Crush

avatar

AthlétismeRusée15

il/lui·17 ans

2a

Salut je suis gay et j’aurais besoin de conseil la chose cest que j’ai un gros crush sur quelqu’un qui est proche de mes amis mes malheureusement il est hetero mes il a l’air vraiment gay moi et mes amis Avon un doute dur sont orientation j’aimerais vraiment lui demander si il est gay ou bi ou etc mes j’ai peur qu’il me veulent plus me parler si je lui demande je ne sais vraiment pas quoi faire merci

Réponses

  • avatar

    RoseSympathique7 alltheme

    Ado TJ·elle/elle·18 ans

    1a

    Salut @AthlétismeRusée15 !

    J'espère que tu vas bien. C'est vraiment cool que tu aies un intérêt envers quelqu'un!

    Je crois que le mieux serait vraiment de lui demander en privé et demander que ça reste privé entre vous deux si tu as des doutes. Genre, pas obligé que tout le monde le sache! S'il est respectueux et que c'est un bon gars, il fera attention. C'est flatteur quand quelqu'un nous dit qu'iel est intéressé.e!

    Je crois que tu ferais bien de lui en parler et de lui mentionner cet intérêt, t'as juste une vie à vivre ;)

    J'espère que j'ai pu t'aider. Mon meilleur conseil serait de ne pas avoir peur des jugements et vas-y, fonce! J'sais que c'est pas facile, mais t'es capable.

    Prends soin de toi et n'hésite surtout pas s'il y a quoi que ce soit xx

    RoseSympathique7

  • avatar

    BasilicCourageuse5

    elle/elle

    1a

    Peut-être que tu pourrais demander à un de tes amis qui le connais bien et qui est assez proche de lui pour lui demander sans insinuer quoi que ce soit à propos de toi. Ton ami pourrait trouver une façon subtile d'aborder le sujet avec ton crush et te dire ce qui en est. Si tu apprends qu'il est gay et que tu penses avoir une chance avec tu peux peut-être essayer de tenter.

  • avatar

    LinAmusé9 alltheme

    Ado TJ·elle/elle·18 ans

    1a

    Allo! J'espère que tu vas bien :)

    C'est pas facile ça... Je pense que j'Aurais un peu peur moi aussi. C'est assez délicat. Mais je suis sûre que tu vas trouver un moyen de l'approcher!

    Je me souviens de quand une de mes bonnes amies m'a parlé pour la première fois d'orientations sexuelles. C'était il y a genre 3 ans, vraiment au début de notre amitié. Elle a commencé par me raconter ses crush du primaire et c'étaient surtout des filles. Elle est gay et me demandait si je savais à quelle orientation sexuelle je me rattachais. J'ai trouvé cette approche très bien et c'est cool parce que ça m'a permis de me questionner. J'ai jamais trouvé ça bizarre ou malaisant de parler de ça avec elle. Je pense que même si j'avais été hétéro, j'aurais trouvé ces conversations très intéressantes.

    Je te dirais de devenir ami avec lui avant de lui poser ce genre de question. Si tu es ouvertement gay (je ne pense pas que tu avais précisé cette information), c'est vraiment très cool! C'est juste pas tout le monde qui va au même rythme et je pense que c'est super important de le respecter. Il est peut-être lui-même mélangé et même pas sûr de son orientation sexuelle. Donc je crois que ce serait bien d'en parler avec lui en douceur, sans vouloir une réponse définitive et claire absolument. T'en penses quoi?

    Aussi, il faut se souvenir que quelqu'un qui a l'air gay ne l'est peut-être pas. Je veux dire que c'est facile d'avoir des stéréotypes en tête. J'imagine que tu le sais, mais un garçon efféminé, par exemple, n'est pas synonyme d'homosexualité. C'est vrai que plusieurs homosexuels peuvent avoir des traits qui se rejoignent, par contre! Je voulais juste te conseiller de ne pas sauter aux conclusions et de, par exemple, au lieu de lui demander directement s'il est gay, plutôt lui parler d'orientations sexuelles et lui demander s'il savait laquelle était la sienne. Tu peux commencer pqar lui parler de toi si tu veux. Je crois que c'est bien de poser des questions ouvertes pour le laisser te le dire plutôt que de lui poser une question à laquelle la réponse pourrait être non (ou bien oui, mais pas envie de le dire). :)

    J'ai l'impression que tu es quelqu'un qui se soucie des autres, alors je ne crois même pas avoir besoin de te conseiller de le respecter s'il ne veut pas en parler ;) J'espère que mon message t'aidera! En gros, il y a juste un moyen de s'avoir s'il y a des chances qu'il s'intéresse à toi et c'est en le lui demandant. Tant que tu le respectes, je ne pense pas qu'il pourrait ne plus vouloir te parler! Alors je te souhaite vraiment que tes sentiments soient réciproques!!! N'hésite pas à nous demander d'autres conseils pour n'importe quoi, on est là :) xxx

  • avatar

    BiscuitBienveillant14

    elle/elle·15 ans

    1a

    Salut! Je te dirais de simplement lui demander s’il est confortable de te dire son orientation sexuelle. Il ne va pas nécessairement insinuer que tu l’aimes si tu lui demandes, peut-être pensera-t-il simplement que tu es curieux!

