NNN

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SoccerSérieux11

elle/elle·14 ans

1a

Bonjour, sa faits deja un bout que la NNN est fini (no nut november), et mon meilleur ami etait a coter de moi et men a parler. Nous etions dans le corridor avec tous les autres eleves des classes ou des casiers les plus proches. Je ne savais pas cetait quoi alors je lui ai demander et na eu aucune gene a men parler car il ny avait casiment que des gars avec nous. Il ma dit quil avait reussi (pour les autres quils ne savent pas cest quoi, cest ne pas ce masturber tout le mois de novembre) et a demander a Vincent (voir article ENCORE!?!?!?) et il a dit: un peut des 2... et 2 autres de nos amis on dit quil avait reussi. Mais maintenant, je mimagine toutes ma classe qui le font dhabitude.., Jaimerais bien arreter de penser a sa... Conseil?

Réponses

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    LinAmusé9 alltheme

    Ado TJ·elle/elle·18 ans

    1a

    Allo! J'espère que tu vas bien.

    Je connaissais pas la NNN non plus, alors je suis allée chercher un peu pour comprendre :)

    C'est normal de se masturber et je ne crois pas que ça devrait être tabou comme sujet. Par contre, c'est complètement normal de ne pas être à l'aise d'en parler ou d'en entendre parler. Je ne m'imagine pas parler de ça avec mes amies. Pourtant, il n’y aurait rien de mal à parler de sexualité ; tant que les gens se sentent à l’aise. Beaucoup de gens se masturbent, peu importe le genre, et c'est très sain! C'est super bon pour la santé mentale :) 

    En fait, la plupart des gens auront pratiqué la masturbation un jour ou l’autre dans leur vie. Même dans le ventre de leur mère, les bébés explorent leur corps et le plaisir qu’on ressent en se touchant. Dans certaines cultures (des spiritualités autochtones, par exemple), il est commun de masturber son bébé pour le calmer. Les bébés et les enfants aussi touchent, frottent et caressent leurs organes génitaux pour se faire du bien. C’est sûr que ce qui se passe dans leur tête à ce moment-là n’est pas la même chose que pour un.e ado ou un adulte, par contre! C'est différent, mais a quand même les mêmes bienfaits sur la santé mentale.

    Tout ça pour dire que c’est vraiment normal. 

    Ceci dit, je te comprends vraiment de ne pas vouloir imaginer tout le monde se masturber. On a tous des rythmes différents pour explorer sa sexualité, c’est normal. Et ça se peut aussi que ça ne t'intéresse juste pas. Dis-toi que tu n’es pas anormale ou bizarre d’avoir une mini réalisation sur les gens qui se masturbent haha! J’ai vécu la même chose vers ton âge aussi. J’apprenais plein de choses sur la sexualité (grâce entre autres à un dictionnaire de la sexualité écrit par une sexologue) et plusieurs affaires m’ont étonnée. 

    Si ça te gosse d'y penser, essaie de te changer les idées en faisant autre chose, peut-être :)

    J’espère que mes infos te rassurent! Je suis là si tu veux me répondre :) Bonne journée!

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    ConfitureDynamique17

    iel·16 ans

    1j
    J'arrive pas à faire une publiquation ?
    Bonjour ! Je n'arrive pas à publier quelque chose que j'ai écris, ça fais plusieurs fois que je rafraichis la page, que j'en ouvre une nouvelle, y a rien qui fonctionne, pourtant quand j'essaye d'écrire quelque chose de différent ça a l'air de fonctionner. Est-ce que c'est parce que mon text est trop long ? C'est quoi le problème ?
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    VolleybalDynamique7

