Je n’en peux plus
GolfImpliqué2
elle/elle·16 ans
C’est dernier temps rien ne va plus. J’affiche un sourire sur mon visage mais la nuit je pleure toutes les larmes de mon corps. J’ai perdu plusieurs amis et j’ai brisé plus plusieurs cœur. La seule manière que j’ai trouvé c’est de me mutiler mais je sais que c’est mal. Je n’ai jamais vraiment eu d’idées noires. Je suis fatigué de faire à semblant que tout va bien. Et quand je me suis confier à mes amis elles m’ont dit que ce n’était pas grave et que de toute façon j’avais une vie parfaite et que je faisais ça pourrait être intéressante. Et mes parents vont appeler une psy pour d’autres problèmes et pour des crises de panique mais je ne lui fais pas confiance alors je ne lui dis pas tout. Les travailleuse sociale à mon école savent que je ne vais pas super bien mais ils ne savent pas qu’est-ce qu’il ne vas pas. Et ça devient difficile de cacher des cicatrices sur tout dans les cours d’éducation physique mais je ne suis pas capable d’arrêter parce que c’est le seul moyen de m’échapper un peu de ce monde Pouvez-vous m’aider.
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AvocatPositif11
elle/elle
14hFellationBonjour je suis une fille j’ai 14 ans est je me suis fait un copain est je commence niveau sexualité mon chum aime me faire des cuni il veut que je le suce mais moi je n’es pas envie je ne sais pas comment lui dire est je me sens mal car lui il me touche ect j’ai peur qu’il ne m’aime pue si je ne fait rien j’aimerais avoir votre avis -
GazelleRaisonnable16
elle/elle
22hDpjCoucou,Pour mettre en contexte ma situation, j’ai été placé en famille d’acceuil depuis maintenant plus ou moins 1 an. Et ce, en raison des violences physiques et psychologiques que j’ai subit par mes parents. J’etais vraiment au plus bas lorsque j’etais dans mon ancien chez moi et depuis mon placement, j’ai l’impression que ça va de mieux en mieux meme si c’est toujours difficile. Donc j’etais decidé à y rester jusqu’à mes 18 ans. J’avais enormement d’inquiétude concernant mon souhait de ne plus jamais retourner chez mes parents. J’avais peur qu’on me fasse retourner chez eux puis on m’a promis que la dpj ne forçais pas les enfants à revoir leurs parents si ils ne se sentaient pas pret. J’ai eu un placement d’1 an. Cette année touche à sa fin ce qui veut dire qu’on doit remettre en actualité le placement. J’etais anéantis lorsque qu’on m’a annoncé que la durée du prochain placement etait de 6 mois maximum. C’est si peu 6 mois.. j’ai tenté de negocier mais impossible de bouger la date. Cependant on m’a laissé le choix d’aller devant le tribunale pour convaincre la dpj de me laisser rester jusqu’à mes 18 ans. Mais je n’ai aucune envie de me presenter devant un juge. Je n’ai meme plus de souvenir de ce que mes parents m’ont fait car la depression a consumé ma memoire.. Tout est flou et je n’ai plus cette capacité que j’avais autrefois à m’exprimer avec aisance. Je ne veux pas retourner chez mes parents. Je me sens tellement trahis. On me laisse un choix impossible alors qu’on pretend ne pas me forcer? J’ai l’impression que la fugue reste ma seule option. C’est stupide, decidement, on ne peut jamais faire confiance aux adultes. -
GrenouilleTolérante10
il/lui·18 ans
1jJe suis supposé faire quoiJ’ai 18 ans et je viens de rompre avec ma première blonde (la relation a duré 1 mois). Écoutez, je l’aimais vraiment pour de vrai. C’était la première fois que l’amour avait cet effet sur moi.Sauf que voilà, maintenant c’est fini. Mais elle et moi, même si on sait que c’est terminé, on reste quand même en bons termes.Le problème, c’est que j’ai comme un gros vide en moi, et je souffre beaucoup. Je pense souvent à elle, et à quel point j’étais heureux avec elle. Je ne sais pas si je devrais prendre du temps pour moi-même. J’ai essayé de me divertir, de passer du temps avec des amis, de me lancer dans des projets, etc., mais je n’arrive pas à passer à autre chose.J’aimerais me rembarquer dans une autre relation, mais au fond, je la trouvais vraiment parfaite pour moi — belle, intelligente, attentionnée. Même avec ses complications, j’étais là pour elle. Et maintenant, j’ai tendance à la comparer aux autres partenaires potentielles, ce qui fait tout sauf m’aider à l’oublier.Donc, avez-vous des trucs, des conseils ou même des messages d’encouragement pour m’aider à surmonter cette période difficile pour moi ? :)Merci Beaucoup! -
BiscuitFormidable1
Préfère ne pas répondre
1jComment le direJe ne sais pas comment dire a mes parents que je suis un garçon trans... Je sais que ma mère va m'accompagner dans ma vie malgré qui je suis... Sais pas que j'ai peur de sa réaction mais de celle de mon père... Le problème sais que je ne sais pas comment le dire... Je porte et leur montrer de drapeau trans depuis plus d'une semaine, mais il ne doit sûrement pas faire le lien... J'aurais de besoin d'idées de façon de leur dire sans leur dire, pour qu'il le constater eux même... Afin de ne pas leur dire en face... merci de l'aide...
