Je pense avoir le TDI
BubbleteaPassionné8
il/lui
3a
Bonjour, depuis quelque temps déjà j’ai entendu parler du TDI par mon meilleur ami qui pense en avoir un. Au début je ne savais pas du tout c’était quoi. Je lui ais demander et il m’a expliqué c’était quoi. Quelque semaine après j’ai commencé a me questionné si j’ai le TDI ou pas. Il y a quelque jours j’ai fait plusieurs recherche et j’ai commencer a suivre une personne qui a le TDI sur youtube et elle explique beaucoup se que s’est. J’ai souvent des dissociations ou/et black-out. La plus part du temps cela arrive quand je ne suis pas chez moi, mais cela arrive aussi quand je suis chez moi. Pour l’instant je n’est jamais eu l’impression que un alter front et contrôle mon corps au complet, mais j’ai quelque fois/souvent l’impression qu’il y a d’autre personne/personnalité? dans ma tête et j’ai l’impression que des fois ils parlent a ma place sans que je m’en rendre compte et après je m’en rend compte. J’ai une travailleuse social depuis l’année passée et je pense que c’est une bonne idée de lui en parler, mais je ne veut pas lui en parler toute suite car je ne me sens pas assez prêt et je ne sais pas comment aborder le sujet même si je sais que elle est la pour m’écouter.
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MerIntelligente6
elle/elle·15 ans
17hAvoir peur de la romance, c'est normal?Allo! Je suis greyromantique asexuelle, et je dois l'admettre, je suis tourmentée. Je ne sais pas comment recouvrir de cette situation.J'ai vécu un conflit avec un nouveau gars à mon école qui avait un crush sur moi. Il se rapprochait de plus en plus de moi. En fait, je me suis fait dire qu'il m'aimait par une amie qui voulait à tout prix qu'on sorte ensemble. J'ai pris cette nouvelle à la légère comme je l'ai fait pour des crushs précédents.Bref, après une semaine entière de textos intrusifs et de manipulation émotionnelle, je me sentais responsable de son bien-être entier; si je faisais une mauvaise chose, je lui "briserais" le cœur et j'en serais la cause.Donc, le vendredi, on avait un tournoi inter-écoles. Le gars voulait trainer avec moi et mes amies parce qu'il n'avait personne d'autre. Dans un couloir, il me colla dans le dos et me chuchota "je t'aime" à l'oreille. À ce moment-là, je n'ai jamais eu aussi peur, OMG. Il se mettait très proche de moi: il me caressait le dos, touchait ma cuisse, fouillait dans mes poches pour me prendre la main. Il initiait des conversations que je ne voulais pas poursuivre, me suivait derrière moi de sorte que je ne le voyais jamais, et me poussait à partir seule avec lui (je voulais absolument rester proche de mon amie). Mais je ne pouvais que dire oui, car sinon, je suis responsable de son malheur.Aujourd'hui, il comprend toujours que rien ne se passera entre nous deux. Je suis en sécurité, mais j'ai encore peur. Dans les couloirs d'école, je le sens encore me suivre. Quand une amie platonique me touche, je doute ses intentions et je gèle. Quand je lis ou visionne du contenu romantique, je ne peux que penser à lui et ma peur. Quand une notification Teams apparaît sur mon téléphone, je sursaute, pendant que c'est lui cherchant à me parler.Comment est-ce que je peux arrêter d'avoir peur de tout le monde autour de moi? Je sais qu'ils ne me feront aucun mal... J'ai mal. -
ViolonÉpatant10
elle/elle
17hOverstimulée...allo ! C'est quoi vos trucs quand vous êtes "overstimulated". Personnellement, c'est surtout physique, mais les gens peuvent aussi être un grand facteur quand y'a trop de monde. Vous faites quoi pour vous calmer ou juste pour aider à le faire passer ? Je sais que écouter de la musique aide beaucoup de personnes, mais c'est comme pas suffisant pour moi. Merci beaucoup :) -
FattoucheSage14
il/lui
18hRelation inexistanteSalut. J'ai 16 ans je vais avoir 17 ans fin août. Je m'en vais au Cégep et j'ai l'impression de passer à côté de toute ma vie amoureuse. Durant tout mon secondaire, je n'ai jamais été en couple. Je dirais même que je n'ai jamais été proche d'être en couple. Je vois mes amis ou juste les autres être en couple, faire leurs premières fois et toutes ces choses. Alors que moi rien. Le pire c'est que j'ai le sentiment de ne pas pouvoir être moi même quand je suis avec des filles que j'apprécie. C'est comme si je n'arrivais pas à être qui je voulais. C'est difficile. Alors si vous avez des conseils ou n'importe quoi, dites le moi. -
PaprikaSérieux14
iel·15 ans
20hComming out différent :)Salut, bon j'aimerai avoir des conseils.Je trouve ça très difficile de m'ouvrir envers ma mère même si j'ai un tat de choses à lui dire. Ça fait plusieurs mois que je veux faire mon comming out, mais je n'ai jamais réussi. Chaque fois quand j'essaye j'ai une boule dans la gorge. En plus, j'étais en relation avec une fille pendant quelques années et j'ai rompue avec elle en juin. Depuis ma mère me demande des questions sur elle que je ne peut pas répondre, car on était qualifié comme "bff", mais je ne suis plus amie avec.Alors je veux dire à ma mère qu'on est plus amis parce que on était ensemble et on a rompu, mais je ne sais pas comment lui dire, car c'est mon comming out en même temps.
