auto-mutilation
LapinPositive15
elle/elle
Coucou! je suis nouvelle ici, il y a quelques jours je me suis mutilé et j'avais vrm merdé plus que d'habitude puisque c'était assez profond j'ai fait une de ces peur a mes parents je vous raconte pas haha fin bref je voudrais si possible avoir des conseils et astuces pour arrêter cette genre de mauvaise habitude qui est petit a petit devenu difficile a gérer! j'apprécierais l'aide de qui que se soit! Merci d'avance et si quelqu'un sais comment plus ou moins se débarrasser de cet engrenage laisser un commentaire ! :)
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SmoothieContente16
elle/elle
4hHomophobieAllo c la 2e fois que je m'exprime ici et jai vraiment besoins de conseils. Il y quelques semaines, il s'est passer un truc. Dans le fond, on jouait a action ou vérité avec mes amies et quelques gars de ma classe et un garçon qu'on va appeler Jacob a dit en BLAGUE que j,agissais comme une lesbienne. Moi j'étais pas facher car je savais que c'était une blague donc j'ai dit que je l'étais( ce qui est faux), et mes amies mon démande si c'était vrm vrai et moi sur le coup, conne comme je suis, j'ai penser a test d'amitié et j'ai dit que oui que je l'étais et je suis partie en courant pour voir ce qu'elle allait faire. Elles sont venues et deux fille qu'on va appeler Océ et Alice on dit: C pas grave que tu l'ai, nous on va pas te juger a cause de ton oriantation sexuelle et on est pas homophobe. Moi sa ma fait du bien que je pouvais me confier a mes amies comme sa et comme c'était la fin du diner, on est rentrer en classe. Mais 1h plus tard, a la récré, j'étais avec ma meilleire quand mon autre meilleure amie qu'on va appeler Eve a dis: Dsl mais je vais t'inviter a ma fête car tu est lesbienne et moi, j'aime pas les LGBTQ. Cette phrase ma fait réaliser que j'étais aller trop loin dans ce teste et qu'il fallait arreter cette folie et je lui ai tout raconté car j,avais deja dit au autres filles que c'était pas var et que j'étais pas lesbienne. J'ai donc expliquer a Eve que c,était pas vrai, mais elle ne voulait pas écouter et est partie. Mtn, je sais plus quoi faire car je veus pas etre amie avec une homophobe mais en même temps, elle est dans ma classe et dans mon cours de danse. Aidez moi svp je pas quoi faire mais je sais aussi que un peu de ma faute...! -
TempêteFestif3
elle/elle·12 ans
4hDepuis un an, ma vie à basculer.Bonjour. C'est ma première fois sur le forum, et j'ai beaucoup hésité à me connecter (obtenir en plus la validation de mes parents,) et à écrire. Je suis autiste, j'ai douze ans. J'ai vécu des choses difficiles après mon diagnostique, en été 2024. Depuis, ma vie à basculer. Je ne m'accepte pas. En plus, mon adolescence commence et tout le monde dit que je dois être patiente, que je dois attendre. J'ai eu beaucoup de réactions d'intervenants qui m'ont fait peur, alors je ne vais pas me confier totalement. Le plus dure, c'est de cacher qui je suis, mes idées suicidaires, mes réactions et émotions et mon t.s.a, plus la vie, et surtout analysée et interprété tout le monde. C'est difficile pour moi, je cherche en plus qui je suis, j'ai toujours un combat intérieur. Une ado a suggéré de mon confier, alors je vais laisser ma première publication comme ça.Merci de m'avoir lue! -
ConfitureIndulgente14
Préfère ne pas répondre·16 ans
