L'Optimisme
VentNaturel12
il/lui
Bonjour, je me demandais comment je pourrais être positif, les examens me stresses et je panique à chaque fois qu'un examen arrive, En plus de ceci. Je ne pense pas optimiste et donc je stress sur peu, comment je peux penser autre que négatif.
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Liste de discussions
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MatchaÉpatant11
elle/elle
10hInsécurité/peurJe suis présentement dans ma première sérieuse relation et pourquoi j’ai peur de ne pas être asser? Pas juste envers lui mais sa famille. Je pense juste a comment ses ex était avec ses parents est-ce qu’elle leurs parlait plus ou était-elle plus allaise, plus le fun que moi.
Je suis une fille gêner et je le sais mais des fois je voudrai être la “bubbly girl” qui a toujours qu’elle que chose a parler de. J’adore sa famille mais je me demande juste si qu’il crois que je suis awkward ou pas le fun. Je vois les autre fille avec leur “belle-mère” et elles parlent et on l’aire alaise avec eux.
Auriez-vous des trucs a me donner pour le pas parrêtre awkward?
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MatchaÉpatant11
elle/elle
10hSuis-je le problèmeJ’ai toujours eu de la misère a me garder des meilleure amies. Depuis que je suis jeune je me fait toujours laisser aller sans aucun context. J’ai le feeling comme si je me suis toujours fait utiliser parce que je suis une personne qui ne dit pas non souvent(j’ai apris a le dire au courant des années) et dernièrement ma meilleur amie c’est fait un gars et elle ne me parle quasiment plus, on se text plus et quand on se voit en vrai c’est juste “awkward”. J’ai tout fait pour elle et j’etais la pour elle et ausitôt qu’elle se fait un petit ami, bien c’est comme si je n’existe plus. Mais, vu que se n’est pas la première fois que sa m’arrive je ne parle pas parceque je crois que c’est “normal” de juste arreter de me parler sans rien me dire. Je suis contente pour elle mais pourquoi qu’ont se ne voit plus?
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CamomilleSympathique13
elle/elle·13 ans
20hanxiétéBonjour je voulais savoir comment ont fait pour arrêter de trembler ou de stresser j'aurais besoins de votre aides s.v.p.
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TofuFestive8
elle/elle·16 ans
1jAddiction téléphoneBonjour,
En arrivant au secondaire, tout le monde avais déjà un téléphone en secondaire 1. Alors pour « fiter » je prenais le téléphone de mon père et je scrollais sur TikTok.
En fin secondaire 2, j’ai eu un téléphone. J’avais TikTok, Instagram, Facebook, YouTube et pleins de jeux mobiles.
En secondaire 3-4 j’ai supprimé TikTok et Instagram. En secondaire 5, j’ai supprimé YouTube (je l’utilisais seulement pour de la music alors j’ai installé YouTube music) et maintenant je scroll sur Facebook. Je ne peux pas vraiment enlever Facebook car je gère des groupes de familles, écoles et amies.
Bref, je scroll depuis longtemps.
Je m’intéresse énormément à la santé mentale et j’aide beaucoup les gens autour de moi, mais je ne prends pas le temps de m’aider moi. Comme on dit : cordonnier mal chaussé.
Je passe mes journée sur mon cell. A l’école je ne l’utilise pas vraiment mais dès que j’arrive à la maison, je scroll, je scroll, je scroll. Je suis tellement épuisé de mes journées d’école que ça ne me tente plus de faire mes devoirs, alors je passe mon temps à scroller. Donc je finis pas faire mes devoirs très tard, je me couche donc très tard. Je suis tout le temps fatigué et donc démotiver. je suis alors toujours en retard dans mes travaux. C’est un cercle vicieux.
La semaine, en moyenne, je passe 4h/jour sur mon téléphone. La fin de semaine, je passe en moyenne 6-7h par jour.
Je ne prends plus le temps de faire les activités que j’aime : lire, crocheter, ecrire, marcher, faire des puzzles, etc.
J’ai décidé d’aller voir la madame de toxicomanie. Elle était très gentille puis je vais la revoir. J’essaie de prendre soin de moi, mais je n’arrive pas à me faire d’une routine. Je veux aller mieux et profiter du moment présent, être moins stressé et lâche mon téléphone.
Réponses
BélierTalentueuse1
elle/elle·17 ans
Bonjour,
Je fais aussi beaucoup de stresse lors de mes examens. Mais mes trucs sont ceci :
RoseSympathique7
Ado TJ·elle/elle·18 ans
Salut!
J'espère que tu vas bien :)
Tu dois pas mal avoir fini tes examens, mais je réponds à ton message au cas-où ça pourrait t'aider pour plus tard ou que quelqu'un d'autre tombe sur ta publication et qui a aussi besoin d'aide!