Réponses
Casouletprodigieux3
elle/elle·17 ans
Je comprends tout à fait ce que tu vis. C'est dûr, tu as tout mon soutien!! Par contre, je ne suis pas médecin ny psychologue ni travailleur.se social.e donc je ne peux pas te dire si tu as un TDI ou pas. Mais les signes que tu as veulent peut être dire quelque chose? Je comprends que tu sois pas prêt à en parler avec ta travailleuse sociale, c'est bien de savoir lorsqu'on est pas prêt. On a le droit d'avoir nos limites et c'est super de les connaître!! Moi, je te conseille fortement d'en parler avec un.e professionnel.le, parce qu'elle.iel.il pourra t'aider et il.elle.iel est comptent.e dans ce sujet. Peut être que tu pourrais en parler à ton médecin familiale/personnellle? Est ce que tu as 14 ans et + ? Je sais que quand tu as 14 et + tu peux aller voir un médecin sans que tes parents le sache. Mais je te conseille fortement d'en parler à tes parents quand tu seras prêt. Les adultes pourront t'aider et iels ne te jugeront pas! Oublie pas que ta travailleuse sociale est là pour t'écouter et te donner des conseils. Ne reste pas seul là dedans. J'espère avoir aidé! Hésite pas si ya quoi que ce soit!!
xxx
SoleilSportive11
Ado TJ·elle/elle·19 ans
Je vois que ce n’est pas facile pour toi et je t’envoie mon soutien! Je respecte tout à fait que tu ne veuilles pas parler tout de suite de ce que tu vis avec ta travailleuse sociale. Par contre, n’oublie pas de prendre soin de toi et que les professionnels.lles. et nous serons là pour toi si jamais tu veux en parler. Nous ne pouvons pas te donner de diagnostic, mais nous sommes là pour le support <3
Je te recommande, vraiment, lorsque tu seras prêt, d’aller parler de situation avec un.e professionnel.le. Il.elle.iel sera là pour t’écouter et pour t’aider adéquatement si jamais tu as vraiment le TDI. Il se peut que tu aies raison et que tes symptômes pointent vers le TDI...
Sinon, tu peux aussi lire et rechercher un peu plus sur le TDI, tu me sembles quand même informé, mais ça éclairera peut-être tes idées à ce sujet jusqu’à ce que tu te sentes prêt d’aller parler. Tu auras alors une meilleure compréhension.
Pendant ta recherche, tu peux également contacter des ressources d’aide (comme tu l’as fait pour le forum!) et je t’en nomme quelques-unes ici: Tel-Jeunes, JeunesseJ’écoute, etc. N’hésite pas à leur demander de l’aide si tu ressens le besoin ou juste pour parler, ne reste pas seul.
N’oublie pas que tu peux aussi discrètement en glisser un mot à ta famille ou à tes ami.e.s proches, les orienter un peu vers ce sujet de discussion. Ça fait beaucoup de bien de parler :)
Donc, voilà, j’espère que ça a pu t’aider un peu, n’hésite pas s’il y a quoi que ce soit! Sache que nous sommes la pour toi, on pense à toi :)
RoseSympathique7
Ado TJ·elle/elle·19 ans
J'espère que tu vas bien!
Tu as l'air de beaucoup te questionner, je suis heureuse que tu nous aies écris!
D'abord, le TDI est complexe, mais je tiens aussi à dire que je ne suis pas une professionnelle dans le sujet. Je vais faire de mon mieux pour t'aider :)
Ce que je remarque, c'est que tu penses avoir des symptômes de cela. Et c'est totalement normal! Je suis heureuse que tu aies une travailleuse sociale avec qui en parler. Tu dis que tu ne te sens pas prêt à aborder le sujet, mais je peux peut-être te donner mon truc personnel et lorsque tu seras plus à l'aise tu pourrais essayer si ça te tente.
Moi, mon idée, si t'es pas capable de le formuler, c'est d'écrire. Ça sort mieux comme ça, puisqu'on sait qu'on ne pourra pas se faire interrompre, et aussi, tu peux clairement dire ce que tu as à dire.
Si tu veux aborder le sujet verbalement, tu peux lui dire comme tu viens de nous le dire. Tu peux aussi mentionner tes craintes si tu en as, comme par exemple « j'ai beaucoup réfléchis avant de vous en parler et je craignais d'être invalidé ». Parle s'en par comment tu as connu le TPI, par ton meilleur ami, et ensuite enchaine avec ce dans quoi tu te connais niveau symptômes.
D'ailleurs, fais attention pour ne pas t'auto-diagnostiquer lorsque tu en parles, ça pourrait offenser certaines personnes, on ne connait pas la vie des autres. Et aussi, si jamais il arrive que tu reçois le diagnostique, oublie pas que ça ne te définis pas et que tu es bien plus que ça!
N'hésite pas s'il y a quoique ce soit, nous sommes là pour te lire et te répondre. Courage ;) xxx