Gros découragement
SnowboardChanceuse13
elle/elle
Ces temps-ci, je vis beaucoup de déceptions. J'enchaine mauvaises notes après mauvaises notes en math, mes amies ça va moyen je me sens très seule malgré que je sois entouré, je performe moins bien en danse dû à ma fatigue mentale, mes parents sont découragés de moi, etc. Je suis juste tellement fatiguée, je déteste l'école et ma vie en ce moment. Je me fais demander environ 3 fois par jour si je suis correcte et je réponds à chaque fois que je suis juste fatiguée. Mais c'est faux, j'ai beau me coucher à 9h, ma sensation de vide reste la même. C'est comme un cercle vicieux et j'essaie d'en sortir, mais à chaque fois que je progresse, je finis par tout perdre mon progrès et retomber à la case départ. J'ai juste tellement de pensées négatives en ce moment. Quand on me parle de ma graduation qui est dans un bon moment encore, les larmes me viennent et je me demande si ce moment, mon rêve d'enfant, va se passer. Ma mère qui me parle de l'achat de ma robe, de la coiffure que je vais faire, es ce que c'est juste un scénario impossible que j'imagine? J'en ai l'impression ces temps-ci. Mais bon, même si c'est dur de ne pas baisser les bras, je veux continuer de vivre et de me battre pour réaliser mon rêve...
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VolleybalDynamique7
elle/elle
2hQui choisir? Maman ou papa?Salut, ça fait un bout de temps que j'ai pas écrit sur le forum. je suis un peu dans une situation... difficile. J'ai 13(bientôt 14) et j'ai vécu des choses (trop). Je vois une travailleuse sociale, je bientôt faire des activités avec des victimes d'agressions sexuelles dans un centre...et ect. Maintenant que m'a vie commençait à reprendre le bon chemin, mon père m'a suggéré d'aller vivre chez lui pendant 1 ans ( je le vois une fin de semaine sur deux habituellement et l'été je le vois une semaine sur deux). Il faut savoir que, j'ai pas le meilleur environnement chez ma mère. Ça fait que crier et se chicaner entre tout le monde, surtout entre mon beau père et ma mère. Mon père m'a donc suggéré sa, mais je ne sais vraiment pas quoi dire... J'en ai parler à mon cousin de 20 ans, lui qui a eu pratiquement les mêmes situation que moi, était le mieux placé pour me comprendre. Il m'a dit, et je site...<< Tu devrais dire oui, je préfère que tu vives dans un endroit sain>>. Comme si ma mère était un monstre. Mais le seul monstre dans cette histoire c'est moi. Chez ma mère, c'est toujours moi qui est accusée de tt. Je me fait chicaner tout le temps et on me rappelle souvent mes erreur, comme l'histoire du pédophile disons( voir mes autres publications). Chez mon père, on vois aucun de mes efforts. Je fait toujours plus que demander et c'est toujours pas bien. Je garde 6 enfants, c'est sûr que j'ai pas le temps de toujours tout faire correctement. C'est compliqué et eux...ils me critiquent tt le temps. Je sais pas si je devrais accepté la proposition de mon père. Après tout, il fait sa pour mon bien. Je sais que c'est long à lire tout sa, mais je préfère me confier à vous parce vous vous m'écouter (plutôt vous lisez, mais vous avez compris) contrairement à mes parents, mes problème c'est n'importe quoi et pleurer c'est comme un crime. J'ai vu plusieurs fois ma mère et mon beau père se chicaner... pendant ce temps moi je cachait les yeux et les oreilles de mes frères et sœurs... Je n'avais pas assez de mains pour cacher les miens. J'ai tout vu et entendu...la maison qui tremblait avec les coup dans le mur, la vitre sur la porte qui explose avec les coups de poing de mon beau-père dans la porte. Tout. Les autres, ne le savent pas sa... J'aimerais vraiment que quelqu'un me résonne. Je veux savoir se qui est le mieux pour moi...mais je ne sais pas. -
SésameMinutieux15
elle/elle
16hMes parents se moquent de moiQuand mes amis ont appris que j’avais un trouble psychologique, ils m’ont intimidé. Ils étaient violents verbalement, physiquement et psychologiquement pendant plusieurs années.J’ai eux une chicane avec mes parents car ils insistent pour fêter ma fête alors que j’en ai horreur. Mon anniversaire était le jour ou mes amis m’intimidaient le plus, ils convainquaient mes autres amis de m’intimider ou de me fuir.Mes parents disent que j’exagère. Ils se moquent de moi et disent que je dramatise quand j’en parle a d’autres personnes. Ma mère me traite de niaiseuse et de faible pour laisser mes amis me gâcher la vie aux point de m’isoler et de ne pas fêter ma fête.Peut être que c’est vrai que je dramatise, je ne sais plus, mais comment je le décris, c’est comment je l’ai ressenti. Ils ne le comprennent pas et continuent à me forcer de fêter ma fête. -
