Difficulté
CannellePositif11
iel
Je m'identifie de quelque de non binaire depuis près de 1 an, mais ces temps ci, j'ai l'impression qu'il me manque quelque chose. Pour moi, c'est difficile d'affirmer ma non binarité dans notre société binaire et je me sens plus ou moins mise à l'écart. Je ne me préoccupais pas de mes pronoms et que les gens peuvent se sentir libre de choisir mon pronom. Par contre, le fait qu'on utilise que le « elle » comme pronom m'agace et c'est là que je me suis posé des questions. Dans la société binaire, je me sens plus masculin et très différent des autres personnes féminins de mon âge. J'aimerais que les gens me voient en étant plus masculin que féminin, mais je sais que les inconnus me verront physiquement comme une fille dû à mes traits féminins. Je sais plus quoi penser et ça me fait mal d'être dans cette situation. J'aimerais juste trouver ce qui me va et que je me sentirai bien.
Dernières publications
Liste de discussions
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KoalaIntéressante10
elle/elle
15hMa mèreDepuis, des années j’ai des problèmes avec ma mère. À l’école elle a mis en doute ma crédibilité, en disant le contraire de ce que j’avais raconté sur notre relation. L’école et le TES croit à ma mère et non à moi, je suis enragé puisque celle ci m’a blesser physiquement sur mon corp . Je me sens répétitivement seul,puisque qu’elle travaille beaucoup, heureusement que je passe beaucoup de temps avec son amie, je voudrais juste un conseil pour apprendre à communiquer avec elle pour améliorer notre relation. -
TempêteFestif3
elle/elle·13 ans
15hM'accepterMon t.s.a, je ne l'ai jamais vraiment compris. Ça fait un an que j'ai eu mon diagnostique, mais je n'ai jamais compris quoi faire de ça. Qu'est-ce que ça fait de moi? Une personne inapte en société, mais pourtant qui a besoin des autres pour vivre? Je suis une autiste élevé, ce qui veut dire que j'ai beaucoup de caractéristiques mais que je ne suis pas non-verbale. Je ne sais pas quoi penser de moi, sur quel modèle me calquer maintenant que je sais qui je suis. Genre, depuis que j'ai mes idées suicidaires, mon diagnostique, depuis que j'ai eu consience que toute ma vie était un mensonge, je renaît, mais pas dans la bonne époque. Trops d'attentes sociales, de pressions. D'abbord, mon entrée en secondaire 1, p.e.i. Mes amis... Je ne décode plus personne, je suis toujours fatiguée, mes idées suicidaires me lâchent pas... Puis, peu après la rentrée, j'ai eu ma première hospitalisation. 3 mois. Ensuite, j'y suis retourné il y a pas longtemps pour une semaine. Quand je suis vraiment tanné, je m'automutile un peu, je crois. Et depuis ma dernière hospit, je suis devenue agressive, parce que personne ne m'écoutais, me comprenais. Ils m'ont sortis de l'hôpital de force, parce que, j'ai compris plus tard qu'ils ne savaient pas comment m'aider, que j'étais rendu trop, alors ils m'ont juste... Dégagée. Alors, j'ai repris ma vie normale, faire mes intérêts qui me tentes plus (dépression autistique), je vais pu dehors, pas d'école à part un cours....Je sais plus où je suis rendue. Je suis perdue. Désolée pour ce long monologue, ça fait du bien de sortir des choses, comme avant. Merci de m'avoir lue.@TempêteFestif3. -
NuageIntelligent3
elle/elle·15 ans
1jDépourvue de bonheurCoucou j'ai 15 ans je suis en famille d'acceuil de proximité (elle est parfaite ,c'est la meilleur famille d'acceuil que j'ai eue ) avec le centre jeunesse. J'ai aussi un merveilleux chum et de parfaites amies, mais au fond de moi j'ai l'impression que une partie de moi saurais jamais combler de bonheur à 100% et que rien peut combler le petit manque qui est en moi et que ma famille, mes amies et mon chum n'arrivent pas à combler est-ce que c'est normal j'aurai vraiment besoin de recommandation car mon mental à besoin d'avoir des ressources pour que je puisse trouver l,aide dont j'ai besoin .Merci beaucoup de me répondre en avance -
GrenouilleIntelligent16
elle/elle
1jInsensible?Je suis bénévole dans un hôpital depuis longtemps. Récemment, il y à plusieurs patients dont je suis proche qui se sont fait diagnostiquer un cancer. Tous mes collègues arrêtent pas de dire que c’est horrible, qu’ils ne veulent pas qu’ils meurent. Ça ne me dérange pas si ils meurent. C’est dommage si ils meurent, mais ça fait quoi? Est ce que je suis insensible? Pourtant, les patients me disent que dans notre département, je suis la bénévole la plus rassurante, gentille, empathique et celle qui leur redonne toujours de l’énergie grâce à ma bonne humeur et mon sourire. Chaque fois que quelqu’un de ma famille proche mourrait, ça ne me dérangeait pas.
Réponses
CaféCalme2
elle/elle·16 ans
J’espère que tu vas arriver à te faire voir comme tu le souhaite. Tu as beaucoup de courage de commencer à t’assumer comme tu es. Le plus important c’est de se sentir bien et sans jugement;) Ton post est très inspirant.