que devrais-je faire

Depuis quelque temps je me sens tout le temps déprimée . A l'école je n'ai plus la force de travailler. Je suis toujours épuisée . Je pleurs constamment ; dans la douche , en allant à l'école , dans le bus , aux toilettes , sous la douche . J'en peux plus . J'ai fais des tests en ligne et ils mentionnent tous dépression sévère . Que dois-je faire ? Je n'en peux plus , c'est trop dur . Tout est devenu une corvée . Ma psy m'a demander de chercher une raison de vivre et je ne l'aie jamais trouvée .Je me demande s'il se peut que je dois retourner à l'hopital psychiatrique ? Est-ce que ce serais nécessaire dans mon cas . si oui que feront-ils pour m'aider ? Rien ne m'aide réellement

Allo @CouscousRusé8

J’espère que tu as passé une journée pas si pire aujourd’hui ;) Je sens beaucoup de souffrance dans ton message et je voulais juste que tu saches que je suis là, qu’on est là et que tu peux te confier, parler de ta peine, chialer sur ce que tu veux (je trouve toujours que ça fait du bien de chialer 😉) et q’on ne te jugera pas.

Je pense que c’est normal d’avoir des hauts et des bas, mais que c’est important d’en parler quand il y a trop de bas. Et j’ai compris que tu en parlais déjà à une psy, alors c’est vraiment bien. C’est normal aussi de se sentir comme s’il n’y avait pas d’issue. Je passe par là aussi :)

Ce que j’aime faire dans ce temps-là, c’est d’écrire tout ce à quoi je pense, ce que je ressens, comme dans un journal intime.

Je suis sûre que les professionnels que tu vas voir (si tu vas dans un hôpital psychiatrique) auront beaucoup de manières de t’aider. Aies confiance, n’aie pas peur de demander de l’aide, tu en mérites ❤️

Lâche pas, je pense à toi!

Salut @CouscousRusé8 🤍

Merci de nous avoir écrit. Vraiment.

C’est pas facile de prendre le temps de mettre en mots ce qui nous fait mal et tu as pu le faire maintenant, donc je tiens à le souligner, sincèrement 🤍

Je t’encourage à essayer de te mettre 3 petits objectifs par jour: un pour ta santé mentale, un pour ta santé physique, un pour une autre sphère de la vie (école, famille, etc.). Je ne peux pas trouver LA réponse qui va t’aider à continuer à mettre un pied en avant de l’autre, mais je peux essayer de te donner des idées de pistes de solutions, des pistes où avancer est moins difficile. Comme écho à la question de ta psy, je te conseille d’essayer quelque chose de différent régulièrement. Chercher une raison de vivre, ça peut sembler comme quelque chose de difficile, mais c’est possible, vraiment. Et ça n’a pas besoin d’être une réponse, plutôt plein de petits détails qui font une réponse.

Je ne peux savoir si c’est nécessaire d’aller à un hôpital psychiatrique dans ton cas, et que la réponse soit oui ou non, je crois sincèrement qu’un.e professionnel.le, plusieurs, en fait, pourront t’offrir le soutien nécessaire pour t’aider à trouver la lumière au bout du tunnel.

Tu es capable 🤍 Une chose à la fois. Une étape à la fois. Une respiration à la fois. Un petit coin de sourire à la fois, pour former un beau sourire éventuellement.

N’hésite pas à nous écrire; on sera là pour t’envoyer des ondes positives 🤍

Ma mère

Depuis, des années j’ai des problèmes avec ma mère. À l’école elle a mis en doute ma crédibilité, en disant le contraire de ce que j’avais raconté sur notre relation. L’école et le TES croit à ma mère et non à moi, je suis enragé puisque celle ci m’a blesser physiquement sur mon corp . Je me sens répétitivement seul,puisque qu’elle travaille beaucoup, heureusement que je passe beaucoup de temps avec son amie, je voudrais juste un conseil pour apprendre à communiquer avec elle pour améliorer notre relation.

M'accepter

Mon t.s.a, je ne l'ai jamais vraiment compris. Ça fait un an que j'ai eu mon diagnostique, mais je n'ai jamais compris quoi faire de ça. Qu'est-ce que ça fait de moi? Une personne inapte en société, mais pourtant qui a besoin des autres pour vivre? Je suis une autiste élevé, ce qui veut dire que j'ai beaucoup de caractéristiques mais que je ne suis pas non-verbale. Je ne sais pas quoi penser de moi, sur quel modèle me calquer maintenant que je sais qui je suis. Genre, depuis que j'ai mes idées suicidaires, mon diagnostique, depuis que j'ai eu consience que toute ma vie était un mensonge, je renaît, mais pas dans la bonne époque. Trops d'attentes sociales, de pressions. D'abbord, mon entrée en secondaire 1, p.e.i. Mes amis... Je ne décode plus personne, je suis toujours fatiguée, mes idées suicidaires me lâchent pas... Puis, peu après la rentrée, j'ai eu ma première hospitalisation. 3 mois. Ensuite, j'y suis retourné il y a pas longtemps pour une semaine. Quand je suis vraiment tanné, je m'automutile un peu, je crois. Et depuis ma dernière hospit, je suis devenue agressive, parce que personne ne m'écoutais, me comprenais. Ils m'ont sortis de l'hôpital de force, parce que, j'ai compris plus tard qu'ils ne savaient pas comment m'aider, que j'étais rendu trop, alors ils m'ont juste... Dégagée. Alors, j'ai repris ma vie normale, faire mes intérêts qui me tentes plus (dépression autistique), je vais pu dehors, pas d'école à part un cours....Je sais plus où je suis rendue. Je suis perdue. Désolée pour ce long monologue, ça fait du bien de sortir des choses, comme avant. Merci de m'avoir lue.@TempêteFestif3.

Dépourvue de bonheur

Coucou j'ai 15 ans je suis en famille d'acceuil de proximité (elle est parfaite ,c'est la meilleur famille d'acceuil que j'ai eue ) avec le centre jeunesse. J'ai aussi un merveilleux chum et de parfaites amies, mais au fond de moi j'ai l'impression que une partie de moi saurais jamais combler de bonheur à 100% et que rien peut combler le petit manque qui est en moi et que ma famille, mes amies et mon chum n'arrivent pas à combler est-ce que c'est normal j'aurai vraiment besoin de recommandation car mon mental à besoin d'avoir des ressources pour que je puisse trouver l,aide dont j'ai besoin .Merci beaucoup de me répondre en avance

Insensible?

Je suis bénévole dans un hôpital depuis longtemps. Récemment, il y à plusieurs patients dont je suis proche qui se sont fait diagnostiquer un cancer. Tous mes collègues arrêtent pas de dire que c’est horrible, qu’ils ne veulent pas qu’ils meurent. Ça ne me dérange pas si ils meurent. C’est dommage si ils meurent, mais ça fait quoi? Est ce que je suis insensible? Pourtant, les patients me disent que dans notre département, je suis la bénévole la plus rassurante, gentille, empathique et celle qui leur redonne toujours de l’énergie grâce à ma bonne humeur et mon sourire. Chaque fois que quelqu’un de ma famille proche mourrait, ça ne me dérangeait pas.

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