Es que c'est ma faute?
CitronelleBrillant3
elle/elle
Allo, je m'excuse d'avance pour les fautes d'orthographe et pour la longueur du poste.Je vais être tout a fait honnête, je ne sais pas par ou commencé. Mais il faut savoir que tout se passe au primaire, et que j'était extrêmement timide et sensible, je ne parlerai pas d'hypersensibilité car il n'y a eu aucun diagnostic a proprement parler, seulement des rencontres avec des psychoéducateurs.Je n'ai jamais été réellement appréciée par les autres durant cette période de ma vie, les autres enfants faisaient des grimaces quand je leurs demandait si je pouvais joué avec eux, j'était parfois poussé (sa les faisaient rire), à chaque foi que je parlais en classe j'entendais des soupires et le peu d'amies que j'avais se retournaient contre moi (tentant de faire parti du groupe d'enfant plus "populaire").Un jours (5em année), je me suis retrouver dans la même classe qu'un garçon du groupe d'enfants plus extravertis (Je l'appellerais Henri). Je le connaissait déjà, il était ami avec une de mes amies un peu plus extravertie. Il à (pour une raison inconnue) commencer a me coller (ce n'étais pas le fait d'avoir peu d'amis qui me faisait mal à l'époque, c'était d'être mise à l'écart (juste pour clarifié)). Pour être honnête, je préférai trainer avec d'autre filles, je ne l'aimais pas spécialement, il m'ennuyais et se moquais même parfois de moi pour rire (il faisait sa avec ses autres amis mais je n'appréciai pas).(C'est la que j'ai honte), alors j'ai commencé à parler dans son dos, oui, stupide, je sais, je regrette. Ca commençais avec des "je ne l'aime pas lui" et autres puis graduellement c'est devenue des "il a l'air ridicule", "il est moche" (je tien à encore préciser que je me sens horrible, je ne cautionne pas de tout ce genre de comportement). Puis, un jour, j'ai dit quelque chose de raciste, qui plus est, je l'ai mis sur le dos de ma mère. Je tiens a, au passage m'excuser, j'en est parler à ma mère. Rien qu'en écrivant ceci je me sent mal, ce n'est pas quelque chose que je cautionne, bien au contraire, je suis contre tout comportement raciste et rien n'excuse les propos que j'ai eu en 5em année. Je me sens mal, tant que je ne suis pas allaise a changer de sujet dans ce paragraphe, mais que puis je faire.Une amie à moi (que j'appellerais Marie), est allé reporter mes mots a Henri entre la dernière période et la fin des cours. Je vivais en face de l'école alors je partais à pied et seule. Lorsque je passait les portes pour rentré je l'ai entendue crié derrière moi. Il utilisais des mots comme "conn*sse" et "p*te" pour nous décrire moi et ma mère. Je l'ai écouté quelque secondes derrière la clôture avant de courir en pleurnichant par ce que j'avais peur. Je n'en est parler à personne de la soirée. Le lendemain matin, je rentrais dans la cours d'école en tremblant par ce que j'avais peur et je me suis diriger le plus vite possible vers une amie (je l'appellerais Julie) pour ne pas être seul. IL m'as vue rentré mais n'a pas eu le temp de venir vers moi car la cloche avait sonné. Pour être honnête, je ne me souvient pas du reste de cette journée, je me rappelle vaguement du moment ou il est venue m'aborder (encore en m'insultant) mais sans plus. Etant extrêmement sensible, j'étais tétaniser, ce garçons me faisait maintenant peur et je ne sait pas si ca se voyait mais il avait l'air de le savoir. Etant effrayer et ayant honte, j'ai décidé de ne pas m'approcher de lui.Ma décente commence ici. Quand je me dirigeait vers Julie en arrivant à l'école le matin, il viendrait à sa rencontre en courant au moment précis ou j'arrivais, sachant que je ne m'approcherais pas de lui ayant trop peur, il faisait sa pour que je me retrouve seule (cela à durer 2 mois). Il à commencer a parler dans mon dos que je l'ai fait (commentaire sur le physique, les notes, etc.), le problème étant que lui avait beaucoup d'amis et moi très peu, bien évidemment en apprenant ce que j'avais dit tout le monde s'est mit de son coté et j'ai reçu de