Je me sens comme meurtrier
KoalaPatient10
elle/elle
Je me tenait devant la clinique, mon cœur battant la chamade dans ma poitrine. j' avait pris la décision de subir un avortement après une erreur que j'avait faite avec son petit ami.on est jeunes, insouciants, et n'avaient pas pris les précautions nécessaires. La pensée de devoir l'annoncer à mes parents me remplissait d'une terreur indescriptible. Ma famille et moi sommes conservateurs, religieux, et l'idée d'une grossesse non planifiée les aurait dévastés.J'entra dans la clinique, les larmes aux yeux, le poids de la culpabilité pesant sur mes épaules. Le processus était douloureux, à la fois physiquement et émotionnellement. je me sentait seule, terrifiée par l'avenir incertain qui m'attendait.Après l'intervention, je rentra chez moi, gardant le secret enfoui au plus profond d'e moi-même. Chaque jour était une lutte pour maintenir les apparences, pour cacher la douleur et le chagrin qui me consumaient de l'intérieur. Je portait le fardeau de ma décision en silence, espérant désespérément que mes parents ne découvriraient jamais la vérité.Mais même si je gardait mon secret bien caché, l'avortement me hantait jour et nuit. je me demandait si j' avait fait le bon choix, si j'aurait dû assumer les conséquences de mes actes. La douleur de la perte et le poids de la culpabilité étaient devenus une partie indélébile de mon être, et je savait que je devrait vivre avec ces regrets pour le reste de ma vie.
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Liste de discussions
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KetchupAnxieuse10
elle/elle·14 ans
1jGrosse.Petite, je n'étais pas du tout grosse. Vers mes 9 ans, j'ai commencée à prendre du poids, mais comme vraiment beaucoup de poids. Vers mes 10 ans ça c'est calmé. Et là aujourd'hui, 14 ans et j'ai cette image de moi toujours grosse et qui mange tout. Je mange et je joue toujours aux jeux vidéo. Je ne bouge même pas surtout que c'est les vacances et que mes parents travaillent on fait rien, surtout moi. Mes frères sont aux travails ou chez leur blonde et mes parents aux travails alors je suis la seule qui reste chez moi. Je mange quand j'ai rien à faire, à l'école en secondaire 2 aux débuts de l'année je me privait de manger pour maigrir. Je me trouve tellement grosse et dégoûtante. Vous allez sûrement dire que je pourrais aller marcher prendre de l'air. Oui, j'aimerais bien mais marcher tout seule c'est pas ce que j'aime le plus faire. Et personne ne peux m'accompagner j'ai casiment pas d'amis et ma famille est presque pas là. Ma mère la dernière fois que je lui avais dis qu'on faisait jamais rien elle m'a dit que c'était pour qu'elle se sente mal. C'est juste horrible fin bref. Marcher et courir me ferait vrmt du bien pour mon mentale et mon estime de soi mais je peux juste pas. Je sais pas quoi faire j'aimerais juste ne pas être grosse. Mais malheureusement c'est héréditaire. J'ai besoin de bouger, à l'école je fais que ça et maintenant rendu chez moi je fais pus rien. Je n'aime pas ça et ma mère le sait je lui en avais parler. -
AthlétismeSérieuse12
elle/elle·15 ans
1jPencer noir sucide automutilationSalut à tous je suis tanner de toute les chiquane qui a la maison et emplus je pence a trop de chosse jai de bessoin daide et je pence souvent a me automutile et pencer noir -
KoalaAccueillante9
Préfère ne pas répondre
1jTourner en rondAllo tout le monde,C’est ma première publication. J’ai l’impression que ma vie tourne en rond. J’ai des problèmes et les solutions ne viennent pas. Je sais ce que je pourrais/devrais faire, mais il y a toujours une bonne raison de ne pas le faire. Je suis dans un flou artistique avec quelqu’un et je sais pas où ça s’en va mais je ne veux pas blesser ou énerver la personne en étant trop intense ou insistante. Alors j’attends et j’espère, mais ça me fait stresser. J’ai aucune patience avec certaines personnes alors qu’elles font beaucoup pour moi (mes parents). J’essaie de leur donner de l’attention mais ça n’aide pas et je me sens coupable. J’avais l’impression d’aller mieux, et je vais moins pire qu’avant mais je retourne vers le bas et c’est triste. Je tourne en rond et je sais pas comment arrêter.C’est épuisant car j’ai l’impression que rien n’avance et que ça se répète sans cesse. Les journées s’allongent car j’arrive pas à m’endormir avec ce tourbillon.Même si j’ai des amis présents, je me sens tout le temps seule quand elles sont pas là et je sais que ce n’est pas normal. Est ce que vous pouvez m’aider ?Merci d’avoir lu mon géant monologue :) @KoalaAccueillante9 -
TajineOrganisé15
il/lui·15 ans
2jMaison pleine de cris.bonjour, je veux signaler une personne dans ma famille qui est agressif ( non physiquement) et méchant, mais je ne sait pas comment le faire. Il me parle mal, me fait sentir en danger, et ça affecte ma santé mental. jai peur parfois et cela n'affect pas que moi dans ma maison.
