Orientation: savoir: obsession

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CactusIntelligent14

elle/elle

3a

Bonjour, j'ai 13 ans.

Depuis que je suis jeune, la sexualité est tabou pour moi. Je me sens gênée et ne veux pas en parler du tout. Je suis une fille sérieuse qui réussi dans tout. Je n'aime pas demander de l'aide car je vois ça comme un signe de faiblesse.

J'étais sur Tik Tok il y a quelques mois et je voyais tous ces video de gens qui parlent ouvertement de leur orientation et que c'est correct d'être différents etc. J'en suis venue à me questionner sur ma propre orientation et c'est devenue une obsession. Je n'en pouvais plus de voir ça alors j'ai enlevé l'appli Tik Tok de mon cell.

Quand je pense à ça, c’est un pop qui me dit; est-ce que tu es lesbienne.

Ensuite: je me remémore des signes qui fait que je le serait. Je suis sportive, je ne parle pas à des gars car je suis gênée, j'ai juste des amies de fille. J'ai eu de petits crush pour des gars mais sans plus. Jamais de crush pour des filles mais parfois je trouve que tellle fille est vraiment belle.

Mais j’aime les gars.

Mon but c’est d’avoir une famille avec un gars.

Je ne me vois pas sortir avec une fille.

Est-ce que j’essaie de me convaincre que je ne le suis pas?

C’est ce qui me trotte dans la tête depuis plusieurs semaines lors que j'ai rien à faire. Quand j'y pense, j'ai le coeur serré et je me sens mal dans ma peau et je pleur. J'y pense souvent.

J'en ai parlé avec mes parents et ils m'aident à comprendre ce que je vis et sont ouverts. Ils veulent que je sois bien.

Je ne sais pas comment faire pour arrêter de penser à ça, c'est trop, il faut que ça arrête.


Avez-vous des trucs? Merci.

Réponses

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    BélierTalentueuse1

    elle/elle·18 ans

    3a

    Bonjour,

    J'ai été il n'y a vraiment pas longtemps dans la même situation que toi. Il a eu un POP dans ma tête qui c'est déclenché et je me suis posée la question : « Suis-je Pansexuelle ? » Ça ma stresser d'avoir cette question en moi puisque c'est comme si ce n'était pas « normale » pour moi de me poser ce genre de question...

    Tu peux être Lesbienne sans te coller une « étiquette » dans le visage. Ce que je veux dire, c'est que tu peux être un peu lesbienne, mais que tu aimes les gars. On n'est jamais 100% pansexuelle, guay, etc.

    Par exemple, moi j'ai vue que peut-être j'était ça sans me m'étiquetter se mot dans ma face. J'ai pu comprendre que je pouvais avoir une petite partie de Pansexuelle en moi et qui me servira à aimer un garçon plus tard, puisque je suis attirée par les gens qui ont les même valeurs que moi.

    Il est vraiment normal de te poser des questions :)

    Voilà, j'espère avoir pu un peu t'aider.

    Tu peux en parler à TelJeune avec un spécialiste, cela pourrais t'aider. Moi ça ma grandement aidée.

    Bonne journée ! :D

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    KetchupCréative10

    il/lui

    3a

    Salut!

    Je comprend vraiment comment tu te sens. je ne l'ai jamais vécu personnellement mais je sais comment tu dois te sentir. malheureusement il on ne peux pas t'aider a trouver ton orientation. mais ce qu'on peux faire, ces t'aider a ce que tu la trouve toi même!

    Sache que l'orientation sexuelle/romantique, ces en quelque sorte un role. du moin moi je le vois comme ca. et tu peux essailler plusieur role pour découvrir lequelle est le tien!

    ces ca que j'ai fait pour découvrir ma propre orientation. j'ai tester! j'ai toujours sentis que j'aimais les hommes. donc jai tout de suite assumé que j'etait gay. mais comme toi, je trouvait qu'il y avait quelque chose qui clochait. alors j'ai fait des test. j'ai regarder plusiques orientation qui sont similaire a l'homosexualité, mais pas exactement ca. et je l'ai trouver! je suis asexuelle, homoromantique! Et je me sens bien avec moi même dans cette orientation.

    je ne sais pas si ca va fonctionner pour toi, mais ces ce que j'ai utiliser pour découvrir mon orientation!

    tu peux toujours en parler a tel-jeunes. et tu peux me contacter sur tel jeunes avec mon nickname. je suis pas présent souvant mais je vien voir de temp en temp :)

    prend soin de toi :D

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    RoseSympathique7 alltheme

    Ado TJ·elle/elle·18 ans

    3a

    Salut @CactusIntelligent14 !