nombreux commentaires. Il insistais pour rester parler avec mes amies sachant que je n'avait personne d'autre à qui parler, et quand j'arriver il me disait de partir, quand je restais il me disait de fermer ma gueule. Quand j'arrivais le matin il poussait la porte à contre sens pour éviter que je rentre et faire en sorte que j'arrive en retard. Lorsqu'on se mettais en rang pour sortir (lui étant en avant et moi derrière) il passait par derrière pour me pousserait d'un coup d'épaule ou de hanche contre un bureau, je rentrais à la maison avec des bleus sur la hanche. Et quand j'attendais qu'il aille se placer en premier pour éviter de me faire pousser, il faisait mine d'avoir oublié quelque chose à son bureau pour pouvoir repasser par l'arrière et comme même me pousser. Le jours ou j'ai gémit de douleur après m'être fait pousser pour la troisième fois de la journée, l'enseignant ma dit d'arrêter de faire un spectacle, je lui est dit qu'il m'avais pousser, elle à répondue que je faisait attendre tout le monde. Je me faisait poussé presque a chaque fois que l'on faisait le rang, c'est à dire autours de 4 fois par jours. Il commençais à pleurer quand il constatais que je l'éviter (disant que j'était méchante). Il laissait tomber ses affaires à coter de mon bureaux pour ensuite aller se plaindre de vole à l'enseignante (j'ai fini par comprendre qu'il le faisait exprès, cela arrivait trop souvent). Il souriait quand quelque chose de mal m'arrivait (genre avoir une mauvaise note ou tombé dans les escaliers). Un jour j'ai répondue que je ne savait pas quel était un pays spécifique et que cela ne m'intéressait pas. Il à commencer à débiter des commentaires raciste sur les gens de mon pays. Je pourrais continuer encore longtemps mais ce serait trop long. Tout cela à continuer sur une période de 10 mois, période durant laquelle j'avais peur d'aller à l'école.Tour ce que je viens de décrire peu paraitre peu pour certains, peu être que cela vous parait cours, mais reste que j'était seule et extrêmement sensible (du genre à pleurer au moindre commentaire). J'aimerais que vous preniez cela en compte, car il le savait pertinemment. (Au passage, oui, il y a eu des rencontre avec mon enseignante. Je revenais trop souvent en pleurant à la maison, ma mère à pris l'initiative de la contacter à chaque foi. Reste que cela ne changeait rien a la situation, elle nous demandait juste de nous dire pardon et de nous comporter comme des amis. Et oui des messages ont été écris à ses parents mais j'imagine qu'il jugeait leur fils comme victimes et moi comme une coupable.).Arriver au secondaire, je me suis senti libérer, par ce que même pendant la 6em année (ou on était pas dans la même classe, et qu'il avait arrêter de m'embêter) j'était tétaniser à l'idée d'être dans le même bâtiment que lui. Etant habituer à être seule, je me suis tout de suite attaché à mon nouveau groupe d'amies, amies qui ont commencer à parler en mal de moi en story instagramme et à se servir de moi mais j'ai laisser passé par ce que j'avais peur d'être encore isoler.Vers février de secondaire 1 (un peu avant covid), mon amie Julie, avec qui j'ai conserver des liens (même jusqu'à aujourd'hui), est venue me voire à la maison. (Elle étais allé dans la même école que lui) Elle m'as décrit la conversation suivante.-Henri: parle tu encore à (mon nom)?-Julie: Oui, pourquoi?-T'as t-elle parler de moi?-Non.-Ah. Mais peu tu lui dire de ma part que je lui pardonne ce qu'elle ma fait?Je ne sais pas si j'ai le droit de m'être sentie en colère lorsque j'ai entendue ca. Et aujourd'hui encore je me questionne. Es que j'ai vraiment le droit de dire quoi que se soi, par ce qu'après tout:-Il était un enfant de 10ans qui ne savait mesurer l'envergure de ses actes.-Si j'avais fermer ma bouche, rien ne se serait passé.-Il décide d'aller de l'avant.Tout ce qu'il m'a fait subir m'a laisser des séquelles qui me suivent encore aujourd'hui. Alors dites moi, ai je le droit de me plaindre qu'il se nomme victime? Es que c'est de ma faute?
