J'ai pas d'amis, pourquoi?

Désolée pour la longueur du message

Hi, comme le dit le titre, j'ai pas d'amis et je n'en ai jamais réellement eu, on m'as toujours rejetée ou intimidée alors que j'ai rien fait de mal.. Je fais juste être moi même à être gentille avec tout le monde et genre, peut-être que les gens me trouvent bizarre en fait..

Un jour on m'a demandée si je détestais ceux qui m'intimidaient ou qui me rejetaient.. J'ai dit: "Non, parce qu'on m'as toujours dit, qu'au fond ils vivent peut-être quelque chose de stressants chez eux et qu'ils jettent leur stress sur moi, tsé.. Ou peut-être qu'un de leurs parents est un "intimidateur" aussi et que les enfants ont tendance à imiter les plus grands"

À cause de ça (et de bien d'autres pensées de ce genre) ont m'a toujours dit que j'étais intelligente ou sage (style vieux monsieur qui donnent des conseils) et parfois, j'ai l'impression qu'être "intelligente" ou "sage" convient pas aux jeunes et que jsp ils me trouvent bizarre et veulent pas être amis avec moi

J'me sent beaucoup trop souvent "hors de ce monde" que mes pensées sont trop différentes des autres et je sais que l'être humain a bien du mal à accepter les gens différents (Preuve: On est en 2022 et les LGBTQ+, les noirs, les natifs etc. ont encore du mal à se faire accepter)

Oubliée de préciser que y'a pleins d'autres raisons sur "Pourquoi les enfants intimident" pas juste celles que j'ai nommée

Bonjour,

En premier lieux, je suis vraiment désolée pour toi... Je comprend que ce n'est pas facile... J'ai moi même d'ailleur été intimidée et ça n'a pas été une partie de plaisir.

Tu ne devrais en aucun cas, laisser la personne que tu es de côté. Changer, pour être accepter dans un groupe est une chose horrible qu'on fait à nous même. Je suis d'ailleur moi même une fille « TROP » originale pour les autres. Reste comme tu es.

Être unique, c’est un pouvoir…. 

Il a des gens qui n'ont pas ce pouvoir et s'acquièrent les pouvoirs des autres pour leur ressembler. 

 Alors, mieux vaut avoir son propre pouvoir que d’en prendre un qui ne t’appartient pas… ;)

Essaie de regarder aux alentour de toi. Des filles, des gars dans ta classe. Essaie de regarder leur valeurs et rapproche toi d'eux en se mettant en équipe par exemple.

Je peux comprend qu'au secondaire ( Si tu l'es ) les gens sont souvent en gang, et ça je te l'avoue c'est assez énervant. Essaie de t'ouvrir aussi aux autres sans nécessairement entrer dans leurs bulles. Parfois, on dois essayer d'aller vers la personne :)

Voilà... Je sais que ça peux être vraiment dure, mais je te dirais de vraiment regarder à l'entour de toi. Les personnes que tu vois autour de toi. En as t'il un (e ) qui est seul (e) ? Tu pourrais essayer de l'approcher et de te présenter.

J'espère t'avoir un peu aidée.

Tu peux me réecrire si tu le souhaites en faisant :

@BélierTalentueuse1

Bonne journée et bonne chance :) J'ai confiance en toi et n'oublie jamais que tu dois te respecter avant tout.

xxx

@HalloumiAnxieuse9

Salut @HalloumiAnxieuse9 !

J'espère que tu vas bien! Je me retrouve vraiment dans tes paroles. Ça a toujours été une grosse difficulté de me faire des ami.e.s stables autour de moi. Un peu comme toi j'imagine, j'ai toujours fait l'abeille d'une place à l'autre, d'un groupe d'ami.e.s à l'autre sans vraiment en avoir un distinct. Je suis en secondaire 5 maintenant et je crois que je viens juste de trouver un groupe d'amis qui me ressemble vraiment. Ça a pris 15 foutues années de ma vie avant de pouvoir dire que j'ai vraiment une « gang ». Je suis assez solitaire la plus part du temps, donc je suis contente que j'ai pu trouver une gang qui me comprends lorsque je veux pas faire une sortie ou quelque chose du genre. Je suis autant extravertie que introvertie, ça dépend toujours de mon mood et du moment. Je crois que c'est pas facile de jouer là-dedans sachant que ma santé mentale est pas toujours facile à gérer, alors je me remets souvent en question.

Cela dit, je crois que c'est en essayant pleins de choses et en arrêtant de chercher que tu vas trouver. Ça sonne sûrement cliché et tout, mais c'est quand j'ai essayé des parascolaires que j'ai trouvé qui me ressemblait le plus. C'est comme ça je me suis fait des amis. C'est bizarre, mais cette année c'est la chose que je m'y attendais le moins.

Je ne sais pas si ce que je dis t'aide, mais l'espèce de phrase qu'on se fait tout le temps dire « tu es très mature pour ton âge » je la comprends.

Je sais pas si écrire peut t'aider, c'est ce qui m'aide. Je prends un moment pour tout écrire papier et mieux comprendre comment je me sens, etc.

