Sleepover

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GiraffeAutonome8

elle/elle

3a

Hey TJ! Mes parents sont très stricts par rapport aux sleepovers et ne me laisse de dormir chez nul. J'ai essayé toutes les possibilités comment les convaincre, mais rien à marcher. Je vois toutes mes amies faire des sleepover et moi je suis toujours la seule qui doit partir, car mes parents ne me laisse pas dormir. Je ne peux même pas en faire avec ma best-friend que je connais depuis 2 ans maintenant et que mes parents l'ont vu plusieurs fois. Je ne sais plus quoi faire, pourriez-vous m'aider?

Réponses

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    RoseSympathique7 alltheme

    Ado TJ·elle/elle·18 ans

    3a

    Coucou @GiraffeAutonome8 !

    J'espère que tu vas bien :)

    Je suis contente que tu en parles, tu n'es probablement pas la seule à vivre ce genre de situation! Je crois que tu vas en aider plus d'un.e.

    Honnêtement, ça appartient pas mal à tes parents de prendre cette décision. C'est certain que si tu t'en vas en secondaire 5, ce n'est pas la même chose que secondaire 1 au niveau de la maturité. Donc si tu es plus jeune, je crois que c'est en démontrant à tes parents qu'ils peuvent avoir confiance en toi que peu à peu, ils changeront peut-être d'avis. Tu peux essayer de leur en parler, trouver un moyen avec eux. Sache par contre que certains parents sont très stricts et ne changeront pas ce genre de règlement, et il faut que tu le respectes. Tu peux toujours leur demander les raisons pour lesquelles ils refusent! Comme ça, tu pourras voir leur point de vue, et peut-être trouver une décision qui se situe un peu plus dans le « juste milieu ». Si tu ne sais pas c'est quoi, c'est en fait de prendre une décision qui va chercher l'avis de chaque personne dans la situation et ainsi pouvoir trouver une conclusion qui convient à tous, oui en te respectant toi, mais aussi tes parents et pouvoir les rassurer si jamais ils ont des craintes par rapport à tout ça.

    Je le répète, cette décision appartient à tes parents. Ça sert à rien de se « rebeller » si jamais leur avis ne change pas. De ton côté, tu peux en parler à tes ami.e.s pour voir ce qu'iels en pensent. Si jamais tu as peur de leur jugement, fais-en leur part, je suis certaine qu'iels comprendront.

    Je sais que ce n'est pas toujours facile, mais je te comprends. Je connais aussi plusieurs personnes autour de moi que leurs parents ne veulent absolument pas de sleepover, etc.

    Bref, j'espère avoir pu t'aider! Prends soin de toi et n'hésite pas s'il y a quoi que ce soit. Nous sommes là pour toi! Courage xx

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    SoleilSportive11 alltheme

    Ado TJ·elle/elle·19 ans

    3a

    Salut @GiraffeAutonome8 !

    Je te comprends 🙃 Je suis passée par cette période aussi et je comprends que tu puisses être découragée par leur « non » constant. C’est pas super agréable comme feeling et honnêtement, ça finit par passer.

    Je ne sais pas vraiment quel âge tu as, mais si tu es dans ton début d’adolescence, je suppose que t’es parents puisse t justifier leur décision pour ton jeune âge. Les miens aussi l’ont dit... j’avoue que ça peut sonner plate, mais parfois, ça peut être mieux comme ça, si tu es « trop jeune pour les sleepovers » selon leur jugement.

    Si tu es d’un âge plus mûr, il est possible que ce soit relié à d’autres raisons que tes parents n’ont peut-être pas encore exprimées. Peut-être craignent-ils pour ta sécurité et ta santé? Si j’essaie de me mettre à la place de mes parents, c’est pas toujours facile de laisser un.e jeune aller 🙃 Peut-être qu’ils aiment mieux savoir que tu présente avec eux au lieu de s’inquiéter. Je ne pourrais pas justifier leur refus à leur place, mais je crois sincèrement que des bonnes intentions seraient la cause de leur réponse. Pourquoi pas leur demander? Connaître leur point de vue te serait sûrement utile pour peut-être trouver un « juste milieu » comme l’a mentionné @RoseSympathique7 . Quand mes parents m’avaient dit non quand j’étais plus jeune, je leur ai demandé de m’expliquer leur point de vue. Non, je n’ai pas immédiatement été d’accord avec leur raisonnement, mais ça m’a aidé à les comprendre, à mieux accepter la réalité en quelque sorte. Sinon, je me serais demandé trop longtemps pourquoi j’avais reçu « non » comme réponse.

