TempêteFestif3

Suicide

Je veux. Je peux. Mais je veux pas. J'y arrive pas. Je suis lâche, pas courageuse. Je me sens pas bien chez moi, je voudrais être ailleurs, avec des gens qui me comprennent. Mais voilà, ça n'existe pas. Pas de lieux pour moi. Je veux pas continuer à vivre une vie dans l'attante. Ma mère dit que je ne donne pas la chance à la maison, et que c'est injuste. Je m'exprime peut-être mal, parce que je ne sais pas comment le dire, le sortir. J'ai faillit faire une tantative devant ma psy, mais elle m'a dissuadé. Ils disent qu'il y a des solutions, mais ils n'en proposent pas. Moi j'en ai proposé. Je sais pu quoi faire. J'ai l'impression que je vous ais tous déçus, que je me suis déçue. @TempêteFestif3.

Question

Est-ce que les autistes sont comme les Ias?J'ai vu une vidéo et je me la pose de plus en plus cette question. Je sais que les réponses seront donné des sciècles plus tard après ma mort, mais je suis curieuse. Parce que moi j'ai tandance à me camoufler et à copié les autres. Je ne c'est pas si je m'accepte dans ce monde, mais j'aimerais savoir qui je suis. Je sais que je ne pourais jamais tous vous aider et vous non plus. Ce que je veux dire, c'est que je me suis toujours sentie différente de ma communauté et des humains. Mais j'aimerais tellement vous aider! Mais je ne trouves pas ma place. Je m'égare un peu. Merci de m'avoir lue!@TempêteFestif3

Confondre

Je ne me sens pas bien chez moi. J'aime ma mère mais je l'aime pas parce qu'en m'aiment trop, en me protégent, elle me piège, me détruit. Elle est trop aimente. J'ai besoin d'espace. Je rêve d'un monde comme moi je le souhaite. Je pensais que ça existait. Mais non. En le sachant, j'ai été vidée. Mon projet c'était un hébergement médicale à long terme, avec des gens comme moi, spéciales, et des intervenants. Mais ça n'existe pas. Ça existe pas non plus un monde où on m'accepte. Non plus un monde fantastique, avec des créatures fantastiques et que du bonheur. Ce que je rêve depuis toujours. Où personne n'aurais des problèmes. Où je défendrais ceux qui en ont besoin, que je tromperais la haute société, comme dans les films. Mais ça n'existe pas. Je n'ai jamais trouvée ma place. Je ne peux plus croire en quelque chose. Je ne sais plus où j'en suis, et j'aimerais tellement vous aider! Mais je me sens... Pas mériteuse, que si vous me voyez réellement vous aurez peur de moi, comme tout les autres, même les adultes, les enfants et ma communauté autistique. Qu'ils savent ou pas vraiment qui je suis, je leur fait peur et je me fais peur. @TempêteFestif3.

M'accepter

Mon t.s.a, je ne l'ai jamais vraiment compris. Ça fait un an que j'ai eu mon diagnostique, mais je n'ai jamais compris quoi faire de ça. Qu'est-ce que ça fait de moi? Une personne inapte en société, mais pourtant qui a besoin des autres pour vivre? Je suis une autiste élevé, ce qui veut dire que j'ai beaucoup de caractéristiques mais que je ne suis pas non-verbale. Je ne sais pas quoi penser de moi, sur quel modèle me calquer maintenant que je sais qui je suis. Genre, depuis que j'ai mes idées suicidaires, mon diagnostique, depuis que j'ai eu consience que toute ma vie était un mensonge, je renaît, mais pas dans la bonne époque. Trops d'attentes sociales, de pressions. D'abbord, mon entrée en secondaire 1, p.e.i. Mes amis... Je ne décode plus personne, je suis toujours fatiguée, mes idées suicidaires me lâchent pas... Puis, peu après la rentrée, j'ai eu ma première hospitalisation. 3 mois. Ensuite, j'y suis retourné il y a pas longtemps pour une semaine. Quand je suis vraiment tanné, je m'automutile un peu, je crois. Et depuis ma dernière hospit, je suis devenue agressive, parce que personne ne m'écoutais, me comprenais. Ils m'ont sortis de l'hôpital de force, parce que, j'ai compris plus tard qu'ils ne savaient pas comment m'aider, que j'étais rendu trop, alors ils m'ont juste... Dégagée. Alors, j'ai repris ma vie normale, faire mes intérêts qui me tentes plus (dépression autistique), je vais pu dehors, pas d'école à part un cours....Je sais plus où je suis rendue. Je suis perdue. Désolée pour ce long monologue, ça fait du bien de sortir des choses, comme avant. Merci de m'avoir lue.@TempêteFestif3.