Premièrement, il faut que tu saches que c'est totalement normal de stresser avant un examen. Si tu ne l'étais pas, dis-toi que ce ne serait pas normal. L'important c'est de tranquillement arriver à gérer ce stress pour pas qu'il amplifie jusqu'à te nuire et avoir des mauvaises conséquences sur ce qui t'arrive pendant ton examen/ton mode de vie habituel. Il y a beaucoup de moyens que tu peux prendre pour trouver une solution à tout ça, et ce, sans nécessairement avoir besoin de rencontrer ton médecin, devoir être diagnostiqué, prendre des médicaments ou autre. Évidemment, si tu penses avoir tout essayé, mais que rien ne fonctionne après avoir parlé à des intervenant.e.s à l'école, après en avoir parlé avec des personnes de confiance autour de toi, je t'invite fortement d'en discuter avec ton médecin. Normalement, c'est soit les prescriptions, les thérapies, psychologues/travailleurs sociaux, etc.
Je vais faire de mon mieux pour essayer de te donner des trucs, mais n'oublie pas que ça varie pour chaque personne et que c'est important que tu n'abandonnes pas au premier essai, car gérer son stress c'est quelque chose qui prend du temps. C'est vraiment important que tu t'en rappelle et que même si un certain truc ne fonctionne pas, que tu en essaies d'autres puisque ça varie énormément d'une personne à l'autre!
Bref, j'espère que j'ai pu t'aider pour maintenant ou dans le futur! Prends soin de toi et repose-toi bien pendant les vacances. N'oublie pas de t'amuser aussi!
Nous sommes là si tu as besoin de quelque chose xxx
TisaneBienveillante10
Ado TJ·elle/elle·17 ans
Coucou :)
Je comprends, ça m’arrive aussi, de ne voir que le négatif et de stresser. Hier soir, justement, je n’arrivais pas à m’endormir à cause de ça. J’étais triste, fatiguée, stressée, sans trop savoir pourquoi. Je venais tout juste de regarder une série sur les pensionnats autochtones et je repensais en plus au travail qu’il me restait à faire et à ma note d’examen final de science. Je n’allais pas bien, c’était vraiment pas un beau mélange d’émotions. Alors j’ai juste sorti une feuille lignée et j’ai écrit ce à quoi je pensais. Triste, stressée, pensionnats, travail, note de science, déception, il est tard, bagages pour demain...
Puis, j’ai essayé de relativiser. En pensant aux autres choses que des gens doivent subir présentement, bien pire que ce que moi je vivais.
Et je me suis rassurée. J’ai écrit sur les vacances, comme quoi j’allais aller dans le bois avec mon amie le lendemain (aujourd’hui!). Je me suis concentrée là-dessus, en écrivant sur les arbres, le feu qui crépite, les lucioles, les grillons, l’odeur de bois qui brûle. Puis je me sentais mieux.
Il y a toujours moyen de voir le beau, le positif. Ce qui va bien. Et ça fait tellement du bien quand on le trouve! C’est sûr que c’est dûr des fois (spécialement dans une période de stress avec les examens). Alors je pense qu’un bon truc, ce serait d’écrire à l’avance des choses positives à relire quand tu vas moins bien. Alors par exemple, une journée où tu vas vraiment bien, qu’il fait beau et que tu as du fun, tu pourrais te faire un petit mot à toi-même pour y écrire comment tu te sens et rassurer la toi stressée. C’est toi qui te connais le mieux, tu sais ce que tu as besoin d’entendre quand tu es stressée, tu peux comprendre comment la toi du futur va se sentir quand elle est submergée par tout ce qui va mal.
Tu pourrais aussi te faire un mot après un examen. Si après l’avoir fait, tu te sens mieux, que tu te rends compte que le stress n’était pas nécessaire, que finalement tout (ou presque!) a bien été, alors tu peux te l’écrire aussi! Te dire : Aujourd’hui, l’examen s’est vraiment bien déroulé, c’était beaucoup moins pire que ce que je croyais. Ne stresse pas trop, ça sert à rien. Tu es bonne, tu es prête. Fais de ton mieux, c’est ça l’important. Le reste, on s’est fout. Ta note? Elle ne veut rien dire si tu as fait tous les efforts que tu pouvais et que tu as donné le meilleur de toi. La note de tes amis? Elle compte encore moins! Vous avez travaillé chacun de votre bord, donc différemment. Vous êtes tous différents aussi. Alors par logique, vos notes vont toutes être différentes les unes des autres et c’est ce qu’il y a de plus normal! J’ai des amies qui n’étudient pas beaucoup et ont toujours plus de 90%, et d’autres qui étudient énormément et ont autour de 80% ou 75%. C’est normal. Même si, bon, ce n’est pas très juste…
Mon dernier conseil, ce serait de te donner un semblant de note avant de faire ton examen. Ce que je veux dire, c’est de réfléchir à la note que tu attends en fonction de ton étude. Sans connaître les questions de l’examen. Simplement de ne pas vouloir atteindre l’excellence à tout prix, ça peut énormément réduire le stress. Si tu te dis que tu aimerais avoir autour de 85% pour cet examen, alors tu seras peut-être un peu moins stressée que si tu tenais à avoir au moins 95%, non? Bref, c’est juste une idée!