    Plus tard, lorsqu’il a encore été question du même raisonnement, j’ai pu utiliser leurs arguments un peu à mon avantage ;) Bon, ça n’a pas fonctionné du premier coup, mais après deux/trois essais, ça a marché (quelques fois) 🙂 C’est encore un peu le concept du terrain d’entente, tu peux négocier un peu, mais tu ne peux pas complètement renverser leur décision. Au final, celle-ci revient à eux et ils en assument la grande partie des conséquences. Si tout se passe bien et tu vas à un sleepover, super; sinon, ils seront plus réticents la prochaine fois :(

    Honnêtement, il se peut que tes parents ne soient toujours pas d’accord pour te laisser y aller, même après nombreuses négociations ou terrains d’entente trouvés. Si tes parents se montrent stricts, tu ne peux pas vraiment changer cela :/ C’est possible et il faut respecter leur décision.

    Bref, je comprends ce que tu puisses ressentir. Ce n’est pas facile, mais tu n’es pas seule :) Ça peut arriver à plusieurs de passer par cette étape. C’est probablement plate de se faire dire non, mais bon, on ne pas tout contrôler non plus ;)

    Prends soin de toi et fais attention à toi, puis n’hésite pas à écrire ici quand tu veux!

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    FattoucheAmusé15

    elle/elle·21 ans

    2a

    Une soirée pyjama est un excellent moyen de passer du temps avec des amis et de s'amuser. Mais il y a quelques points que vous devez garder à l'esprit pour vous assurer que votre soirée pyjama se déroule sans heurts. Tout d'abord, assurez-vous d'avoir suffisamment d'espace de couchage pour tout le monde. Si vous allez tous dormir dans la même pièce, vous aurez besoin de suffisamment de lits ou de matelas pneumatiques pour tout le monde. Vous devrez également vous assurer qu'il y a suffisamment d'espace pour que tout le monde puisse dormir confortablement. Deuxièmement, planifiez des activités amusantes pour tout le monde pendant la soirée pyjama. Cela peut inclure regarder des films, jouer à des jeux ou simplement discuter et passer du temps ensemble. Troisièmement, ayez des collations et des boissons à portée de main pour que tout le monde puisse en profiter. Cela n'a pas besoin d'être quelque chose d'extraordinaire - juste quelques collations et boissons simples que tout le monde appréciera. Enfin, assurez-vous d'avoir un

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    ConfitureDynamique17

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    Salut, ça fait un bout de temps que j'ai pas écrit sur le forum. je suis un peu dans une situation... difficile. J'ai 13(bientôt 14) et j'ai vécu des choses (trop). Je vois une travailleuse sociale, je bientôt faire des activités avec des victimes d'agressions sexuelles dans un centre...et ect. Maintenant que m'a vie commençait à reprendre le bon chemin, mon père m'a suggéré d'aller vivre chez lui pendant 1 ans ( je le vois une fin de semaine sur deux habituellement et l'été je le vois une semaine sur deux). Il faut savoir que, j'ai pas le meilleur environnement chez ma mère. Ça fait que crier et se chicaner entre tout le monde, surtout entre mon beau père et ma mère. Mon père m'a donc suggéré sa, mais je ne sais vraiment pas quoi dire... J'en ai parler à mon cousin de 20 ans, lui qui a eu pratiquement les mêmes situation que moi, était le mieux placé pour me comprendre. Il m'a dit, et je site...<< Tu devrais dire oui, je préfère que tu vives dans un endroit sain>>. Comme si ma mère était un monstre. Mais le seul monstre dans cette histoire c'est moi. Chez ma mère, c'est toujours moi qui est accusée de tt. Je me fait chicaner tout le temps et on me rappelle souvent mes erreur, comme l'histoire du pédophile disons( voir mes autres publications). Chez mon père, on vois aucun de mes efforts. Je fait toujours plus que demander et c'est toujours pas bien. Je garde 6 enfants, c'est sûr que j'ai pas le temps de toujours tout faire correctement. C'est compliqué et eux...ils me critiquent tt le temps. Je sais pas si je devrais accepté la proposition de mon père. Après tout, il fait sa pour mon bien. Je sais que c'est long à lire tout sa, mais je préfère me confier à vous parce vous vous m'écouter (plutôt vous lisez, mais vous avez compris) contrairement à mes parents, mes problème c'est n'importe quoi et pleurer c'est comme un crime. J'ai vu plusieurs fois ma mère et mon beau père se chicaner... pendant ce temps moi je cachait les yeux et les oreilles de mes frères et sœurs... Je n'avais pas assez de mains pour cacher les miens. J'ai tout vu et entendu...la maison qui tremblait avec les coup dans le mur, la vitre sur la porte qui explose avec les coups de poing de mon beau-père dans la porte. Tout. Les autres, ne le savent pas sa... J'aimerais vraiment que quelqu'un me résonne. Je veux savoir se qui est le mieux pour moi...mais je ne sais pas.
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    SésameMinutieux15