    J'espère que tu vas bien ;)

    C'est tout un questionnement que tu as là! C'est tellement normal que tu sois encore mélangée et perdue. Je crois que ça fait partie du cheminement de chacun.e d'entre nous, et qu'il faut que tu prennes ton temps avec ça! Ça sert à rien de te presser, je crois que c'est mieux que tu prennes ton temps et que tu apprennes mieux à te connaitre que te mettre de la pression avec ça.

    Honnêtement, j'ai aussi eu une phase dans ma vie où je doutais énormément de ma sexualité (orientation et un peu mon genre). Je sais que je suis une femme cisgenre, mais j'ai longtemps pensé que j'étais genderfluid, peut-être trans FtM, peut-être non-binaire. Tout ça m'a beaucoup passé par la tête. C'est certain qu'encore aujourd'hui, il m'arrive de me questionner. Ça passe et ça reste jamais vraiment. Pour mon orientation sexuelle, ça a pris 2 ans environ pour comprendre envers qui j'étais vraiment attirée, etc. Le début de mon secondaire dans le fond. Je sais que je suis lesbienne, mais pas nécessairement pour les raisons données par les stéréotypes. Des fois, c'est juste drôle d'en venir aux stéréotypes genre qu'une fille lesbienne masculine sort toujours avec une fille plus féminine, etc. parce qu'on sait que c'est pas toujours toujours vrai et qu'évidemment, y'a bien plus que juste ce couple de lesbienne étiqueté. Ou encore que toutes les lesbiennes sont soit tout le temps avec des gars, ou juste avec des filles. Tu vois, ce genre d'exemple banal-là? C'est pas toujours vrai, c'est juste des clichés. C'est certain qu'il va toujours en avoir qui entre dans ces caractéristiques, mais c'est pas vrai que la personne les a tous. Je crois que tu comprends ce que je veux dire.

    En gros, je veux juste te dire que tu as le droit d'explorer ta sexualité comme tu le veux. C'est normal d'en douter, c'est normal de penser que « ah des jours je suis plus envers les filles » ou l'inverse. Y'a des sexualités qui sont très fluides n'oublie pas! Tiens, j'y pense. Je vais te laisser le site web d'interligne juste ici: https://interligne.co/

    C'est un site web LGBTQ2IA+ qui va peut-être t'aider à trouver des ressources si jamais!

    D'ailleurs, j'aimerais rajouter que je suis heureuse que tu puisses en parler ouvertement à tes parents. Tu es chanceuse d'avoir des parents qui t'appuient et qui sont ouverts à jaser de sexualité avec toi! J'espère que tu sais qu'à partir de là, tu peux toujours leur confier tes doutes, ou juste leur parler.

    Dans tous les cas, tu peux écrire ici ou parler avec une personne de confiance en tout temps! Nous sommes là pour toi et la seule personne qui peut répondre à tes questions en terme d'orientation sexuelle, etc., c'est toi!

    Prends soin de toi, mets-toi surtout pas de stress, prends le temps d'explorer qui tu es. T'es même pas obligée de te « coller une étiquette » si ça pèse trop lourd pour toi!

    Bref, n'oublie pas que nous sommes toujours là, et qu'on te soutient dans ce que tu vis. Courage xox

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    PizzaProdigieuse17

    elle/elle

    3j
    Je sais pas quoi faire
    J'ai 13 et j'ai des envies chelou j'ai très envie de faire ma première fois mais j'ai des parents strict (j'ai même pas le droit d'être en couple donc voilà le niveau) et ces envie persiste depuis mes 11 ans et demi déjà je ne sai même pas avec qui je pourrais faire ça si je le ferai SVP aidez moi
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    ConfitureDynamique17

    iel·16 ans

    5j
    J'arrive pas à faire une publiquation ?
    Bonjour ! Je n'arrive pas à publier quelque chose que j'ai écris, ça fais plusieurs fois que je rafraichis la page, que j'en ouvre une nouvelle, y a rien qui fonctionne, pourtant quand j'essaye d'écrire quelque chose de différent ça a l'air de fonctionner. Est-ce que c'est parce que mon text est trop long ? C'est quoi le problème ?
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    VolleybalDynamique7