Dernières publications

Liste de discussions

  • avatar

    ConfitureDynamique17

    iel·16 ans

    1j
    J'arrive pas à faire une publiquation ?
    Bonjour ! Je n'arrive pas à publier quelque chose que j'ai écris, ça fais plusieurs fois que je rafraichis la page, que j'en ouvre une nouvelle, y a rien qui fonctionne, pourtant quand j'essaye d'écrire quelque chose de différent ça a l'air de fonctionner. Est-ce que c'est parce que mon text est trop long ? C'est quoi le problème ?
  • avatar

    VolleybalDynamique7

    elle/elle

    2j
    Qui choisir? Maman ou papa?
    Salut, ça fait un bout de temps que j'ai pas écrit sur le forum. je suis un peu dans une situation... difficile. J'ai 13(bientôt 14) et j'ai vécu des choses (trop). Je vois une travailleuse sociale, je bientôt faire des activités avec des victimes d'agressions sexuelles dans un centre...et ect. Maintenant que m'a vie commençait à reprendre le bon chemin, mon père m'a suggéré d'aller vivre chez lui pendant 1 ans ( je le vois une fin de semaine sur deux habituellement et l'été je le vois une semaine sur deux). Il faut savoir que, j'ai pas le meilleur environnement chez ma mère. Ça fait que crier et se chicaner entre tout le monde, surtout entre mon beau père et ma mère. Mon père m'a donc suggéré sa, mais je ne sais vraiment pas quoi dire... J'en ai parler à mon cousin de 20 ans, lui qui a eu pratiquement les mêmes situation que moi, était le mieux placé pour me comprendre. Il m'a dit, et je site...<< Tu devrais dire oui, je préfère que tu vives dans un endroit sain>>. Comme si ma mère était un monstre. Mais le seul monstre dans cette histoire c'est moi. Chez ma mère, c'est toujours moi qui est accusée de tt. Je me fait chicaner tout le temps et on me rappelle souvent mes erreur, comme l'histoire du pédophile disons( voir mes autres publications). Chez mon père, on vois aucun de mes efforts. Je fait toujours plus que demander et c'est toujours pas bien. Je garde 6 enfants, c'est sûr que j'ai pas le temps de toujours tout faire correctement. C'est compliqué et eux...ils me critiquent tt le temps. Je sais pas si je devrais accepté la proposition de mon père. Après tout, il fait sa pour mon bien. Je sais que c'est long à lire tout sa, mais je préfère me confier à vous parce vous vous m'écouter (plutôt vous lisez, mais vous avez compris) contrairement à mes parents, mes problème c'est n'importe quoi et pleurer c'est comme un crime. J'ai vu plusieurs fois ma mère et mon beau père se chicaner... pendant ce temps moi je cachait les yeux et les oreilles de mes frères et sœurs... Je n'avais pas assez de mains pour cacher les miens. J'ai tout vu et entendu...la maison qui tremblait avec les coup dans le mur, la vitre sur la porte qui explose avec les coups de poing de mon beau-père dans la porte. Tout. Les autres, ne le savent pas sa... J'aimerais vraiment que quelqu'un me résonne. Je veux savoir se qui est le mieux pour moi...mais je ne sais pas.
  • avatar

    SésameMinutieux15

    elle/elle

    2j
    Mes parents se moquent de moi
    Quand mes amis ont appris que j’avais un trouble psychologique, ils m’ont intimidé. Ils étaient violents verbalement, physiquement et psychologiquement pendant plusieurs années.J’ai eux une chicane avec mes parents car ils insistent pour fêter ma fête alors que j’en ai horreur. Mon anniversaire était le jour ou mes amis m’intimidaient le plus, ils convainquaient mes autres amis de m’intimider ou de me fuir.Mes parents disent que j’exagère. Ils se moquent de moi et disent que je dramatise quand j’en parle a d’autres personnes. Ma mère me traite de niaiseuse et de faible pour laisser mes amis me gâcher la vie aux point de m’isoler et de ne pas fêter ma fête.Peut être que c’est vrai que je dramatise, je ne sais plus, mais comment je le décris, c’est comment je l’ai ressenti. Ils ne le comprennent pas et continuent à me forcer de fêter ma fête.
  • avatar

    VolleybalCharmeur13

    elle/il

    3j
    J’ai mal, mais je me tais depuis trop longtemps
    Je ne sais pas vraiment par où commencer, parce que ce que je vis me dépasse. J’ai l’impression de porter un poids que personne ne voit. Je me suis déjà automutilée. Pour faire taire ce qui hurlait en dedans. Pour sentir quelque chose, n’importe quoi, quand tout devenait trop lourd. J’ai déjà voulu en finir. J’ai fait des tentatives de suicide. Pas pour attirer l’attention, mais parce que je ne voyais plus d’issue. Parce que la douleur était trop grande, trop constante. J’ai perdu des amis. Peut-être parce qu’ils ne comprenaient pas, peut-être parce que je me suis enfermée dans ma souffrance. Ou peut-être parce que je ne savais plus comment être "normale". J’ai connu l’amour, ou du moins ce que je pensais être de l’amour. Mais c’était toxique. J’ai été brisée dans des relations où je me suis effacée, où je croyais que je méritais d’être mal aimée. J’ai vécu une agression sexuelle. Un moment qui m’a marquée à vie, que j’essaie encore de comprendre, de guérir. J’ai été placée dans une famille qui n’était pas la mienne. Arrachée à mes repères, comme si j’étais un problème à régler plutôt qu’une personne à aider. J’ai connu la violence conjugale. La peur dans le quotidien. Les mots qui frappent. Les gestes qui blessent. La sensation que ma voix ne comptait pas. Je vis avec la dépression. Cette noirceur qui revient sans prévenir. Qui me fait croire que je ne vaux rien. Que je dérange. Que je suis de trop. Et surtout… je me sens à l’écart. Comme si je n’avais pas de place. Comme si je ne faisais pas partie du monde qui m’entoure. Mais aujourd’hui, j’écris tout ça pour une raison : je veux être entendue. Je veux arrêter de me cacher. Je veux trouver de l’aide. Je veux croire que malgré tout ce que j’ai vécu, je peux encore me reconstruire.