Bref, j'espère avoir pu t'aider un peu. J'ai fais de mon mieux en tout cas! Prends soin de toi et n'hésite surtout pas à en parler à quelqu'un de confiance et/ou à un.e intervenante TJ!

@HalloumiAnxieuse9

Salut @HalloumiAnxieuse9 💛

Ouf, ça ne doit pas être facile et je suis désolée que ça te soit arrivé. Ce n’est pas évident et je comprends que tu puisses te questionner... mais comme l’a dit @BélierTalentueuse1 , tu n’as pas besoin de changer pour les autres. Je tiens à le dire aussi, parce que c’est vraiment important 👏

Tes questionnements, je les comprends. J’en ai moi-même eu à un moment donné dans mon parcours au secondaire. Pas à cause de l’intimidation, mais plus par un sentiment de confusion après l’éloignement d’une amie vraiment proche, une quasi-meilleure amie, que j’avais. Je ne me suis pas dite que je n’avais pas d’amis, mais je me suis sentie un peu vidée... comme si je n’en avais juste plus.

Pour un bout, je me suis demandée ce que j’avais fait de mal. Pourquoi s’éloignait-on comme ça, dans un genre de silence lourd...? Je ne savais pas à ce moment. Je sentais le poids du rejet :( Je l’ai appris plus tard (qu’on s’éloignait parce nos goûts n’étaient plus dirigés dans les mêmes directions), on a quand même pu continuer à se parler de temps à autres, mais ce n’était plus le même feeling. C’était dur parce que je savais que ça n’allait plus redevenir comme avant; je suis tout de même reconnaissante qu’on ait pu parfois avoir des conversations.

Pour les commentaires, on me disait aussi que j’étais parfois « vieille âme » ou « old soul (en anglais)». J’avais aussi eu l’impression, comme toi, que les gens me trouveraient bizarre et que ça ne leur conviendrait pas.

Bon, je te raconte mon anecdote en développant, mais bon, je vais essayer de pas faire ça trop long. Bref, l’éloignement de mon amie m’a fait réaliser que les gens peuvent changer. Les goûts, les valeurs, l’entourage... tout ça peut changer. Je ne dis pas ça d’une manière négative. Au contraire, je trouve que chacune de nous deux a pu trouver un peu de « sa personne » quand nous étions plus proches. Puis, nous avons continué sur nos chemins sans vraiment oublier ce qui nous a amené plus loin. Je ne serais pas la même sans l’avoir connue :)

Bon... je développe bien trop, oops :/

Donc, pour en revenir au sujet principal, j’ai dû pas mal repartir à un « genre de zéro » après notre éloignement (le reste de l’année après l’événement, j’ai eu deux amies qui m’ont aidée à surmonter ça et qui étaient dans ma classe).

Puis, l’an suivant, les classes ont changé et c’était là « ma ligne de départ 2.0 ». Il y avait déjà des groupes d’amis qui étaient formés et je ne savais pas vraiment comment procéder. C’était pas évident après avoir eu les mêmes amies proches pendant plusieurs années. J’ai rejoint trois comités que je trouvais intéressants à l’école (J’en ai finalement laissé deux plus tard pour me concentrer sur un seul). Je ne connaissais pas vraiment les gens qui rejoignaient les comités, mais j’essayais de parler avec eux, de passer du temps ensemble lors des quelques rencontres.

Sinon, j’ai essayé de dîner avec un groupe différemment à chaque deux-trois dîners. En gros, je ne voulais pas vraiment m’incruster de nulle part, mais j’ai voulu apprendre à connaître les gens de ma classe peu à peu. Après plusieurs semaines, je m’habituais peu à peu à deux groupes et je passais plus de temps avec eux. Puis, je me suis plus rapprochée d’un groupe, mais ça a pris plus de temps, mais au final, ça a marché... lentement, mais sûrement :)

Bref, en racontant cela, je ne voulais pas seulement parler de moi, mais plutôt du cheminement. Mon « parcours », oui, est moins difficile que vivre de l’intimidation, mais je comprends le feeling d’être down que tu puisses avoir en vivant ça. Nos situations sont plus ou moins comparables, mais on a eu des points communs. Je veux aussi rajouter que je suis vraiment désolée que tu aies eu à subir de l’intimidation et du rejet... tu ne mérites pas ça :(

Ce que je voulais dire un peu plus tôt, c’est que se faire des amis, c’est un processus. Ça prend du temps et c’est normal. Parfois, ça peut cliquer tout de suite; d’autres fois, ça prend plus de temps. Ce qui est important, c’est de rester toi-même. Ça sonne cliché, mais c’est très vrai ;)

J’ai appris pendant ce processus qu’en fait, j’avais eu peur de sortir de ma zone de confort, mais au fur et à mesure que j’ai parlé avec plus de gens (certains, j’en ai revu; d’autres, pas autant), je me suis sentie un peu plus confortable. Non, je me suis pas fait de nouveaux amis d’un coup de baguette magique. Oui, j’admets, j’ai eu peur du rejet, mais au final... ça s’est mieux passé que je le pensais :) Et j’espère que ce sera le cas pour toi aussi ✨

Puis, comme @RoseSympathique7 a expliqué un peu de sa propre expérience, ça peut prendre du temps, mais au final, sa phrase cliché, je trouve que c’est un bon truc à se remémorer! En essayant plusieurs choses et en arrêtant de chercher ce qu’on va trouver, on peut finir par y arriver ;)

Reste toi-même, tu es spéciale de tellement de façons même si je ne connais pas plus sur toi que ce tu as écrit dans ton message.

