Ma mère me met de la pression

avatar

ChatCréative4

iel

3a
Depuis certains temps, je ne vais pas très bien. J'ai commencé à faire de l'anxiété et la plupart du temps j'ai juste envie de mourir, parce que j'ai l'impression que c'est trop dur et que je ne vais jamais arriver à m'en sortir. J'ai fait mon coming out à mes parents il y a quelques mois, et ma mère me met beaucoup de pression pour faire mon coming out à tout le monde dans mon entourage, alors que moi, je suis juste pas prêt, et ça me fait vraiment très peur. Il y a quelque jours, elle m'a dit qu'elle avait dit que j'étais gay à ma grand-mère, alors qu'on en avait parlé et que je lui avait dit de ne rien dire. Mes notes à l'école ont aussi commencé à chuter un peu, et j'ai beaucoup de difficulté à m'organiser et à faire mes devoirs à temps. J'ai l'impression que ça vaut juste pas la peine de faire tout ça. Je n'ai jamais eu de difficulté à l'école auparavant, mais là c'est beaucoup plus dur. J'ai l'impression qu'au lieu de m'aider à trouver des solutions, ma mère me pousse à bien faire les choses. Elle me met beaucoup de pression pour que je réussisse dans tout, alors que moi je ne vais vraiment pas bien et je sens que je vais craquer parce que j'ai trop de pression. J'ai vraiment l'impression d'être le "disappointment" de ma famille.

Réponses

  • avatar

    MandarineBavarde7 alltheme

    Équipe Tj·elle/elle

    3a
    Salut ChatCréative4! Je sens que tu en as beaucoup sur les épaules, tu as bien fait de venir nous en parler. C’est jamais nice de se faire outer par personne et de se faire mettre de la pression à faire son coming out quand on n'est pas prêt.e. J’aimerais tellement pouvoir faire en sorte que tes parents comprennent à quel point ça t’en met sur les épaules et comment ça te rend anxieux.se.

    Tu vis plusieurs situations qui ne sont toutes pas évidentes (ton anxiété, ton coming out qui n’est pas sous tes termes, les difficultés à l’école, la pression de ta mère, l’envie de mourir, etc.). C'est important que tu ne restes pas seul.e à travers ça et que tu en parles avec un.e professionel.le.

    Je sais que tu as déjà une psychologue mais est-ce que je pourrais te donner quelques autres options qui pourraient t’aider également? Tu peux texter un.e de nos intervenant.e.s au 514-600-1002 ou nous appeler au 1-800-263-2266, iels sont vraiment là pour t’écouter et pour t’aider à trouver des pistes de solution. Tu peux aussi écrire à Interligne, une ressource pour la communauté LGBTQ+, ils sont vraiment super! Si tu sens que l'envie de mourir prend de plus en plus de place et que tu vas craquer, c'est important que tu ne gardes pas ça en dedans et que tu en parles à quelqu'un. Est-ce que je pourrais aussi t’inviter à clavarder avec un.e intervenant.e de suicide.ca si ca en arrive là? https://suicide.ca/fr/clavarder-avec-un-intervenant

    N’hésite pas s’il y a quoi que ce soit, nous sommes là pour toi!
  • avatar

    BubbleteaPassionné8

    il/lui

    3a
    Coucou! Je sais que ne se connais pas et j’ai commencer a lire des histoires et la tienne ma pris sur le coup d’oeil. J’ai lu ce que tu as écrit et j’avais tellement l’impression de lire le moi d’il y a 1 an. L’année passée toute allais mal, j’étais sur d’être en dépression.. Mes notes chutaient et j’avais aussi l’impression d’avoir de la pression de tout.. Chaque jours je m’enfermais et pleurais dans ma chambre. Au point que je voulais aussi mourir. Au courant de l’année j’ai commencer a essayer d’en parler tranquillement. Et finalement ça a commencer a aller un peu mieux de peu a peu. Maintenant depuis les vacances d’été je vais vraiment mieux! J’ai retrouver ma joie de vivre. J’ai toujours quelques chose à régler mais ce n’est rien de très grave en lien avec c’est genre de sont ce sont plus des petites chose a surmonter et régler. Quand j’allais mal je n’arrêtais pas de lire des histoires de personnes qui allaient mal qui ont tous finis par aller mieux. Cela me donnais espoir de continuer mais des fois j’avais l’impression que j’allais perdre espoir. Mais regarde maintenant je vais mieux! J’ai lu ton histoire et directement j’ai su que je devais répondre quelque chose au moin. Même si cela qu’une seule petite chose! Cela me feras vraiment plaisir juste de savoir que j’ai aider quelqu’un même si ce n’est pas beaucoup. Donc tout ca pour enfin en venir a ce que je voulais te dire de plus important! Je voulais te dire de ne pas abandonner car tu n’as qu’une vie et un jours tous ce règle! Je comprend tellement que c’est difficile d’en parler mais même si tu en parle un peu de peu a peu cela peut toujours changer quelque chose. Tu a l’air vraiment sympa! Et c’est important de ne pas abandonner!
  • avatar

    ChatCréative4

    iel

    3a
    Merci beaucoup pour toutes le ressources! Ça me rassure de pouvoir en parler librement ici et d'avoir le témoignage de personnes qui vivent/ont vécu la même chose.

