Comment on appelle ça

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LentilleSociable12

il/lui·19 ans

2a

Je me défini pas vraiment comme un gars ni comme une fille mais je trouve ça inutile de faire un coming out puisque ça change pas grand chose à par le fait que je me fous un peu des pronoms qu'on utilisé pour me genrer y'a tu juste moi qui se sent comme ça?

Réponses

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    CamomilleRassurant4

    elle/elle

    2a

    Moi aussi!!!

    Tu n'es pas le seul :)

    Je ne me définis pas comme mon genre (je suis biologiquement fille) tout en acceptant bien mon sexe.

    Je m'en fous de si je suis une fille, un gars ou autre. Si j'étais né gars, j'accepterais probablement très bien cette identité. Si un jour je voulais devenir, par exemple, un gars, ce serait purement pour le statut social, un bien matériel ou un facteur uniquement extérieur.

    Mon identité interne est plutôt détaché de mon apparence; je ne vois pas comment à quoi a l'air mon corps fera en sorte que je ne suis plus moi, qu'il y aura drastiquement un changement au niveau fondamental du Moi.

    Comme ce ne me dérange pas d'être fille ou gars, ce ne me dérange pas non plus qu'une autre personne choisisse de changer de genre. J'ai donc l'air aussi supportive qu'indifférente envers la transidentité : Fais ce que tu veux en autant que tu te sentes bien. <3 Tu as besoin que j'utilise un autre pronom? Parfait, ça me fait plaisir! ;)

    En même temps, parfois, je me sens mal pour cette froideur. Même si j'encourage et je suis pour la liberté des LGBTQ+, je me sens mal de me sentir déconcernée; je me sens mal d'être presque incapable d'éprouver de la compassion pour eux qui sont condamnés par une erreur de la nature. J'ai l'impression d'être hypocrite et fausse dans mes soutiens envers eux; j'aimerais qu'ils ne savent que je fais fi de leur genre, je n'ose donc jamais m'exprimer sur ce sujet dans la « vraie » vie.

    Je ne sais pas si c'est que tu veux dire par le fait que tu te fous un peu des pronoms, mais dans tous sens de ta question, je peux te répondre que non, il y au moins moi qui partage avec toi ce sentiment.

    Par ailleurs, pour répondre à la question dans ton titre, j'ai fait une recherche sur la « non-définition d'un genre », et j'ai trouvé « agenre » :

    Identité de genre des personnes qui ne se définissent dans aucun genre. Les personnes agenres rejettent entièrement ou partiellement l’idée même du genre et ressentent une absence totale ou partielle de genre. Il se rapproche du genre neutre, ou d'un troisième genre (ni masculin, ni féminin).

    Si tu es agenre, tu n'es pas seul non plus, même si je ne me définis pas trop comme agenre parce que féminin et masculin existent visblement sous forme biologique.

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    LoutreAventureuse9

    elle/elle

    2a

    Allô,


    C'est certain que tu n'es pas le seul à te sentir comme ça.

    Il n'y a pas de raisin de faire une annonce pour cela. Juste être qui tu es et ce sera parfait. Il y a 1000 façons d'être un gars, comme il y a 1000 façons d'être une fille. Tu n'as pas à te mettre une étiquettes. Il y a comme une mode que ça presse de se mettre une etiquette, mais il n'y a tellement rien qui presse et il n'est pas nécessaire que cette etiquette arrive.

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Liste de discussions

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    AvocatPositif11

    elle/elle

    9h
    Fellation
    Bonjour je suis une fille j’ai 14 ans est je me suis fait un copain est je commence niveau sexualité mon chum aime me faire des cuni il veut que je le suce mais moi je n’es pas envie je ne sais pas comment lui dire est je me sens mal car lui il me touche ect j’ai peur qu’il ne m’aime pue si je ne fait rien j’aimerais avoir votre avis
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    GazelleRaisonnable16

    elle/elle

    17h
    Dpj
    Coucou,Pour mettre en contexte ma situation, j’ai été placé en famille d’acceuil depuis maintenant plus ou moins 1 an. Et ce, en raison des violences physiques et psychologiques que j’ai subit par mes parents. J’etais vraiment au plus bas lorsque j’etais dans mon ancien chez moi et depuis mon placement, j’ai l’impression que ça va de mieux en mieux meme si c’est toujours difficile. Donc j’etais decidé à y rester jusqu’à mes 18 ans. J’avais enormement d’inquiétude concernant mon souhait de ne plus jamais retourner chez mes parents. J’avais peur qu’on me fasse retourner chez eux puis on m’a promis que la dpj ne forçais pas les enfants à revoir leurs parents si ils ne se sentaient pas pret. J’ai eu un placement d’1 an. Cette année touche à sa fin ce qui veut dire qu’on doit remettre en actualité le placement. J’etais anéantis lorsque qu’on m’a annoncé que la durée du prochain placement etait de 6 mois maximum. C’est si peu 6 mois.. j’ai tenté de negocier mais impossible de bouger la date. Cependant on m’a laissé le choix d’aller devant le tribunale pour convaincre la dpj de me laisser rester jusqu’à mes 18 ans. Mais je n’ai aucune envie de me presenter devant un juge. Je n’ai meme plus de souvenir de ce que mes parents m’ont fait car la depression a consumé ma memoire.. Tout est flou et je n’ai plus cette capacité que j’avais autrefois à m’exprimer avec aisance. Je ne veux pas retourner chez mes parents. Je me sens tellement trahis. On me laisse un choix impossible alors qu’on pretend ne pas me forcer? J’ai l’impression que la fugue reste ma seule option. C’est stupide, decidement, on ne peut jamais faire confiance aux adultes.
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    GrenouilleTolérante10

    il/lui·18 ans

    23h
    Je suis supposé faire quoi
    J’ai 18 ans et je viens de rompre avec ma première blonde (la relation a duré 1 mois). Écoutez, je l’aimais vraiment pour de vrai. C’était la première fois que l’amour avait cet effet sur moi.Sauf que voilà, maintenant c’est fini. Mais elle et moi, même si on sait que c’est terminé, on reste quand même en bons termes.Le problème, c’est que j’ai comme un gros vide en moi, et je souffre beaucoup. Je pense souvent à elle, et à quel point j’étais heureux avec elle. Je ne sais pas si je devrais prendre du temps pour moi-même. J’ai essayé de me divertir, de passer du temps avec des amis, de me lancer dans des projets, etc., mais je n’arrive pas à passer à autre chose.J’aimerais me rembarquer dans une autre relation, mais au fond, je la trouvais vraiment parfaite pour moi — belle, intelligente, attentionnée. Même avec ses complications, j’étais là pour elle. Et maintenant, j’ai tendance à la comparer aux autres partenaires potentielles, ce qui fait tout sauf m’aider à l’oublier.Donc, avez-vous des trucs, des conseils ou même des messages d’encouragement pour m’aider à surmonter cette période difficile pour moi ? :)Merci Beaucoup!
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    BiscuitFormidable1

    Préfère ne pas répondre

    1j
    Comment le dire
    Je ne sais pas comment dire a mes parents que je suis un garçon trans... Je sais que ma mère va m'accompagner dans ma vie malgré qui je suis... Sais pas que j'ai peur de sa réaction mais de celle de mon père... Le problème sais que je ne sais pas comment le dire... Je porte et leur montrer de drapeau trans depuis plus d'une semaine, mais il ne doit sûrement pas faire le lien... J'aurais de besoin d'idées de façon de leur dire sans leur dire, pour qu'il le constater eux même... Afin de ne pas leur dire en face... merci de l'aide...