    elle/elle

    2j
    Mes parents se moquent de moi
    Quand mes amis ont appris que j’avais un trouble psychologique, ils m’ont intimidé. Ils étaient violents verbalement, physiquement et psychologiquement pendant plusieurs années.J’ai eux une chicane avec mes parents car ils insistent pour fêter ma fête alors que j’en ai horreur. Mon anniversaire était le jour ou mes amis m’intimidaient le plus, ils convainquaient mes autres amis de m’intimider ou de me fuir.Mes parents disent que j’exagère. Ils se moquent de moi et disent que je dramatise quand j’en parle a d’autres personnes. Ma mère me traite de niaiseuse et de faible pour laisser mes amis me gâcher la vie aux point de m’isoler et de ne pas fêter ma fête.Peut être que c’est vrai que je dramatise, je ne sais plus, mais comment je le décris, c’est comment je l’ai ressenti. Ils ne le comprennent pas et continuent à me forcer de fêter ma fête.
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    VolleybalCharmeur13

    elle/il

    3j
    J’ai mal, mais je me tais depuis trop longtemps
    Je ne sais pas vraiment par où commencer, parce que ce que je vis me dépasse. J’ai l’impression de porter un poids que personne ne voit. Je me suis déjà automutilée. Pour faire taire ce qui hurlait en dedans. Pour sentir quelque chose, n’importe quoi, quand tout devenait trop lourd. J’ai déjà voulu en finir. J’ai fait des tentatives de suicide. Pas pour attirer l’attention, mais parce que je ne voyais plus d’issue. Parce que la douleur était trop grande, trop constante. J’ai perdu des amis. Peut-être parce qu’ils ne comprenaient pas, peut-être parce que je me suis enfermée dans ma souffrance. Ou peut-être parce que je ne savais plus comment être "normale". J’ai connu l’amour, ou du moins ce que je pensais être de l’amour. Mais c’était toxique. J’ai été brisée dans des relations où je me suis effacée, où je croyais que je méritais d’être mal aimée. J’ai vécu une agression sexuelle. Un moment qui m’a marquée à vie, que j’essaie encore de comprendre, de guérir. J’ai été placée dans une famille qui n’était pas la mienne. Arrachée à mes repères, comme si j’étais un problème à régler plutôt qu’une personne à aider. J’ai connu la violence conjugale. La peur dans le quotidien. Les mots qui frappent. Les gestes qui blessent. La sensation que ma voix ne comptait pas. Je vis avec la dépression. Cette noirceur qui revient sans prévenir. Qui me fait croire que je ne vaux rien. Que je dérange. Que je suis de trop. Et surtout… je me sens à l’écart. Comme si je n’avais pas de place. Comme si je ne faisais pas partie du monde qui m’entoure. Mais aujourd’hui, j’écris tout ça pour une raison : je veux être entendue. Je veux arrêter de me cacher. Je veux trouver de l’aide. Je veux croire que malgré tout ce que j’ai vécu, je peux encore me reconstruire.