    elle/elle

    5j
    Qui choisir? Maman ou papa?
    Salut, ça fait un bout de temps que j'ai pas écrit sur le forum. je suis un peu dans une situation... difficile. J'ai 13(bientôt 14) et j'ai vécu des choses (trop). Je vois une travailleuse sociale, je bientôt faire des activités avec des victimes d'agressions sexuelles dans un centre...et ect. Maintenant que m'a vie commençait à reprendre le bon chemin, mon père m'a suggéré d'aller vivre chez lui pendant 1 ans ( je le vois une fin de semaine sur deux habituellement et l'été je le vois une semaine sur deux). Il faut savoir que, j'ai pas le meilleur environnement chez ma mère. Ça fait que crier et se chicaner entre tout le monde, surtout entre mon beau père et ma mère. Mon père m'a donc suggéré sa, mais je ne sais vraiment pas quoi dire... J'en ai parler à mon cousin de 20 ans, lui qui a eu pratiquement les mêmes situation que moi, était le mieux placé pour me comprendre. Il m'a dit, et je site...<< Tu devrais dire oui, je préfère que tu vives dans un endroit sain>>. Comme si ma mère était un monstre. Mais le seul monstre dans cette histoire c'est moi. Chez ma mère, c'est toujours moi qui est accusée de tt. Je me fait chicaner tout le temps et on me rappelle souvent mes erreur, comme l'histoire du pédophile disons( voir mes autres publications). Chez mon père, on vois aucun de mes efforts. Je fait toujours plus que demander et c'est toujours pas bien. Je garde 6 enfants, c'est sûr que j'ai pas le temps de toujours tout faire correctement. C'est compliqué et eux...ils me critiquent tt le temps. Je sais pas si je devrais accepté la proposition de mon père. Après tout, il fait sa pour mon bien. Je sais que c'est long à lire tout sa, mais je préfère me confier à vous parce vous vous m'écouter (plutôt vous lisez, mais vous avez compris) contrairement à mes parents, mes problème c'est n'importe quoi et pleurer c'est comme un crime. J'ai vu plusieurs fois ma mère et mon beau père se chicaner... pendant ce temps moi je cachait les yeux et les oreilles de mes frères et sœurs... Je n'avais pas assez de mains pour cacher les miens. J'ai tout vu et entendu...la maison qui tremblait avec les coup dans le mur, la vitre sur la porte qui explose avec les coups de poing de mon beau-père dans la porte. Tout. Les autres, ne le savent pas sa... J'aimerais vraiment que quelqu'un me résonne. Je veux savoir se qui est le mieux pour moi...mais je ne sais pas.
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    VolleybalCharmeur13

    elle/il

    6j
    J’ai mal, mais je me tais depuis trop longtemps
    Je ne sais pas vraiment par où commencer, parce que ce que je vis me dépasse. J’ai l’impression de porter un poids que personne ne voit. Je me suis déjà automutilée. Pour faire taire ce qui hurlait en dedans. Pour sentir quelque chose, n’importe quoi, quand tout devenait trop lourd. J’ai déjà voulu en finir. J’ai fait des tentatives de suicide. Pas pour attirer l’attention, mais parce que je ne voyais plus d’issue. Parce que la douleur était trop grande, trop constante. J’ai perdu des amis. Peut-être parce qu’ils ne comprenaient pas, peut-être parce que je me suis enfermée dans ma souffrance. Ou peut-être parce que je ne savais plus comment être "normale". J’ai connu l’amour, ou du moins ce que je pensais être de l’amour. Mais c’était toxique. J’ai été brisée dans des relations où je me suis effacée, où je croyais que je méritais d’être mal aimée. J’ai vécu une agression sexuelle. Un moment qui m’a marquée à vie, que j’essaie encore de comprendre, de guérir. J’ai été placée dans une famille qui n’était pas la mienne. Arrachée à mes repères, comme si j’étais un problème à régler plutôt qu’une personne à aider. J’ai connu la violence conjugale. La peur dans le quotidien. Les mots qui frappent. Les gestes qui blessent. La sensation que ma voix ne comptait pas. Je vis avec la dépression. Cette noirceur qui revient sans prévenir. Qui me fait croire que je ne vaux rien. Que je dérange. Que je suis de trop. Et surtout… je me sens à l’écart. Comme si je n’avais pas de place. Comme si je ne faisais pas partie du monde qui m’entoure. Mais aujourd’hui, j’écris tout ça pour une raison : je veux être entendue. Je veux arrêter de me cacher. Je veux trouver de l’aide. Je veux croire que malgré tout ce que j’ai vécu, je peux encore me reconstruire.