enceinte

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SorbetFestif1

elle/elle·16 ans

11m

Allo je suis enceinte et je ne sais pas qui est le pere . Aidé moi silvousplait

Réponses

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    LinAmusé9 alltheme

    Ado TJ·elle/elle·18 ans

    11m

    Allô @SorbetFestif1 :)

    Wow… C’est une grosse nouvelle ça… Comment est-ce que tu te sens dans tout ça? À ta place, je pense que je capoterais et que je saurais pas quoi faire… Tu fais vraiment bien de venir demander de l’aide. Je vais faire mon possible pour te donner des bonnes infos.

    Mon conseil #1 pour toi, ce serait de bien t’entourer pour pas rester seule là-dedans. Aie pas peur d’en parler. Il y a aucune honte à avoir, je te le promets.

    Si tu décides de mener la grossesse à terme, la première chose à faire, c’est de rencontrer un médecin pour t’assurer que tu es en santé et que ton bébé aussi (dépistage du diabète de grossesse et d’ITSS, suivi prénatal, échographie, etc.) 

    Pour confier le bébé en adoption, informe-toi auprès d’un centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) ou d’un centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS).

    L’âge de consentement à l’avortement, c’est 14 ans (donc, l'autorisation des parents n’est pas nécessaire pour avorter). Tu n’as pas non plus besoin, d’un point de vue légal, de l’autorisation du père. C’est ton corps, alors c’est uniquement à toi que revient la décision de poursuivre ou non ta grossesse.

    Même si l’avortement est légal tout au long de la grossesse, son accès peut devenir plus difficile au fur et à mesure qu’elle avance. La majorité des personnes l’obtiennent durant le premier trimestre (dans les 12 premières semaines de grossesse). Les clinique spécialisées, les CLSC et les hôpitaux sont les endroits où aller à ce moment-là. Il y a aussi l’option des avortements médicaux (pilule abortive) que tu peux avoir avec ton médecin de famille au début de la grossesse. À ne pas confondre avec la pilule du lendemain ;)

    Ça fait beaucoup sur tes épaules… Et c’est pour ça que tu dois pas rester seule. Il y a Info santé 811, SOS grossesse, les interventant.es de Tel-jeunes et de Jeunesse, j’écoute… et aussi tes parents, tes profs, les adultes de confiance autour de toi. Oublie pas qu’ils sont là pour toi et qu’il ne vont pas te juger. 

    C’est vraiment pas facile ce que tu vis et je te trouve vraiment forte. T’as toute mon admiration... 

    Reviens sur le forum quand tu veux, on va toujours être là pour toi. Courage, je suis certaine que tu vas faire ce qu’il faut :) Prends soin de toi!

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    CitronelleCombatif15

    elle/elle

    11m

    Salut @SorbetFestif1

    Je connais une fille ( ma cousine ) qui a eu le même problème que toi.

    Je lui ai dit que pour l'instant elle devrait attendre le premier rendez vous pour savoir si le petit bébé/l'embryon et bien placer! Après qu'elle pouvait parler avec le gars qu'elle a côtoyé les derniers jours pour savoir si il veut faire un test de paternité ces comme ça qu'elle a su qui étais le père de son enfant.

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    SoleilSportive11 alltheme

    Ado TJ·elle/elle·19 ans

    11m

    Salut @SorbetFestif1 🤍

    Je comprends que ce soit peut-être angoissant d’être incertaine de l’identité du père… ça a pas l’air facile. Courage, tu es forte 🤍

    C’est une grande nouvelle et il se peut que tu te sentes tout un mélange d’émotions, ce qui est tout-à-fait valide. Prends le temps de dormir, de manger et de te changer les idées 🤍

    Aurais-tu peut-être une idée à quel point tu es rendue dans la grossesse? Si c’est comme 3-4 semaines, peut-être que tu pourrais prendre le temps de penser à nouveau à tes pratiques personnelles il y a environ ce temps. Peut-être que ça pourrait te donner une idée :) 

    Puis, avais-tu voulu être enceinte au départ…? Si oui, j’imagine que la pensée plus angoissante serait de connaitre l’identité du père. Sinon, peut-être que le fait d’être enceinte est plus stressant… aimerais-tu poursuivre avec la grossesse et garder le bébé? Je te pose cette question dès maintenant, comme ça tu peux prendre le temps d’y penser à tête reposée 🤍

    D’ailleurs, aimerais-tu peut-être en parler avec une personne (un.e adulte) de confiance pour avoir du soutien dans tes démarches? Ça peut aider d’en parler 🤍