Réponses
RoseSympathique7
Ado TJ·elle/elle·18 ans
Coucou @GolfImpliqué2 !
Je suis désolée de lire ça, ça doit vraiment pas être évident pour toi cette situation.
Les ami.e.s qui t'ont dit que tu faisais ça pour te rendre intéressante, clairement qu'iels ne savent pas de quoi qu'iels parlent, car l'automutilation c'est tellement plus que ça, c'est un triste moyen de gérer ses émotions et c'est surtout très addictif.
Sache que tu n'es pas seule dans tout ça et que tu mérites vraiment d'être comprise. Moi, en tout cas, je te comprends.
Parler de ça à ses parents je sais que c'est vraiment loin d'être une tâche facile. Perso, il y a quelques années, c'est justement la TES de mon école qui a dû appeler mes parents pour leur en parler parce que j'avais un blocage, j'étais juste pas capable. Je comprends que tout ça puisse peut-être te faire peur en même temps. Honnêtement, je sais pas si ça peut t'aider, mais essayer de faire un lien entre ces différents problèmes que tes parents ont dû parler à la psy et tes rencontres avec le.la TES pourrait peut-être aider? Souvent, c'est l'accumulation d'émotions qui fait en sorte que quand ça explose, tu sais pas comment gérer ça et ça finit alors en mutilation, car c'est le « seul » moyen que tu connais pour rapidement exterminer cette douleur. La vérité, et tu dois le savoir je pense, c'est que ça va rien changer à ta douleur à long terme. C'est seulement sur les quelque temps qui suivent, ça reprend juste après.
C'est pour ça que je te propose qu'en parlant à le.la travailleur social de l'école, tu leur demandes de faire un plan avec toi comment apprendre à gérer ses émotions et se changer les idées quand ça va pas. T'es pas obligé de parler de ça (même si je t'encourage vraiment car c'est comme ça selon moi qu'on pourra te donner de meilleures ressources) avec cette personne.
Au moins, j'crois que c'est bon que ton.ta intervenante sache que tu cherches des moyens. Ça pourra être plus adapté!
J'espère que j'ai pu t'aider un peu, prends soin de toi et n'hésite surtout pas s'il y a quoique ce soit xx
RoseSympathique7
LinAmusé9
Ado TJ·elle/elle·18 ans
Allô :)
Je sais que tu ne fais absolument pas ça pour être intéressante. Tes amies n’ont sûrement pas dit ça pour te blesser, mais je crois qu’elles ont tort. Je pense que tu as vraiment le droit d’être fatiguée de faire semblant que tout est correct, de te mettre continuellement un sourire dans la face pour cacher le dessous qui ne va pas… Tu as le droit et tu as raison d’être tannée.
Je pense que ce serait une bonne chose d’essayer d’être le plus sincère possible avec ta psy (et les travailleuses sociales de l’école aussi). C’est clairement pas facile de tout dire, alors je comprends que tu ne veuilles pas. Par contre, ça pourrait beaucoup t’aider! Et puisque tu as 14 ans, la psy est obligée de tout garder ce que tu lui dis secret. Le secret professionnel l’oblige, c’est la loi. Et je suis pas mal certaine qu’elle ne te jugera pas, peu importe ce que tu lui dis. Elle est là pour toi.
Je te dirais de continuer de pleurer la nuit, de ne pas retenir tes larmes. Quand ça doit sortir, ça doit sortir. Et je trouve que ça fait du bien de pleurer. Je ne sais pas exactement si ça fait quelque chose de semblable quand on se mutile, mais j’imagine que c’est dans le même but : se sentir mieux, se soulager. Je crois qu’il existe d’autres moyens de calmer la douleur, de se vider le cœur. En parler, c’est un de ces moyens. Et si tu veux être certaine d’être comprise, non jugée, appuyée, tu peux appeler une ligne d’écoute (ou leur écrire). Si tu préfères ne pas en parler, c’est très correct et je suis certaine qu’il y a d’autres moyens d’exprimer ce que tu ressens pour t’en libérer un peu. Jouer de la musique, danser, crier, écrire, chanter, courir, peindre, dessiner, déchirer du (vieux) papier, faire n’importe quoi qui te plaît, te change les idées, te permet de oins penser à ce qui te fait mal, te permet d’exprimer ce que tu ressens, je suis sûre que ça pourrait t’aider. Quand je ne vais pas très bien, j’aime écrire ce que je ressens ou cuisiner. L’écriture, c’est pour vraiment laisser sortir tout ce qui me fait me sentir mal. La cuisine, c’est pour plonger dans mon monde, me déconnecter de la réalité, être juste bien dans mes affaires, dans quelque chose que j’adore et qui me passionne. Lire aussi, ça peut aider à se déconnecter pour entrer dans un autre univers, celui de quelqu’un d’autre, d’un personnage. Mais mon préféré, c’est l’écriture, parce que ça peut autant être pour écrire tout ce à quoi on pense, ce qui nous angoisse, que pour écrire des histoires pour se changer les idées!
J’espère vraiment que tu iras mieux bientôt. Tu mérites d’aller bien, d’avoir un sourire sincère plutôt que celui qui te sert à cacher ce qui se passe à l’intérieur. N’hésite pas à répondre à mon message, ça me ferait plaisir. Lâche pas, tu es forte et tu vas passer au travers ❤️
xxx
TisaneBienveillante10