Dernières publications

Liste de discussions

  • avatar

    KoalaIntéressante10

    elle/elle

    18h
    Ma mère
    Depuis, des années j’ai des problèmes avec ma mère. À l’école elle a mis en doute ma crédibilité, en disant le contraire de ce que j’avais raconté sur notre relation. L’école et le TES croit à ma mère et non à moi, je suis enragé puisque celle ci m’a blesser physiquement sur mon corp . Je me sens répétitivement seul,puisque qu’elle travaille beaucoup, heureusement que je passe beaucoup de temps avec son amie, je voudrais juste un conseil pour apprendre à communiquer avec elle pour améliorer notre relation.
  • avatar

    TempêteFestif3

    elle/elle·13 ans

    18h
    M'accepter
    Mon t.s.a, je ne l'ai jamais vraiment compris. Ça fait un an que j'ai eu mon diagnostique, mais je n'ai jamais compris quoi faire de ça. Qu'est-ce que ça fait de moi? Une personne inapte en société, mais pourtant qui a besoin des autres pour vivre? Je suis une autiste élevé, ce qui veut dire que j'ai beaucoup de caractéristiques mais que je ne suis pas non-verbale. Je ne sais pas quoi penser de moi, sur quel modèle me calquer maintenant que je sais qui je suis. Genre, depuis que j'ai mes idées suicidaires, mon diagnostique, depuis que j'ai eu consience que toute ma vie était un mensonge, je renaît, mais pas dans la bonne époque. Trops d'attentes sociales, de pressions. D'abbord, mon entrée en secondaire 1, p.e.i. Mes amis... Je ne décode plus personne, je suis toujours fatiguée, mes idées suicidaires me lâchent pas... Puis, peu après la rentrée, j'ai eu ma première hospitalisation. 3 mois. Ensuite, j'y suis retourné il y a pas longtemps pour une semaine. Quand je suis vraiment tanné, je m'automutile un peu, je crois. Et depuis ma dernière hospit, je suis devenue agressive, parce que personne ne m'écoutais, me comprenais. Ils m'ont sortis de l'hôpital de force, parce que, j'ai compris plus tard qu'ils ne savaient pas comment m'aider, que j'étais rendu trop, alors ils m'ont juste... Dégagée. Alors, j'ai repris ma vie normale, faire mes intérêts qui me tentes plus (dépression autistique), je vais pu dehors, pas d'école à part un cours....Je sais plus où je suis rendue. Je suis perdue. Désolée pour ce long monologue, ça fait du bien de sortir des choses, comme avant. Merci de m'avoir lue.@TempêteFestif3.
  • avatar

    NuageIntelligent3

    elle/elle·15 ans

    1j
    Dépourvue de bonheur
    Coucou j'ai 15 ans je suis en famille d'acceuil de proximité (elle est parfaite ,c'est la meilleur famille d'acceuil que j'ai eue ) avec le centre jeunesse. J'ai aussi un merveilleux chum et de parfaites amies, mais au fond de moi j'ai l'impression que une partie de moi saurais jamais combler de bonheur à 100% et que rien peut combler le petit manque qui est en moi et que ma famille, mes amies et mon chum n'arrivent pas à combler est-ce que c'est normal j'aurai vraiment besoin de recommandation car mon mental à besoin d'avoir des ressources pour que je puisse trouver l,aide dont j'ai besoin .Merci beaucoup de me répondre en avance
  • avatar

    GrenouilleIntelligent16

    elle/elle

    1j
    Insensible?
    Je suis bénévole dans un hôpital depuis longtemps. Récemment, il y à plusieurs patients dont je suis proche qui se sont fait diagnostiquer un cancer. Tous mes collègues arrêtent pas de dire que c’est horrible, qu’ils ne veulent pas qu’ils meurent. Ça ne me dérange pas si ils meurent. C’est dommage si ils meurent, mais ça fait quoi? Est ce que je suis insensible? Pourtant, les patients me disent que dans notre département, je suis la bénévole la plus rassurante, gentille, empathique et celle qui leur redonne toujours de l’énergie grâce à ma bonne humeur et mon sourire. Chaque fois que quelqu’un de ma famille proche mourrait, ça ne me dérangeait pas.