VolleybalCharmeur13
elle/il
22hJ’ai mal, mais je me tais depuis trop longtempsJe ne sais pas vraiment par où commencer, parce que ce que je vis me dépasse. J’ai l’impression de porter un poids que personne ne voit. Je me suis déjà automutilée. Pour faire taire ce qui hurlait en dedans. Pour sentir quelque chose, n’importe quoi, quand tout devenait trop lourd. J’ai déjà voulu en finir. J’ai fait des tentatives de suicide. Pas pour attirer l’attention, mais parce que je ne voyais plus d’issue. Parce que la douleur était trop grande, trop constante. J’ai perdu des amis. Peut-être parce qu’ils ne comprenaient pas, peut-être parce que je me suis enfermée dans ma souffrance. Ou peut-être parce que je ne savais plus comment être "normale". J’ai connu l’amour, ou du moins ce que je pensais être de l’amour. Mais c’était toxique. J’ai été brisée dans des relations où je me suis effacée, où je croyais que je méritais d’être mal aimée. J’ai vécu une agression sexuelle. Un moment qui m’a marquée à vie, que j’essaie encore de comprendre, de guérir. J’ai été placée dans une famille qui n’était pas la mienne. Arrachée à mes repères, comme si j’étais un problème à régler plutôt qu’une personne à aider. J’ai connu la violence conjugale. La peur dans le quotidien. Les mots qui frappent. Les gestes qui blessent. La sensation que ma voix ne comptait pas. Je vis avec la dépression. Cette noirceur qui revient sans prévenir. Qui me fait croire que je ne vaux rien. Que je dérange. Que je suis de trop. Et surtout… je me sens à l’écart. Comme si je n’avais pas de place. Comme si je ne faisais pas partie du monde qui m’entoure. Mais aujourd’hui, j’écris tout ça pour une raison : je veux être entendue. Je veux arrêter de me cacher. Je veux trouver de l’aide. Je veux croire que malgré tout ce que j’ai vécu, je peux encore me reconstruire. -
SushisAudacieuse3
elle/elle
1jCoup de foudre amicaleJe suis une fille qui s'attache très rapidement. Et c'est d'ailleurs ce qui c'est passer avec une fille un peu plus vielle que moi. Je ne lui est parler qu'une fois. Une seule. On lisait les mêmes livres, on avait les mêmes délires et cette fille avait un charisme et une confiance incroyable bref j'étais complètement fan. Puis, je l'ai plus revue pendant un ans jusqu'à ce qu'une de mes amies m'anonce que cette fille était la nouvelle blonde de sa soeur. Là, j'étais aux anges !! Une autre amie l'a invité pour nos traditionnels "Party de fin d'année" c'était parfait ! On a parler et tout. On c'est même dit qu'on allait écouter Gossip Girl ensemble !! Juste...J'ai l'impression que c'est trop beau. Vous voyez le feeling ? J'ai l'impression que je vais faire une gaffe et que tout vas être finit ! Je ne suis pas amoureuse d'elle. Mais je l'aime tellement alors que je ne l'ai presque jamais vue.
Réponses
SnowboardBrillant15
Ado TJ·elle/il
Salut @SnowboardChanceuse13
Je comprend vraiment comment tu te sens, moi aussi ca m'arrive de me sentir comme ca.
Moi quand je vais mal souvent j'en parle a mes amis, donc tu pourrais peut-être en parler avec elle si tu es a l'aise. Souvent en parler aide a rendre ca moins lourd. Sinon te distraire ou te trouver un passion project qui t'occupe peut aider.
J'espère que tu vas aller mieux bientôt et hésite pas a revenir sur le forum :)
BélierTalentueuse1
elle/elle·18 ans
Bonjour @SnowboardChanceuse13,
Tu as bien fait de nous écrire !
En voyant ta situation, tu m'as vraiment fait penser à moi… En secondaire 2, il y a 4 ans de cela, j'ai vécu la même chose et je ne comprenais pas pourquoi j'étais toujours aussi triste. Je suis à la base une fille extravertie, et on aurait dit que ma joie de vivre s'est évaporée pour cette année. J'ai commencé à faire de l'anxiété et c'était l'horreur. Même en étant entourée de mes amies, je me sentais seule… Il y avait un grand vide autour de moi que je n'arrivais pas à expliquer et on aurait dit que j'étais ailleur en classe. J'avais beaucoup de pensées négatives, je soupirais énormément pour essayer d'évacuer cette anxiété de malheur et je CHIALAIS ÉNORMÉMENT. J'étais très découragé. Je… j'avais perdu ma confiance en moi.