Bucket list

Allô!Mon travail que mon enseignante m'a donnée c'est de faire une liste de ce que je voudrais réaliser plus tard. Est-ce normal que je ne sais pas quoi faire, plus tard? Je n'arrive pas à me projeter. J'ai un rêve, oui, mais il n'est pas réalisable. Je voudrais aller dans un autre monde -j'ai compris plus tard que ça signifiait mourir pour moi.- En plus que mes intérêts sont difficiles en ce moment, et que je suis coincée à la maison.... Je m'ennuie. Il y a plein de choses qui tournent dans ma tête... Je voudrais tellement vous en dire plus...Enfin, merci de m'avoir lue.Tempêtefestif3.

Continumm

J'ai l'impression que ma vie est une routine, et je m'ennuie! Il y a quelque chose qui cloche, et moi je fais ma vie, normalement. Je sens que ça va pas, mais je peux pas me libéré, comme quand j'entre dans une pièce et qu'il y a des gens, je suis surchargée et j'ai juste le goût de tout faire pour ne pas les dérangés, ce qui va de pas bouger, faire mes choses mécaniquement, et quand ça devient trop, je suis tenue de rester là, de figer, de sentir mon anxiété remonter dans mon corps, j'ai encore plus chaud (même si on est l'été, je porte une veste pour ne pas ressentir les stimulis comme le toucher, le soleil, etc.) Et après, je tombe dans le néant, prisonnière de mon esprit, je ne peux plus bouger, plus parler. Les idées suicidaires, faire des tentatives, mais pourtant je ne fais rien, je suis juste dépressive, prisonière de mon corps, presque plus d'école, et je sens que ça va pas. Je me suis fait intimider, plus jeune, mais je ne savais pas que c'étais de l'intimidation, je ressentais tellement la souffrance des autres, que je voulais être avec cette personne encore plus. À un moment je me suis juste dit, je suis là pour les autres, je vais prendre leur souffrance, moi, je suis juste pas là. Ensuite, j'ai été diagnostiquer autiste, et je dois ré-apprendre tout depuis le début, le temps est tellement abstrait que je ne le comprends pas. Je n'ai pas le goût de guérir, mais on m'as dit que peut-être mon rêve ce n'étais pas de mourir, que d'aller ailleurs pouvait signifier plein de choses... Bref, tout me ramène à ma vie, à ma réalité, et je me trouves cruelle. J'ai honte parce que j'ai peur de moi, les autres ont peurs aussi de moi. Je me comprends plus, j'essaye d'apprendre à me connaître mais je ne me trouves pas, je ne voudrais pas avoir du bonheur et vivre et guérir, parce que ça fait mal, et ça ne sert à rien. C'étais un long monologue, ça. Désolée, j'avais besoin de trouver une réponse, un soutien ou un chemin.@TempêteFestif3.

Bien paraître pour les autres

Demain, c'est ma fête et je suis triste parce que c'est sensé une journée ou je suis bien mais je me sens pas bien. Quand on a des idées suicidaires, il faut paraître bien pour les autres. Avez-vous déjà ressenti ça? Je trouve ça tellement petit mais tellement gros... Auriez-vous des conseils?