Réponses
AthlétismeIntelligente5
elle/elle
Coucou!
Ça fait vraiment beaucoup à porter pour une personne ça! Je comprends que le fait que tes parents soient conservateurs et religieux t'empêche de leur avouer la vérité. Mais il faudrait sans doute que tu en parle au moins à quelqu'un en qui tu as confiance ou qui ne te jugera pas. Et peut-être qu'après tu auras la force de l'avouer à tes parents ( il faut prendre son temps ). Ces genres de moments sont bouleversant il y en a aucun doute mais il ne faut pas se renfermer. Il faut avoir la force d'en parler.
Courage et bonne chance. Je suis sure que tu y arriveras! :)
SoleilSportive11
Ado TJ·elle/elle·19 ans
Salut @KoalaPatient10 🤍
Comme @AthlétismeIntelligente5 a dit, ça en fait beaucoup à porter… et tu es arrivée à en parler sur le forum :) Courage. Tu es forte 🤍
Je ne peux comprendre à quel point la décision a dû être difficile pour toi. Je vois à quel point ce moment a été bouleversant…
Mes condoléances pour le fétus/l’embryon/le bébé… J’avoue que je ne connais pas de personne qui est passée par-là, mais je peux t’assurer qu’il y a une lumière au bout du tunnel 🤍
@KoalaPatient10 , c’était une décision délicate et tu as essayé de ton mieux pour trouver un équilibre: religion, famille, tes propres besoins, à quel point tu étais prête, etc… Je ne pense pas que le sentiment de culpabilité part du jour au lendemain, mais ça peut s’arranger avec le temps... vraiment 🤍
Malgré que le regret est indéniable, je t’encourage à prendre le temps de regarder au prochain pas vers l’avant, au jour présent, à demain. C’est pas une décision facile à accepter quand tu y repenses et c’est humain. Je t’encourage sincèrement à en parler avec une personne de confiance, peut-être à un.e intervenant.e de façon anonyme si tu es plus à l’aise. Ne reste pas seule 🤍
Je t’encourage à continuer à prendre soin de toi-même parce que ton bien-être reste une priorité 🤍
@KoalaPatient10 , tu vas y arriver, tu es capable de rester forte. Donne-toi le temps parce que tu le mérites 🤍
Prends soin de toi et n’hésite pas s’il y a quoi que ce soit 🤍
RamenCurieux2
elle/elle
Salut
sache que rien ne t'oblige a porter un enfants si tu n'en a pas envi et l'avortement n'est pas un meurtre avant plusieurs semaine le feotus n'as pas de conscience et donc tu ne l'as pas tuer si tu ne comprends pas dit toi que c'est comme les sprematozoide qui n'entre pas en toi ce ne sont pas des enfants ou des etre mais je comprends se que tu ressens malgre tout et j'espere qu'un jour sa ira mieux
Arc-en-cielEnthousiaste11
elle/elle·17 ans
salut je suis dans la même situations que toi, je voulais juste te dire que du moment où que tu apprend le test positif, du moment où le bébé n’est pas dans tes bras à la naissance, ce n’est pas un être vivant encore, moi ses comme sa qu’on me la appris souvent on se dit « à partir de quelle semaine quelle mois c’est un bébé » du moment où l’enfant est dans tes bras! si sa peut te rassurer!