Alors en gros, mes 2 conseils sont de
J’espère que ça t’aidera!! Si tu veux répondre à mon message, ça me fera plaisir de te lire ;) Prends soin de toi, j’espère vraiment que tes examens (s’il t’en reste) se dérouleront bien ❤
SoleilSportive11
Ado TJ·elle/elle·19 ans
Salut!
Tu as sûrement fini tes examens à ce point, mais j’espère que ma réponse te sera utile pour plus tard et/ou pour d’autres aussi :)
Je comprends que tu puisses te sentir stressé avant les examens. C’est totalement normal et correct. Pour certains, ça peut être plus stressant ou moins, certains peuvent être presque pas du tout stressés (j’en connais pas beaucoup par contre). Ça m’est aussi arrivé de stresser avant les examens, même pendant ou après, selon les examens. Je pense que c’est pas mal inévitable et que la majorité finit pas passer par l’étape du stress des examens, mais voilà :) On peut y arriver, tu peux y arriver! C’est une question de temps, de persévérance et de self-care ;) Bon, je ne dis pas par là que c’est LA recette magique pour aller mieux, mais plutôt des pistes de solutions pour se diriger vers soi qui se sent (un peu/beaucoup/etc.) mieux.
Bon, le stress, c’est pas facile quand il y en a trop, mais ça peut arriver. Puis, quand ça devient dur à gérer, ça peut aussi arriver, mais il ne faut pas se décourager :)
Il est tentant de se dire qu’avec un certain truc, le stress sera parti pou de bon et qu’on sera « immunisé » contre le stress pour le reste de notre vie. Eh bien non! Ça peut revenir... à différents degrés, à différentes intensités, à tout moment. L’important est qu’on peut passer à travers, on est capables :) Une certaine façon de gérer le stress pour certains peut ne pas fonctionner pour d’autres et c’est bien correct. Un pas à la fois, on peut y arriver!
Donc, j’ai quand même beaucoup développé sur le stress, mais bon, je vais revenir au sujet de départ: l’optimisme. Pas facile de l’être toujours, mais est-ce qu’on est vraiment obligés? Pour être honnête, ça m’a pris quand même du temps pour apprendre à être optimiste et j’ai appris que ne pas toujours l’être est aussi tout à fait acceptable.
Bon, clarifions les choses. Je pense qu’on le sait quand même bien, mais c’est bien de nous le répéter: être optimiste ne veut pas dire voir la vie en rose à tout moment. C’est savoir trouver le positif dans des moments heureux et/ou moins heureux. C’est pas facile d’être optimiste, mais ça ne devient pas impossible, c’est possible :)
Bon, être optimiste n’arrive pas difficilement quand on trouve des façons de l’introduire plus souvent (progressivement) dans notre quotidien. Bien sûr, il peut être plus difficile de l’être de temps en temps et ça, c’est normal.
Je pense qu’une des premières choses à réaliser est que la négativité et la positivité ne viennent pas seuls. Pourquoi est-ce qu’on sait qu’on pense de façon plus pessimiste à des moments? C’est parce que la balance penche plus du côté négatif et nous amène à remarquer plus ce côté puisqu’il commence à prendre plus de place, plus d’ampleur. L’important, ce n’est pas d’éliminer à jamais le côté négatif, mais bien, de le balancer du mieux qu’on peut.
Une autre chose à apprendre est à accepter nos émotions. Eh oui! On nous dit d’apprendre à contrôler nos émotions, mais ça ne revient pas toujours à les mettre de côté! En tout cas, pas jusqu’au point que ça ne devient plus supportable... et tu comprends (j’espère) par là, que j’insiste plus sur les émotions négatives qu’on accumule en nous. Bref, vivre nos émotions, ça peut se faire. Ce n’est pas un signe de faiblesse de montrer qu’on est heureux, triste, excité, fâché, etc. Je trouve qu’on essaie de montrer soit que « tout va bien » ou de rester impartial. Je ne vois presque pas quelqu’un dans mon entourage dire que ça va moins bien. Je prends souvent ça comme une bonne nouvelle, mais voilà, quand on est moins bien, notre expression faciale, notre langage du corps montre ce qu’on ressent. C’est normal de ne pas toujours bien aller :) On n’aimerait pas autant les montagnes russes s’il n’y avait que hauts, n’est-ce pas? Il faut parfois des bas pour nous faire apprécier le haut.
