenir comme j’étais avant, ressentir de nouveau. Être aimé et aimer à 100% de mon potentiel. Et si il y a un Dieu quelque part, je veux le rendre fier. Je veux être bien peu importe si faire le mal me donnerait l’avantage, je choisis le bien parce que c’est la bonne chose à faire. Je choisis les autres avant moi.C’est tout ce que j’avais à dire. Si quelqu’un se sent comme moi, vous pouvez me répondre en bas et j’aimerais voir votre opinion. -
ViolonÉpatant10
elle/elle
18hTCAAllo,J'ai un peu de problème avec mon alimentation, et j'aimerais aller chercher de l'aide avant que ça se développe en anorexie. J'ai entendu parler de la maison l'éclaircie, est-ce que quelqu'un pourrait me dire si vous avez eu une expérience positive/ chaleureuse. Est-ce que ça a aidé ? Sinon, avez-vous d'autres ressources accessible ou trucs (et gratuite svp) ? Merci énormément :) -
SushisOptimiste14
elle/elle·13 ans
1jAmitié toxique? Pote tactileHellowwww!alors g deux situations problématiques…un. J’ai une amie trop waaaaawww✨ et je crois que la voir sa me démoralise car elle est tellement meilleure que moi! Genre dans tout! Elle me fait culpabiliser parce elle est assez pauvre et moi mon père est super riche. Alors c sa… c pas une amitié toxique… c juste que la voir m’aider me donne encore plus envie de sombrer…quand je lui dit d truc comme: j’ai rechuter. Elle me dit : tkt moi aussi j’ai eu sa quand j’avais 8 ans.. et sa me fait grave culpabiliser parce que j’ai l’impression elle a plus besoin d’aide que moi…( rechuter de 🦓)le deuxième truc: j’aimerais bien une pote tactile… genre je le suit mais je le cache. J’aime le contact physique avec mes amies. Mais le truc c que j’ai pas de amie comme sa… genre tsé une pote avec qui tu peut délire et faire des bigggg câlin. Aussi je sui bi donc sa me gêne un peu….alors voilà c sa! si vous avez des conseils pour les deux situations je suis ouverte! Parce que la je suis beaucoup perdu!
Réponses
YogaAuthentique5
elle/elle
Coucou! Sache premièrement que tu as fait preuve d'un grand courage de venir parler ici. Tu dis que tu as des personnes de confiance autour de toi mais tu as peur de leur jugement. Et c'est normal que tu sois encore en questionnement. Pour t'aider là-dedans, je te suggère d'écrire comment tu te sens. Bien souvent, cela aide les gens de mettre leur pensées par écrit pour démystifier tout ce qui se passe dans leur tête.
Je te laisse penser à tout ça :). J'espère que ça t'aura aidé et n'hésites pas s'il y a autre chose! Bonne chance pour la suite! xx
RoseSympathique7
Ado TJ·elle/elle·18 ans
Coucou!
J'espère que tu vas bien, malgré tout ça :)
Je sais que ce n'est pas toujours facile de bien pronominaliser quelqu'un, mais je crois que c'est une question d'ajustement pour la société au complet. C'est quand même quelque chose de récent, n'oublie pas, pour la majeure partie de la population. Certain.e.s n'étaient même pas au courant que ça l'existait déjà et même le pronom « iel » vient d'être rajouté au dictionnaire.
C'est une question de sensibilisation, alors il faut être flexible dans un certain sens et ne pas tout attendre de tout le monde.
Si tu veux un conseil, je sais que tu as de la difficulté avec le jugement que les autres pourraient avoir sur toi, mais comme YogaAuthentique5 l'a dit, c'est une bonne idée de l'écrire. Je ne sais pas exactement à qui tu souhaites parler de ça, mais tu peux aussi aborder le sujet avec des gens que tu sais qu'iels seront ouvert.e.s à discuter. Tu peux leur demander de faire un effort, de varier s'il se sentent capables.
C'est comme un exercice et il faut s'entrainer pour comprendre et être capable de bien pronominaliser!
J'espère que j'ai pu t'aider un peu! Prends soin de toi et n'oublie pas qu'on est là s'il y a quoi que ce soit xx