    elle/elle

    2j
    Qui choisir? Maman ou papa?
    Salut, ça fait un bout de temps que j'ai pas écrit sur le forum. je suis un peu dans une situation... difficile. J'ai 13(bientôt 14) et j'ai vécu des choses (trop). Je vois une travailleuse sociale, je bientôt faire des activités avec des victimes d'agressions sexuelles dans un centre...et ect. Maintenant que m'a vie commençait à reprendre le bon chemin, mon père m'a suggéré d'aller vivre chez lui pendant 1 ans ( je le vois une fin de semaine sur deux habituellement et l'été je le vois une semaine sur deux). Il faut savoir que, j'ai pas le meilleur environnement chez ma mère. Ça fait que crier et se chicaner entre tout le monde, surtout entre mon beau père et ma mère. Mon père m'a donc suggéré sa, mais je ne sais vraiment pas quoi dire... J'en ai parler à mon cousin de 20 ans, lui qui a eu pratiquement les mêmes situation que moi, était le mieux placé pour me comprendre. Il m'a dit, et je site...<< Tu devrais dire oui, je préfère que tu vives dans un endroit sain>>. Comme si ma mère était un monstre. Mais le seul monstre dans cette histoire c'est moi. Chez ma mère, c'est toujours moi qui est accusée de tt. Je me fait chicaner tout le temps et on me rappelle souvent mes erreur, comme l'histoire du pédophile disons( voir mes autres publications). Chez mon père, on vois aucun de mes efforts. Je fait toujours plus que demander et c'est toujours pas bien. Je garde 6 enfants, c'est sûr que j'ai pas le temps de toujours tout faire correctement. C'est compliqué et eux...ils me critiquent tt le temps. Je sais pas si je devrais accepté la proposition de mon père. Après tout, il fait sa pour mon bien. Je sais que c'est long à lire tout sa, mais je préfère me confier à vous parce vous vous m'écouter (plutôt vous lisez, mais vous avez compris) contrairement à mes parents, mes problème c'est n'importe quoi et pleurer c'est comme un crime. J'ai vu plusieurs fois ma mère et mon beau père se chicaner... pendant ce temps moi je cachait les yeux et les oreilles de mes frères et sœurs... Je n'avais pas assez de mains pour cacher les miens. J'ai tout vu et entendu...la maison qui tremblait avec les coup dans le mur, la vitre sur la porte qui explose avec les coups de poing de mon beau-père dans la porte. Tout. Les autres, ne le savent pas sa... J'aimerais vraiment que quelqu'un me résonne. Je veux savoir se qui est le mieux pour moi...mais je ne sais pas.
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    SésameMinutieux15

    elle/elle

    2j
    Mes parents se moquent de moi
    Quand mes amis ont appris que j’avais un trouble psychologique, ils m’ont intimidé. Ils étaient violents verbalement, physiquement et psychologiquement pendant plusieurs années.J’ai eux une chicane avec mes parents car ils insistent pour fêter ma fête alors que j’en ai horreur. Mon anniversaire était le jour ou mes amis m’intimidaient le plus, ils convainquaient mes autres amis de m’intimider ou de me fuir.Mes parents disent que j’exagère. Ils se moquent de moi et disent que je dramatise quand j’en parle a d’autres personnes. Ma mère me traite de niaiseuse et de faible pour laisser mes amis me gâcher la vie aux point de m’isoler et de ne pas fêter ma fête.Peut être que c’est vrai que je dramatise, je ne sais plus, mais comment je le décris, c’est comment je l’ai ressenti. Ils ne le comprennent pas et continuent à me forcer de fêter ma fête.
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    VolleybalCharmeur13

    elle/il

    3j
    J’ai mal, mais je me tais depuis trop longtemps
    Je ne sais pas vraiment par où commencer, parce que ce que je vis me dépasse. J’ai l’impression de porter un poids que personne ne voit. Je me suis déjà automutilée. Pour faire taire ce qui hurlait en dedans. Pour sentir quelque chose, n’importe quoi, quand tout devenait trop lourd. J’ai déjà voulu en finir. J’ai fait des tentatives de suicide. Pas pour attirer l’attention, mais parce que je ne voyais plus d’issue. Parce que la douleur était trop grande, trop constante. J’ai perdu des amis. Peut-être parce qu’ils ne comprenaient pas, peut-être parce que je me suis enfermée dans ma souffrance. Ou peut-être parce que je ne savais plus comment être "normale". J’ai connu l’amour, ou du moins ce que je pensais être de l’amour. Mais c’était toxique. J’ai été brisée dans des relations où je me suis effacée, où je croyais que je méritais d’être mal aimée. J’ai vécu une agression sexuelle. Un moment qui m’a marquée à vie, que j’essaie encore de comprendre, de guérir. J’ai été placée dans une famille qui n’était pas la mienne. Arrachée à mes repères, comme si j’étais un problème à régler plutôt qu’une personne à aider. J’ai connu la violence conjugale. La peur dans le quotidien. Les mots qui frappent. Les gestes qui blessent. La sensation que ma voix ne comptait pas. Je vis avec la dépression. Cette noirceur qui revient sans prévenir. Qui me fait croire que je ne vaux rien. Que je dérange. Que je suis de trop. Et surtout… je me sens à l’écart. Comme si je n’avais pas de place. Comme si je ne faisais pas partie du monde qui m’entoure. Mais aujourd’hui, j’écris tout ça pour une raison : je veux être entendue. Je veux arrêter de me cacher. Je veux trouver de l’aide. Je veux croire que malgré tout ce que j’ai vécu, je peux encore me reconstruire.