    @SorbetFestif1 , prends du temps pour te reposer, pour y penser. Cette nouvelle peut t’avoir déstabilisée et c’est normal, ça va aller, crois-moi 🤍

    N’hésite pas à nous écrire à nouveau si jamais il se passe de quoi! On sera là pour t’offrir du soutien 🫶

    Je t’envoie un gros câlin virtuel en attendant ✨🧸

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    KoalaIntéressante10

    elle/elle

    8h
    Ma mère
    Depuis, des années j’ai des problèmes avec ma mère. À l’école elle a mis en doute ma crédibilité, en disant le contraire de ce que j’avais raconté sur notre relation. L’école et le TES croit à ma mère et non à moi, je suis enragé puisque celle ci m’a blesser physiquement sur mon corp . Je me sens répétitivement seul,puisque qu’elle travaille beaucoup, heureusement que je passe beaucoup de temps avec son amie, je voudrais juste un conseil pour apprendre à communiquer avec elle pour améliorer notre relation.
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    TempêteFestif3

    elle/elle·13 ans

    9h
    M'accepter
    Mon t.s.a, je ne l'ai jamais vraiment compris. Ça fait un an que j'ai eu mon diagnostique, mais je n'ai jamais compris quoi faire de ça. Qu'est-ce que ça fait de moi? Une personne inapte en société, mais pourtant qui a besoin des autres pour vivre? Je suis une autiste élevé, ce qui veut dire que j'ai beaucoup de caractéristiques mais que je ne suis pas non-verbale. Je ne sais pas quoi penser de moi, sur quel modèle me calquer maintenant que je sais qui je suis. Genre, depuis que j'ai mes idées suicidaires, mon diagnostique, depuis que j'ai eu consience que toute ma vie était un mensonge, je renaît, mais pas dans la bonne époque. Trops d'attentes sociales, de pressions. D'abbord, mon entrée en secondaire 1, p.e.i. Mes amis... Je ne décode plus personne, je suis toujours fatiguée, mes idées suicidaires me lâchent pas... Puis, peu après la rentrée, j'ai eu ma première hospitalisation. 3 mois. Ensuite, j'y suis retourné il y a pas longtemps pour une semaine. Quand je suis vraiment tanné, je m'automutile un peu, je crois. Et depuis ma dernière hospit, je suis devenue agressive, parce que personne ne m'écoutais, me comprenais. Ils m'ont sortis de l'hôpital de force, parce que, j'ai compris plus tard qu'ils ne savaient pas comment m'aider, que j'étais rendu trop, alors ils m'ont juste... Dégagée. Alors, j'ai repris ma vie normale, faire mes intérêts qui me tentes plus (dépression autistique), je vais pu dehors, pas d'école à part un cours....Je sais plus où je suis rendue. Je suis perdue. Désolée pour ce long monologue, ça fait du bien de sortir des choses, comme avant. Merci de m'avoir lue.@TempêteFestif3.
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    NuageIntelligent3

    elle/elle·15 ans

    23h
    Dépourvue de bonheur
    Coucou j'ai 15 ans je suis en famille d'acceuil de proximité (elle est parfaite ,c'est la meilleur famille d'acceuil que j'ai eue ) avec le centre jeunesse. J'ai aussi un merveilleux chum et de parfaites amies, mais au fond de moi j'ai l'impression que une partie de moi saurais jamais combler de bonheur à 100% et que rien peut combler le petit manque qui est en moi et que ma famille, mes amies et mon chum n'arrivent pas à combler est-ce que c'est normal j'aurai vraiment besoin de recommandation car mon mental à besoin d'avoir des ressources pour que je puisse trouver l,aide dont j'ai besoin .Merci beaucoup de me répondre en avance
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    GrenouilleIntelligent16

    elle/elle

    1j
    Insensible?
    Je suis bénévole dans un hôpital depuis longtemps. Récemment, il y à plusieurs patients dont je suis proche qui se sont fait diagnostiquer un cancer. Tous mes collègues arrêtent pas de dire que c’est horrible, qu’ils ne veulent pas qu’ils meurent. Ça ne me dérange pas si ils meurent. C’est dommage si ils meurent, mais ça fait quoi? Est ce que je suis insensible? Pourtant, les patients me disent que dans notre département, je suis la bénévole la plus rassurante, gentille, empathique et celle qui leur redonne toujours de l’énergie grâce à ma bonne humeur et mon sourire. Chaque fois que quelqu’un de ma famille proche mourrait, ça ne me dérangeait pas.