Bon, je me suis laissée aller dans ma métaphore, mais j’espère que tu comprends ce que je veux dire :) Sinon, j’aimerais ajouter une phrase cliché, mais bien vraie: Le bonheur se trouve dans les petites choses. Il ne faut pas toujours se concentrer sur la scène, mais parfois jeter un œil sur ce qui se passe à des places spécifiques. Oui, la situation peut sembler impossible, elle peut être remplie de négativité... mais souviens-toi, le négatif ne vient pas seul. Il y a des petites bonnes choses dans des grandes mauvaises choses. J’espère que je ne te perds pas en ce moment, j’ai l’impression d’étendre mon explication dans tous les sens haha! Bon, en gros, quand ça va moins bien, j’essaie de voir ce qui va bien. C’est contre-intuitif des fois (ou la plupart du temps), mais j’essaie.
Un exemple: j’allais moins bien hier. J’ai eu un mal de ventre (accompagné d’un mal de tête à un certain moment et d’une fatigue) qui m’a gardée au lit pendant presque la journée entière. J’étais fatiguée et j’étais pas super fière que mes vacances commencent avec un mal de ventre. Heureusement, je n’avais rien de prévu. J’en ai profité pour dormir, prendre une longue sieste. Ça m’a permis d’aller mieux en soirée parce que j’ai pris du temps pour moi, du repos. Mes sœurs et mes parents m’ont laissée tranquille et ils m’ont aidée à aller mieux. Bref, ce que je retire de cette journée-là, oui, j’étais pas en forme. J’avais voulu aller marcher dehors et profiter d’une première journée de vacances comme ça, mais bon. Ce qui est arrivé est passé. Ce que j’ai retiré de positif, c’est que vu que j’avais rien de prévu, je n’ai pas eu de stress supplémentaire (je n’ai pas manqué de l’école ou un événement important), j’ai binge watch plein de trucs haha, ma famille a été là pour moi et j’en suis vraiment reconnaissante. Parfois, on ne s’en rend pas compte, mais les gens qu’on aime sont là pour nous plus qu’on le croit. Bref, je n’essaie en aucun cas de me vanter ou de critiquer d’autres cas où on aurait pas ce soutien, mais voilà, j’ai voulu donner un exemple pour trouver du positif alors que la situation semble juste désolante.
Bon, ma réponse a été plus longue que prévu, mais j’espère que ça t’aide. Je pense qu’il est important de se rappeler qu’être optimiste est un processus en développement, tout le temps. Ce n’est pas parce qu’un jour passe mal et qu’on y voit pas vraiment du positif, qu’on a échoué. Ça m’arrive aussi d’être plus « pessimiste », mais j’essaie de me remémorer que « ça va bien aller » (eh oui, le clogs pour la covid!).
Bien sûr, si tu sens qu’y arriver seul s’avère plus difficile que prévu, n’hésite pas à en parler avec de la famille, des amis ou une aide professionnelle. C’est aussi important. Parfois, j’en parle avec ma famille, mes amis... puis même si la situation se règle ou pas, en parler aide beaucoup. Ça aide à ressortir un peu la négativité. Il faut faire attention à ne pas tout le temps faire cela non plus, mais c’est une bonne façon lorsqu’on sent qu’on a besoin d’aide pour pas accumuler le négatif.
Plusieurs peuvent aussi trouver un certain mécanisme pour gérer la négativité. Ils trouvent une activité qu’ils aiment pour faire « évacuer le négatif » comme ça, il devient plus facile de se concentrer sur le positif. C’est une bonne idée aussi :)
Sinon, pour ceux qui sont moins bavards ou qui ne veulent pas nécessairement en parler, l’écriture est un moyen génial pour laisser sortir tout ce qu’on ressent sans aucune crainte. Pas de crainte de jugement parce qu’au final, on est pas obligés de faire lire ce qui est écrit à quelqu’un. Bien sûr, si c’est une façon d’en parler avec quelqu’un quand il est plus difficile de le dire à voix haute, l’écriture peut aussi aider.
Bon, j’ai encore développé, mais je pense que je vais être à court de mots. J’espère que ça t’a été utile :) N’hésite pas à nous écrire s’il y a quoi que ce soit! On est là pour toi!