18hDisphorique alors que je suis cisgenre?Salut, je m'identifie comme un fille et c'est le genre qu'on m'a assigné à la naissance. Je me suis toujours présentée comme "masculine" dans ma personnalité et dans la façon que je m'habille. Je m'identifie comme une fille, mais pourtant, j'ai souvent l'impression de ressentir de la disphorie de genre; je vois mon corps et je me dit que j'aimerais être plus musclée, plus grande, ne pas avoir de poitrine ou de grosses hanches, bref, un corps masculin et aussi parfois j'ai peur d'être habillée de façon trop "féminine" ou je deviens disphorique face à mes cheveux qui sont très longs. Je me sens inconfortable parce que je trouve que je ne ressemble pas assez à un gars, alors que je m'identifie comme une fille et je ne ressens pas l'envie de transitionner. Cependant, l'idée d'être vue comme un gars m'intéresse et j'ai même envie d'être perçue comme un gars. Je ne comprends pas. Est-ce que sans m'en rendre compte, je me sens plus comme un gars, mais je n'ose pas me l'avouer? Est-ce normal que j'aie l'impression de ne pas assez être un genre auquel je ne m'identifie même pas? -
TapiocaSouriant15
il/lui·17 ans
1jEncore perduAllô, j’écris ici parce que je ne sais plus où je suis. Je ne sais plus si je suis hétéro, gay ou bi. Je regarde plus de gars que de filles (il y en a pas qui me plaisent en tout cas!), je sens comme le besoin d’avoir une étiquette pour moi, mais je ne suis pas sûr. Je ne partage pas ça avec mes parents (ni avec personne), je n’ai pas envie qu’ils me collent une étiquette alors que je ne suis pas sûr de ce que je suis. J’en ai marre d’entendre que ça prend du temps, je l’entends depuis mes 14ans environ. Comment me trouver ? J’ai toujours peur de la réaction des autres, qu’ils aient une image de moi qui n’est pas « finale », vraie (peut-être?). Je n’ai pas vraiment d’amis intimes avec qui en parler, il y a pas d’occasions pour parler de ça dans la vie de tous les jours. Je suis très analyste, je l’anticipe beaucoup, j’aimerais que le premier baiser soit parfait, la première fois… c’est envahissant.
Réponses
NatationCréative13
elle/elle·16 ans
Salut! Je suis vraiment désolée pour toi, mais ne lâche surtout pas, tu vas t’en sortir.
Dans les publications antérieures, j’ai pu lire de nombreux conseils, alors je vais essayer de t’en dire quelques uns et tu iras voir si tu veux les autres publications.
Mais au lieu de prendre peut-être des ciseaux ou quelque chose du genre, prends un glaçon et genre mets le là où habituellement tu t’automutile. Comme ça, ce n’est pas dangereux mais tu ressens peut-être quelque chose de semblable. Sinon tu peux aussi utiliser des crayons et dessiner ou juste « barbouiller » quelque chose.
De plus, tu pourrais essayer de rendre les endroits où tu te retrouves seule plus sécuritaire, c’est à dire que tu pourrais enlever tout ce qui est tranchant et qui pourrait te faire du mal. Ton cerveau va comprendre tranquillement (et je sais que ça demande beaucoup de courage et de force) que tu n’as plus rien pour te faire du mal. Sinon, essaye de rester dans les aires communes de ta maison, où il y a d’autres personnes autour de toi pour t’en empêcher et résister.
De plus, je crois qu’il a une application qui s’appelle I am sober (un truc du genre) qui permet de compter le nombre de jour où tu parviens à rester sobre de la mutilation. Ça peut peut-être être encourageant de voir ton chemin évoluer dans le bon sens.
Bien sûr, trouver quelque chose qui te passionne ou un livre/film vraiment intéressant pourrait être bien car ça va te changer les idées et te permettre de respirer un peu plus.
Finalement, je crois qu’en parler peu faire du bien. Tu es déjà dans le bon sens car tu veux t’en débarrasser de ça et tu es prête à en parler. Alors je t’encourage à aller chercher de l’aide auprès d’intervenants (ça peut être Tel-jeunes) pour qu’ils t’accompagnent et te soutiennent.
Bref, j’espère t’avoir aidé, et comme je l’ai dit au tout début, n’abandonne jamais, il à toujours de l’espoir! Tu es capable!!!