stress

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SourisCourageuse14

elle/elle·18 ans

1a

je me sens toujours très stresser mais je ne le dit pratiquement jamais parce que j'ai peur du jugement des autres qui m'entoure car j'ai toujours peur de ce qu'ils vont me dire.

Réponses

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    SoleilSportive11 alltheme

    Ado TJ·elle/elle·19 ans

    1a

    Salut @SourisCourageuse14 🤍

    Je comprends ce que tu ressens… Pour vrai, c’est pas toujours facile de parler d’une difficulté à laquelle on fait face et je vois que tu ressens ce sentiment quand il est question de stress.

    Honnêtement, le jugement des autres, je pense que c’est quelque chose qui représente une inquiétude pour plusieurs, selon les situations. Je crois que ça reste tout-à-fait normal et correct que tu aies une certaine appréhension des paroles et des répliques qui pourraient t’être retournées. Je continue de croire que n’importe quel obstacle n’est pas infranchissable, mais bien franchissable :)

    Je crois qu’une manière de diminuer la crainte du jugement des autres est de renforcer ta confiance en toi en essayant de changer de perspective. Peut-être que, dit comme ça, ça sonne un peu ambigu, donc je m’explique. Peu importe ce qu’on fait, ce qu’on dit, il y aura des personnes qui seront pour, d’autres qui seront contre, et encore d’autres entre les deux extrêmes. C’est une réalité que je me remémore continuellement et j’aimerais te la dire aussi parce que je pense que c’est un bon rappel :) 

    Le changement de perspective que je conseillerais est par rapport à la façon dont tu reçois / perçois le jugement des autres. Pour les possibles commentaires, autant positifs que négatifs, cela reste à toi de choisir si tu vas les laisser passer par tes pensées ou si tu vas les laisser de côté. Tu as le droit de filtrer. Tu peux choisir sur quoi tu te concentres :) Si tu reçois une remarque négative constructive, tu peux apprendre de celle-ci et t’inspirer pour ajouter du positif dans ta vie :) Et ça, ça s’applique dans n’importe quelle situation 🤍

    Bref, le fait que tu viennes aborder que tu ressens du stress est un pas en avant. 

    Le fait que tu penses en ce moment à en parler à quelqu’un est un autre pas en avant. 

    Le fait que tu cherches à trouver une solution pour réduire le stress du jugement extérieur est un autre pas :)

    Je t’encourage à en parler à un.e adulte de confiance, quelqu’un comme un.e TES ou un.e intervenant.e à ton école ou ailleurs comme Tel-Jeunes ou JeunesseJ’écoute. Il y en a plein qui sont disponibles pour t’offrir une oreille attentive, une discussion sans jugement… Une discussion où tu peux te sentir écoutée/lue et en sécurité 🤍

    Tu as déjà fait 3 grands pas dans la bonne direction :) Continue comme ça, lâche pas 🤍

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Liste de discussions

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    KoalaIntéressante10

    elle/elle

    17h
    Ma mère
    Depuis, des années j’ai des problèmes avec ma mère. À l’école elle a mis en doute ma crédibilité, en disant le contraire de ce que j’avais raconté sur notre relation. L’école et le TES croit à ma mère et non à moi, je suis enragé puisque celle ci m’a blesser physiquement sur mon corp . Je me sens répétitivement seul,puisque qu’elle travaille beaucoup, heureusement que je passe beaucoup de temps avec son amie, je voudrais juste un conseil pour apprendre à communiquer avec elle pour améliorer notre relation.
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    TempêteFestif3

    elle/elle·13 ans

    17h
    M'accepter
    Mon t.s.a, je ne l'ai jamais vraiment compris. Ça fait un an que j'ai eu mon diagnostique, mais je n'ai jamais compris quoi faire de ça. Qu'est-ce que ça fait de moi? Une personne inapte en société, mais pourtant qui a besoin des autres pour vivre? Je suis une autiste élevé, ce qui veut dire que j'ai beaucoup de caractéristiques mais que je ne suis pas non-verbale. Je ne sais pas quoi penser de moi, sur quel modèle me calquer maintenant que je sais qui je suis. Genre, depuis que j'ai mes idées suicidaires, mon diagnostique, depuis que j'ai eu consience que toute ma vie était un mensonge, je renaît, mais pas dans la bonne époque. Trops d'attentes sociales, de pressions. D'abbord, mon entrée en secondaire 1, p.e.i. Mes amis... Je ne décode plus personne, je suis toujours fatiguée, mes idées suicidaires me lâchent pas... Puis, peu après la rentrée, j'ai eu ma première hospitalisation. 3 mois. Ensuite, j'y suis retourné il y a pas longtemps pour une semaine. Quand je suis vraiment tanné, je m'automutile un peu, je crois. Et depuis ma dernière hospit, je suis devenue agressive, parce que personne ne m'écoutais, me comprenais. Ils m'ont sortis de l'hôpital de force, parce que, j'ai compris plus tard qu'ils ne savaient pas comment m'aider, que j'étais rendu trop, alors ils m'ont juste... Dégagée. Alors, j'ai repris ma vie normale, faire mes intérêts qui me tentes plus (dépression autistique), je vais pu dehors, pas d'école à part un cours....Je sais plus où je suis rendue. Je suis perdue. Désolée pour ce long monologue, ça fait du bien de sortir des choses, comme avant. Merci de m'avoir lue.@TempêteFestif3.
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    NuageIntelligent3

    elle/elle·15 ans

    1j
    Dépourvue de bonheur
    Coucou j'ai 15 ans je suis en famille d'acceuil de proximité (elle est parfaite ,c'est la meilleur famille d'acceuil que j'ai eue ) avec le centre jeunesse. J'ai aussi un merveilleux chum et de parfaites amies, mais au fond de moi j'ai l'impression que une partie de moi saurais jamais combler de bonheur à 100% et que rien peut combler le petit manque qui est en moi et que ma famille, mes amies et mon chum n'arrivent pas à combler est-ce que c'est normal j'aurai vraiment besoin de recommandation car mon mental à besoin d'avoir des ressources pour que je puisse trouver l,aide dont j'ai besoin .Merci beaucoup de me répondre en avance
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    GrenouilleIntelligent16

    elle/elle

    1j
    Insensible?
    Je suis bénévole dans un hôpital depuis longtemps. Récemment, il y à plusieurs patients dont je suis proche qui se sont fait diagnostiquer un cancer. Tous mes collègues arrêtent pas de dire que c’est horrible, qu’ils ne veulent pas qu’ils meurent. Ça ne me dérange pas si ils meurent. C’est dommage si ils meurent, mais ça fait quoi? Est ce que je suis insensible? Pourtant, les patients me disent que dans notre département, je suis la bénévole la plus rassurante, gentille, empathique et celle qui leur redonne toujours de l’énergie grâce à ma bonne humeur et mon sourire. Chaque fois que quelqu’un de ma famille proche mourrait, ça ne me dérangeait pas.