J’ai eu aussi des échecs après échecs en mathématique depuis la secondaire 1, malgré mes efforts pour comprendre la matière. Ça me fait penser à un jour où j’ai pleuré de grosses larmes en français en voyant une note de maths après un examen, haha. C’est très décevant quand tu reçois une note et que tu pensais avoir compris ce coup-ci. Cela n’aidait en rien ma confiance en moi. Dans les cours, j’hésitais sur chacune de mes réponses en exercices. J’ai été à des milliers de récups, j’ai eu une tutrice, j’ai posé des centaines de questions (faisant répéter mes professeurs de mathématiques encore et encore), j’ai été à la PEP de math et j’ai travaillé très dur ! J’essayais toujours de finir mes devoirs de mathématiques, même si je comprenais à moitié. Bref, je passais des HEURES à faire des maths ! ! En mathématique, pendant le secondaire 1, 2 et 3, j’ai toujours passé TRÈS juste mon année. Depuis secondaire 3, au bulletin, mes deux premières étapes se solvaient toujours par un échec. Ai-je baissé les bras ? NON ! J’ai continué à gravir la montagne qui me semblait infranchissable. Et un bon jour… au bulletin final : 60 %. Je n’ai JAMAIS fait de cours d’été de tout mon secondaire, passant mes mathématiques par la peau des fesses. J'ai passé mon examen final à 52 % ( Il me faulait 50% à l'examen pour passer mes maths ) !!!!
De plus, je te comprends vraiment sur le sentiment d'un cercle vicieux. C'est ce que l'anxiété fait. J'ai fait de l'anxiété en éducation physique jusqu'en secondaire 4 et ce n'était pas une partie de plaisir. J'avais l'impression continuelle que je regressais même avec mes efforts. J'ai rapidement compris que je devais sortir de ma "zone de confort". Et… sérieusement, en sortant de ta « zone de confort », c'est là que tu vas voir à quel point tu es capable de faire des choses que tu n'aurais pas pensé faire. Ose avoir peur. Ose essayer. Avec l'anxiété, nous devons affronter nos peurs pour voir à quel point… nous pouvons réussir. Nous devons sortir de cette "zone" pour pouvoir voir notre amélioration. TU ES BONNE ET CAPABLE. Et sérieusement, je te le dis, j'ai réussi à vivre beaucoup de succès et de réussite en éducation physique en sortant de cette zone !Alors quand quelque chose te fait sortir de ta zone de confort… Ose essayer. Peut-être verras-tu que ce n'est pas si pire que tu te l'es imaginé ?
J'ai eu pendant des années l'initiative de prendre un morceau de chocolat (comme Lupin dans Harry Potter) après une épreuve stressante. Que ça soit un examen, quelque chose où tu es sortie de ta zone de confort, etc. Je prenais ce morceau de chocolat. Et je le dégustais doucement en me félicitant à voix basse de ce que j'avais fait. En me disant : "Cet examen est derrière moi, je ne peux plus rien y faire et tu as bien performé", par exemple.
ALORS, Si tu vis des obstacles, ne te décourage pas et mets tous les efforts que tu as pour réussir ! Tu vas être épuisé à la fin, mais… Cela en vaut la chandelle ! Les personnes qui ont toujours excellé à l'école se retrouvent déconcertées et découragées lorsqu'elles se retrouvent face à un mur. Il est donc préférable d'avoir rencontré des défis et de savoir comment les surmonter ! Malgré mes difficultés en mathématique, j'ai su briller en étant l'élève la plus forte de la classe en secondaire 5 ! ! ! N'oublie pas qu'en parler fait du bien ! Tes parents seront là pour toi et à l'écoute. Tu ne dois pas avoir peur de te faire aider si tu en ressens le besoin. :') J'en ai parlé à mes parents et j'ai été voir une psy pendant quelque temps. Puis, j'ai réussi à me faire ma propre "boite à outils" pour m'aider !
J'espère que t'avoir aidé ! Comme Napoléon Bonaparte dirais : Quand on veut, on peut, quand on peut on doit !
N'hésite surtout pas si tu veux des trucs de ma part ou si tu as des questions :) Je suis disponible pour t'y répondre !
Force à toi !!
xxx
@BélierTalentueuse1
TerreSincère9
Ado TJ·elle/elle
Salut @SnowboardChanceuse13 ! Omg, ouais... ça a l'air lourd, ce que tu vis en ce moment... Je get ce que tu ressens, cette fatigue avec cet impression de vide et de dullness, et ce découragement. C'est clair que c'est pas simple en ce moment... J'comprends aussi que tu vives beaucoup d'émotions lorsque ta mère te parle de ta graduation...c'est normal
T'as tellement de choses qui se passent en ce moment...t'es vraiment forte d'avoir pris la décision de continuer à persévérer!! Honnêtement, j'admire ta résilience, réellement. (quoique si tu lâchais un truc, ce serait pas si pire non plus haha). Anyway, lâche pas! T'es capable! ❤️J'crois en toi! (pis si jamais, t'as l'impression que c'est trop t'as super bien fait d'en parler, c'est super brave! Pis y'a même aussi les intervenants de Tj).
Je t'envoie plein d'ondes positives! :DD
Sincèrement <3,
Terre
SnowboardChanceuse13
elle/elle
@BélierTalentueuse1 Merci pour ta réponse, c'est tellement rassurant que je ne suis pas la seule à me sentir/ être sentie comme ça! Ça me motive vraiment à travailler fort :)
SushisOptimiste14
elle/elle·13 ans
salut,
c cool de savoir que je suis pas là seule à vivre sa mais je crois que tu devrais peut être en parler a quelqu’un de confiance.
je suis dsl mais je n’est pas vraiment de conseil pour toi vu que je suis dans la même situation…
xoxo