Ce n’est pas tout le monde qui sera capable de voir ton côté spécial, mais il y en a sûrement, des gens qui te seront des bons amis.

En attendant, prends soin de toi, concentre-toi sur toi. Se faire des amis, ça commence d’abord avec soi-même. Sois une bonne amie envers toi-même. Aime-toi pour toi, c’est pas toujours facile, mais tu peux y arriver 💛

Courage 💛

N’hésite pas s’il y a quoi que soit !

P.S. : Petit ajout, se faire des amis en ligne grâce à des plateformes peut aussi se faire. Peut-être que ce serait une façon de commencer/continuer à devenir plus confortable pour parler avec des gens. Bref, chacun.e sa façon 😊

Fellation

Bonjour je suis une fille j’ai 14 ans est je me suis fait un copain est je commence niveau sexualité mon chum aime me faire des cuni il veut que je le suce mais moi je n’es pas envie je ne sais pas comment lui dire est je me sens mal car lui il me touche ect j’ai peur qu’il ne m’aime pue si je ne fait rien j’aimerais avoir votre avis

Dpj

Coucou,Pour mettre en contexte ma situation, j’ai été placé en famille d’acceuil depuis maintenant plus ou moins 1 an. Et ce, en raison des violences physiques et psychologiques que j’ai subit par mes parents. J’etais vraiment au plus bas lorsque j’etais dans mon ancien chez moi et depuis mon placement, j’ai l’impression que ça va de mieux en mieux meme si c’est toujours difficile. Donc j’etais decidé à y rester jusqu’à mes 18 ans. J’avais enormement d’inquiétude concernant mon souhait de ne plus jamais retourner chez mes parents. J’avais peur qu’on me fasse retourner chez eux puis on m’a promis que la dpj ne forçais pas les enfants à revoir leurs parents si ils ne se sentaient pas pret. J’ai eu un placement d’1 an. Cette année touche à sa fin ce qui veut dire qu’on doit remettre en actualité le placement. J’etais anéantis lorsque qu’on m’a annoncé que la durée du prochain placement etait de 6 mois maximum. C’est si peu 6 mois.. j’ai tenté de negocier mais impossible de bouger la date. Cependant on m’a laissé le choix d’aller devant le tribunale pour convaincre la dpj de me laisser rester jusqu’à mes 18 ans. Mais je n’ai aucune envie de me presenter devant un juge. Je n’ai meme plus de souvenir de ce que mes parents m’ont fait car la depression a consumé ma memoire.. Tout est flou et je n’ai plus cette capacité que j’avais autrefois à m’exprimer avec aisance. Je ne veux pas retourner chez mes parents. Je me sens tellement trahis. On me laisse un choix impossible alors qu’on pretend ne pas me forcer? J’ai l’impression que la fugue reste ma seule option. C’est stupide, decidement, on ne peut jamais faire confiance aux adultes.

Je suis supposé faire quoi

J’ai 18 ans et je viens de rompre avec ma première blonde (la relation a duré 1 mois). Écoutez, je l’aimais vraiment pour de vrai. C’était la première fois que l’amour avait cet effet sur moi.Sauf que voilà, maintenant c’est fini. Mais elle et moi, même si on sait que c’est terminé, on reste quand même en bons termes.Le problème, c’est que j’ai comme un gros vide en moi, et je souffre beaucoup. Je pense souvent à elle, et à quel point j’étais heureux avec elle. Je ne sais pas si je devrais prendre du temps pour moi-même. J’ai essayé de me divertir, de passer du temps avec des amis, de me lancer dans des projets, etc., mais je n’arrive pas à passer à autre chose.J’aimerais me rembarquer dans une autre relation, mais au fond, je la trouvais vraiment parfaite pour moi — belle, intelligente, attentionnée. Même avec ses complications, j’étais là pour elle. Et maintenant, j’ai tendance à la comparer aux autres partenaires potentielles, ce qui fait tout sauf m’aider à l’oublier.Donc, avez-vous des trucs, des conseils ou même des messages d’encouragement pour m’aider à surmonter cette période difficile pour moi ? :)Merci Beaucoup!

Comment le dire

Je ne sais pas comment dire a mes parents que je suis un garçon trans... Je sais que ma mère va m'accompagner dans ma vie malgré qui je suis... Sais pas que j'ai peur de sa réaction mais de celle de mon père... Le problème sais que je ne sais pas comment le dire... Je porte et leur montrer de drapeau trans depuis plus d'une semaine, mais il ne doit sûrement pas faire le lien... J'aurais de besoin d'idées de façon de leur dire sans leur dire, pour qu'il le constater eux même... Afin de ne pas leur dire en face... merci de l'aide...