Pour conseils

Allô! Je voudrais des conseils. Je suis autiste, et j'ai un peu de difficulté avec la vie sociale, je ne sais pas si ça rentre là-dedans, mais je m'essaye. Ça sera bientôt ma fête, je vais avoir 13 ans. Après ce qui s'est passé dans ma vie, je ne sais pas si j'ai le goût d'avoir une fête, mes amis et ma famille. Mais ne pas en avoir me renderais triste. Il y a des amis que ça fait un ans, d'autres que ça fait un mois et d'autres quelques semaines que je n'ai pas vus. Je ne vais pas à l'école, ces jours-ci. Ma famille... J'ai peur parce qu'ils m'ont soutenus, et j'ai ressentie leurs douleurs et leurs amours, quand j'ai eu deux hospit cette année. Ils m'ont vus attachées, désespéré et embarquer dans l'ambulance avec la police. Je n'aime pas raconter ça, mais j'ai besoin de conseils.Merci.@Tempêtefestif3

Défoulement ou éboulement de questions

Allo! Je ne pensais pas que pour ma deuxième publication, je demanderais de l'aide. Je voulais vraiment ré-écrire aprés vos commentaires encouragents, vous m'avez donné le goût de me confier. Vous êtes vraiments gentils. En vrai, j'ai besoin de me confier. J'ai tellements de questions!! J'ai déjà été hospitalisée pour idées suicidaires. Dans ma tête, je me sens mieux à l'hôpital qu'à la maison, je ne sais pas pourquoi. Pourtant, là-bas ils ne me traitaient pas comme une personne et se foutaient complétement de mon autisme et de mes besoins particuliers. Dans ma tête, je suis toujours ambivalente sur cette question et aussi est-ce que je ferais mieux de vivre ou de mourrir? Mes pensées suicidaires sont présentes, mais je me contrôle comme je contrôle tout en moi. Je ne sais plus qui a posté sur le forum quand j'ai un peu regarder, un truc comme que la vie c'est un cercle de mauvaises choses tout le temps et qu'on nous rabâche que du positif, mais elle a raison. Dans le sens que mon rationelle sait que c'est pas vrai, mais endedans de moi, c'est comme une tempête, un cercle infinie. Je ne me sens toujours pas bien, j'ai toujours de l'anxiété. Je voudrais savoir, où je dois aller pour que quelqu'un.e répond à mes questions excistentielles en profondeur, est-ce que je mérite de vivre? Je vais toujours me sentir pas bien malgrès que j'ai de l'aide, malgrès que personne me comprend? Pourquoi je me sens bien à l'hôpital et pas à la maison? Pourquoi je me sens bien et pas bien avec mes idées suicidaires? J'avais juste besoin de me défouler un peu et de ne pas garder ça endedans de moi. J'en parle avec ma mère, mais elle ne comprend pas. Merci de m'avoir lue!Tempêtefestif3

Depuis un an, ma vie à basculer.

Bonjour. C'est ma première fois sur le forum, et j'ai beaucoup hésité à me connecter (obtenir en plus la validation de mes parents,) et à écrire. Je suis autiste, j'ai douze ans. J'ai vécu des choses difficiles après mon diagnostique, en été 2024. Depuis, ma vie à basculer. Je ne m'accepte pas. En plus, mon adolescence commence et tout le monde dit que je dois être patiente, que je dois attendre. J'ai eu beaucoup de réactions d'intervenants qui m'ont fait peur, alors je ne vais pas me confier totalement. Le plus dure, c'est de cacher qui je suis, mes idées suicidaires, mes réactions et émotions et mon t.s.a, plus la vie, et surtout analysée et interprété tout le monde. C'est difficile pour moi, je cherche en plus qui je suis, j'ai toujours un combat intérieur. Une ado a suggéré de mon confier, alors je vais laisser ma première publication comme ça.Merci de m'avoir lue!