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MatchaContente9
elle/elle
1hDeuil et amitiéDonc mon père est décédé il y a presque 2 mois maintenant et c'est difficile. C'était une maladie terminale alors on savait tous que ça se terminerait comme ça. Depuis le diagnostic, toutes mes amies proches me disaient comment elles seront là pour moi et que je suis pas seule. De ce groupe, il n'y a que ma meilleure amie qui faisait des check up et qui m'appeler et venait me voir. Bref, c'est la seule qui se soucier. Il y a une autre amie qui a décidé de rester en silence tout le temps. Elle me parlait pas, elle se demandait jamais comment j'allais. Même durant l'année où il était malade, elle faisait comme si rien était. Comme si tout allait bien. Elle se préocuppait beaucoup trop de son chum, avec qui elle passe tout son temps avec. Chaque fois qu'on fait quelque chose, il est toujours dans l'équation. Elle s'assure toujours s'il va bien, même s'il ne vit même pas une tragédie comme la mienne. Il est toujours la priorité, peu importe ce qui arrive.Une fois, j'ai décidé de reach out 1 mois après le décès pour lui parler que je m'étais sentie seule durant l'année et que j'aimerai qu'elle fasse le premier pas de temps en temps. La discussion c'était bien passé je croyais, jusqu'à qu'elle me ghost encore pour 2 semaines. Quand elle me reparler, c'était pour faire une activité qui demander beaucoup de planification et de préparation, et elle sait très bien que j'ai pas cette énergie. Après, on planifiait quelque chose avec un autre ami et elle voulait absolument que son chum soit là. Je lui ai dit que j'avais pas l'énergie pour ça, j'avais juste besoin de voir mes amis proches dans ces temps difficiles.Et elle disait comment on peut pas être juste triste dans la vie, qu'elle a besoin de s'amuser (même si littéralement elle était absente tout le long et on fait que "s'amuser") et qu'elle est pas ma psy et que je devrais chercher de l'aide professionnelle. Comme oui j'ai rien contre la psy et je comprend ça, mais ça reste que j'ai besoin de voir mes amis. J'ai jamais demandé à juste parler de mon deuil, mais c'est tellement récent et je comprend pas pourquoi elle réagit de cette manière. Elle dit qu'être avec son chum c'est important et qu'elle devrait pas choisir avec qui être, même si je lui ai jamais demandé de faire ça. Je croyais juste qu'elle voudrait passer du temps avec moi durant cette période difficle. Bref, elle dit qu'on est meilleures amies pareil et tout de suite après cette discussion elle me fait un rant sur quelque chose d'autre. Je sais même pas si je peux la considérer comme une amie.Ai-je tort de croire que les amitiés sont toutes aussi importantes que les relations, surtout dans des temps comme ça? -
KetchupChanceux15
il/lui·12 ans
7hje m'ennui de mon peremon pere c'est suicider et je m'ennui de lui bcp. C'est vraiment difficile faire le deuil est ce que il en a d'autre qui font un deuil? -
SésameContente10
elle/elle
2jComment savoir ?!Salut, en fait je me demande comment ont le c'est si ont crush sur quelqu'un parce que j'ai l'impression que quand je dit à mes amies genre Ah j'ai un crush ben jsp si c'est vraiment sa! Donc je ai parler et j'ai demander des truc au gens mais sa m'aide pas trop alors jsp si il y a quelqu'un qui pourrait m'aider ?! Merci! -
PizzaProdigieuse17
elle/elle
4jJe sais pas quoi faireJ'ai 13 et j'ai des envies chelou j'ai très envie de faire ma première fois mais j'ai des parents strict (j'ai même pas le droit d'être en couple donc voilà le niveau) et ces envie persiste depuis mes 11 ans et demi déjà je ne sai même pas avec qui je pourrais faire ça si je le ferai SVP aidez moi
Réponses
RoseSympathique7
Ado TJ·elle/elle·18 ans
Coucou @CitronelleBrillant3 ,
Comment vas-tu?
Je pense que tu te mets beaucoup de poids sur les épaules avec cette situation. Je pense vraiment que des deux côtés, il y avait une innocence et une manière de voir les choses comme un enfant (et non comme un ado ou adulte par exemple). Quand on est jeune, on ne mesure effectivement pas l'ampleur des paroles et des actions que l'on pose (ça, c'est naturel, ça va avec le développement psychologique de l'enfant). Cela dit, je pense que tu es capable de voir que de son côté, deux-trois ans plus tard, il y pense encore et toi aussi. Je pense surtout que cette situation t'as probablement fait réfléchir.
Je crois que ce n'était pas quelque chose qui allait te suivre. Au contraire. Je pense que maintenant que tu réalises, tu regrettes. Et c'est tout à fait valide! Je crois qu'il faut que tu acceptes les paroles que tu as posé, car tu ne comprenais pas leur signification. Et en tant qu'enfant, tu ne pouvais pas comprendre ce que tu disais, tu n'avais que 10 ans. Tu ne comprenais probablement même pas les émotions que ça te faisait. Tu faisais juste les vivre sur le temps réel. C'est tout.
Alors, ne t'en fais pas avec ça. Je pense que les deux vous avez grandi. Je pense pas qu'il serait non plus nécessaire de vous en reparler, à moins que vous vous croisiez et que ça adonne par exemple. Force pas les choses. C'est normal de faire des erreurs en tant qu'enfant. L'important c'est que tu apprennes de cette situation là.
Serais-tu capable de nommer des choses qui font qu'aujourd'hui, tu agis différemment? Ça c'est une preuve de maturité. :)
Prends soin de toi. C'est important. Avec le temps, tu sauras accepter et comprendre mieux les mécanismes de défenses que t'a amené cette situation. Apprends à te pardonner. N'hésite pas s'il y a quoi que ce soit xxx
RoseSympathique7